litique d'Aristote, pr. lxxxix.-Har-
diesse de ses principes, pr. xc.- Ses
questions politiques, 1, 303, n.

BYZANCE est peuplée de pêcheurs,

II, 199.-Troubles causés à Byzance
par des colons, II, 359.

CAMÉRARIUS; ses notes sur la Poli-
tique, pr. cxxxix.-Une des leçons
qu'il propose, adoptée, I, 14, n.
CAMIQUE, ville de Sicile où mou-
rut Minos, I, 181.

CANDIDATURE (La), établie à
Sparte pour les places de Sénateurs,
I, 173.

CANTONS ruraux (L'organisation
politique des) doit être imitée de
celle de la ville, II, 75.

CARLOS (Don), prince de Viana; sa

traduction espagnole de la Politique,

pr. cxxxv.

-

CARTHAGE; sa constitution, I,

187.-La constitution de Carthage

n'est guère connue que par Aristote,

I, 197, n.- - Ses sociétés politiques,

I, 189. — Politique du gouverne

ment de Carthage à l'égard du

peuple, II, 317. - N'a jamais

éprouvé de révolution, II, 477.

Se sauve des révolutions en enri-

chissant le peuple, I, 197 —Cons-

piration d'Hannon à Carthage, II,

393.- Privilége exclusif des juges,

I, 215.- A Carthage, le commerce

est permis aux magistrats, II, 467.

---A Carthage, les guerriers portent

autant d'anneaux qu'ils ont tué

Garthage, et contradiction probable
d'Aristote, II, 475.

CARTHAGINOIS (Les), liés aux
étrangers par des traités, I, 255.

CASA fournit des variantes à Vet-
torio sur la Politique, pr. cij.

CASTROVOL; Son commentaire sur
la Politique, pr. cxxxvij.

201

CATANE, patrie de Charondas, I,

CATEGORIES (La dernière partie
des), jugée à tort apocryphe par
Andronicus, pr. lxx.

n.-

CAVALERIE ; son importance dans

l'antiquité et au moyen âge, II, 184,

La cavalerie faisait jadis toute

la force des armées, II, 249. — La

cavalerie ne put être formée que de

gens riches, II, 185. - Rapport po-

litique de la cavalerie à l'oligarchie,

II, 321.

CELLARIUS; sa paraphrase de la

Politique, pr. cxlj.

CELTES (Les) autorisent ouverte-

ment l'amour viril, I, 163. — Les

Celtes font grand cas de la valeur

guerrière, II, 15.- Les Celtes don-

nent un vêtement fort léger à leurs

enfants, et les plongent dans l'eau

froide, II, 111.

CENS (Ce que doit être le taux

thage, I, 191.

d'Aristote, pr. xcj.

-

-

CHARONDAS, législateur de Ca-
tane, I, 201. - Sa loi sur les faux
témoignages, qu'il a punis le pre-
mier, I, 205. Impose d'énormes
amendes aux riches qui s'absentent
des tribunaux, II, 247. Préam-
bule de ses lois conservé par Stobée,
I, 101, n.- Appartenait à la classe
moyenne, II, 237.· Appelait les
membres de la famille compagnons
de table, I, 9.

CHASSE (La) est la vie de plu-
sieurs peuples, I, 45.

CHEF (Qualités requises dans le),
I, 233.

CHEMINS publics; leur entretien,
II, 325.

CHEVALIERS (Les) forment la
troisième classe à Athènes, I, 201.

Les chevaliers, à Érétrie for-
maient l'oligarchie, II, 387.

CHIOTES (Les) sont trompés par

les Athéniens, I, 289.

CHOEUR (Le), souvent le même

dans la tragédie que dans la comé-

die, I, 223.

CHONIENS, d'origine Ænotrienne,

II, 59.

Les Choniens habitaient

sur les côtes du golfe Ionique, II,

59.

CHORÈGE (Un), à Lạcédémone,

donne le ton au chœur de la tragé-

die, II, 169.

CHORÈGES (Les) sont-ils des ma-

gistrats? II, 263.

au récit de Strabon, sur le destin

des ouvrages d'Aristote,

pr. lxviij.—

A imité des passages de la Politique,

I, 9, n. et 13, n.- A sans doute

emprunté à la Politique un trait de

la vie de Thalès, I, 66, n.

CITÉ (Idée fondamentale de la),

I, 259.- La cité ne se compose que

d'êtres libres, I, 231.- La cité doit

être avantageusement située par

terre et par mer, II, 35. — La cité

ne doit point ouvrir de marchés

pour le commerce étranger, II, 37.

· Position de la cité, II, 67.

CITHARE, instrument à proscrire

dans l'éducation, II, 159.

CITOYEN (La vertu du) se rap-

porte exclusivement à l'État, I, 223.

-Tous les citoyens sans exception,
doivent prendre part au gouverne-
ment, II, 81.-Les citoyens doivent
avoir du loisir, I, 193.- Le citoyen
doit vivre dans l'aisance, II, 53. —
Les citoyens ne doivent point tra-
vailler pour vivre, dans un État bien

toyen doit s'abstenir de toute pro-
fession manuelle, de tout com-
merce, II, 51; même de l'agricul-
ture, ibid.-Qu'est-ce que le citoyen?
I,
Le citoyen varie d'une
209.

constitution à l'autre, I, 213 et

239. On n'est pas citoyen pour

être né de père et de mère citoyens,

I, 217. On peut être citoyen du

chef seul de sa mère, I, 237.-Les

artisans ne peuvent être citoyens,

I, 233 et 235.

-

475.

COMBAT (But moral du), II, 95.

tiques, pr. xxviij.

CLEOMÈNE, vainqueur d'Argos,

II, 357.

CLEOPATRE, reine de Macédoine,
II, 433.

CLEOTIME fait une révolution à
Amphipolis, II, 383.

CLIMAT (Influence politique et
morale du), II, 41.

CLISTHÈNE; ses innovations poli-
tiques après l'expulsion des Pisistra-
tides, à Athènes, I, 217.-Son sys-
tème politique après la révolution
d'Athènes, II, 309.

CLISTHENE de Sicyone succède
à Myron, II, 475.- Son habileté à
ménager le peuple, II, 467.

CNIDE (Révolution démocratique
de), II, 374. L'oligarchie de
Cnide renversée, II, 389.

CODRUS; son mérite, II, 427.
COELIUS CALCAGNINUS; sa para-

-Combat du Sept, II, 357.

--

COMMERÇANTS (Les) sont un des
éléments de l'État, II, 193.
COMMERCE (Le ne fait pas
partie des acquisitions naturelles, I,
53. Le commerce est méprisé à
bon droit, I, 61.-Vivement blâme
par Aristote, I, 60, n.— - L'Évangile
l'a plus décrié que le philosophe
grec, ibid. Attaqué par Mably,
ibid.-Le commerce n'est point une
occupation digne du citoyen, II,
51.- Le commerce est permis aux
magistrats à Carthage, II, 477.-
Une loi de Thèbes n'accorde de
droits politiques qu'à ceux qui ont
cessé le commerce depuis dix ans,
II, 323.-Le commerce permis aux
magistrats, n'est pas la cause des
révolutions politiques, II, 475. —
Voies diverses du commerce, I,
65.

COMMISSAIRES pour les assemblées
publiques, II, 333. Les commis
saires sont d'institution oligarchi-
que, II, 337.

édition de la Politique, cvj.-Croit
à tort que la Politique est pleine de
lacunes, cvij. Sa discussion sur
l'ordre des livres de la Politique,

COMPTES (Les) de l'État doivent
être affichés publiquement, II, 411.,
Importance qu'y attachait le
peuple athénien, I, 268, n. Vé-
rification des comptes, II, 335.

COMMUNAUTÉ politique (Désavan-

tages de la), I, 93.- Communauté

politique; ses trois modes, I, 85.

Communauté des chiens, des che-

vaux et des esclaves, à Lacédémone,

I, 105.-Communauté des proprié-

tés à Tarente, II, 317.-La commu-

nauté des femmes, des enfants et des

biens, proposée par Platon, I, 85.

Communauté des femmes chez di-

vers peuples de l'antiquité, I, 94, n.

CONDAMNATIONS (Les) ne doivent

jamais être remises au peuple dans
les démocraties, II, 261.- Magis-
trats chargés de les faire exécuter,
II, 329.

CONFISCATIONS provoquées par les

démagogues, II, 313.-Le produit

des confiscations doit être consacré

aux dieux, dans la démocratie, II,

313.

CONQUETES (Les) énergiquement

blâmées par Aristote, pr. xxxiij.
Réprobation de l'esprit de conquête,
II, 13 et suiv., II, 93.

CONSPIRATIONS contre les mo-
narques, II, 431.—Motifs des cons-
pirations, II, 435.

CONSTITUTION (Idée générale de
la), I, 239. La constitution dif-

fère de la loi, II, 176, n.—La cons-

titution est supérieure à toutes les

lois, II, 179. - Ce que c'est qu'une

constitution, II, 177. Trois es-

pèces principales de constitutions,

I, 345. — Constitutions divisées en

deux classes, II, 187. Les consti-

tutions varient selon leur but; -

-

constitutions pures et corrom-

pues, I, 245. Causes de la diver-

sité des constitutions, II, 185. ·

La constitution la meilleure est
celle qui a les meilleurs chefs, I,
325.

CONSTITUTION d'Athènes (Examen
rapide de la), I, 199.

CONSTITUTION de Carthage; ses

mérites et ses défauts, I, 187.

Constitution aristocratique et répu-

blicaine, I, 191.

CONSTITUTION de Crète; ses prin-

cipes, I, 179. Ses défauts.- Sert
de modèle à celle de Sparte, I, 179.
CONSTITUTION de Sparte; son si-

Disproportion des propriétés, I,