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Nous ne trouvons pas avantageux, pour l'emploi intermittent, les éléments au sulfate de cuivre, tels que ceux d'Onimus ou de Callaud; ces piles ont l'inconvénient de marcher à circuit ouvert et par conséquent de s'user rapidement. Pourtant la pile Chardin au sulfate de cuivre, a l'avantage de durer assez longtemps. Mais aujourd'hui le meilleur couple au sulfate de cuivre est assurément celui qui a valu à M. Gaiffe la médaille d'or de la section médicale à l'exposition (fig. 4). Ce couple entrera avant peu

dans l'emploi médical, pour les appareils employés par les électriciens de profession.

Dans ce couple, les solutions de sulfate de zinc et de sulfate de cuivre sont maintenues séparées par leur différence de densité et par la disposition des vases qui les contiennent; les traces de sulfate, de cuivre qui pénètrent dans le vase extérieur, pendant le repos de la pile, tombent au fond de ce vase, loin de la sphère d'action du zine; enfin, la disposition de l'élément, cuivre est telle que le sel de ce métal, ayant pénétré dans le compartiment du

zinc, est réduit d'abord lors de la fermeture du circuit du couple. Il résulte de cet ensemblé que, le zinc de ce genre de pile étant dans un liquide exempt ou à peu près de sulfate de cuivre, il se fait peu d'usure lorsque le circuit est ouvert." po ang la

Cet élément est certainement appelé à donner des résultats inappréciables, à cause de la constance de sa longue durée.

Cependant, malgré son perfectionnement evident, le couple au sulfate de cuivre, en dépit du dire de M. Dubois-Reymond (Rapport au Congrès), nous paraît inférieur aux piles Leclanché ou aux autres appareils donnés par MM. Trouvé, Gaiffe, en France; Coxter, en Angleterre; Shtorer, en Allemagne.

Citons pourtant une pile exposée par M. le docteur Seure, de

19 dienob ob Fifteenib 2 VS Saint-Germain. Notre honorable confrère a reproduit la pile au 'sulfate de cuivré de Bécquerel, disposée dans un tube en U. Il ne nous parait pas que cette disposition, ingénieuse sans doute, mais abandonnée depuis longtemps, soit appelée à un grand avenit. L'appareil est én somme facile à renverser et certaine

ment, comme pile économique au sulfate de cuivre, nous lui pré férons de beaucoup la pile de M. le docteur Onimus (fig. 5), très employée depuis une quinzaine d'années, ou bien encore la pile Callaud.

Les vrais piles médicales sont, à notre avis, la pile au chlorure de zinc et bioxyde de manganèse, pour le cabinet; la pile au chlorure d'argent de Warren de la Rue, pour le transport.

Toutes deux sont construites par M. Gaiffe. La première (fig. 6) est d'une durée considérable, elle peut marcher pendant près de deux ans avec un travail journalier d'environ deux heures. Le zinc plonge dans une solution de chlorure de zine au 1/5, un charbon de cornue percé de trous, remplis de 1 bioxyde de manganèse, comme dépolarisateur, sert d'électrode positive. La pile au chlorure d'argent de Warren de la Rue (fig. 7) se compose d'un étui d'ébonite ST sur lequel on visse à fond un couvercle CH, auquel est fixée une lame de zinc Z, soudée à une vis V, la lame de zinc est séparée d'une lame de cuivre Y, renfermée dans un sac d'étoffe, par un paquet de papier buvard I, que l'on trempe dans une solution de chlorure de zinc. Dans le sac renfermant la lame de cuivre se trouve une plaque de chlorure d'argent. Le cuivre est relié à une borne V'.

Cette pile a une grande énergie, mais sa durée est assez faible (quelques mois) et sou usage ne convient qu'aux médecins qui ont souvent besoin d'employer l'électricité. I Dans ce cas, son faible poids et son peu de volume la rendent excellente dans l'emploi des piles portatives et aussi pour l'usage des appareils d'induction.

Fig, 7.

La figure 8 représente une pile de 24 éléments au chlorure d'argent; malgré ce nombre considérable d'éléments, le poids de l'appareil ne dépasse pas 2 ou 3 kilogrammes. C'est donc par excellence un instrument destiné à l'électricien.

A côté de cette pile on peut ranger également la pile hermé tique de M. Trouvé, qui se trouve dans tous ses appareils d'in duction; ellé dure longtemps et a une grande constanchoe imp lus Les divers éléments, qui constituent la pile, se trouvent grou-..!

pés sur des collecteurs, dont on peut voir un assez grand nombre à l'expositionumin susbob of M ob sliq el quooused ob errorst oliq 8l 970909 asid uogiesgrup sau aiuqob soyolqms .billsO

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Le collecteur a pour but de rassembler les fils sur un appareil qui permet de prendre à volonté un ou plusieurs éléments, no2 19 abioq sldist noe 269 99 200

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Fig. 9.

med shiq 61 Jusmsts 13 long me slag offso ob $160 A selon le besoin. Le plus simple de tous est celui de Sherer, le seul qui soit employé en Allemagne ; c'est le collecteur horizontal La figure 9 en donne une idéentit nos petasmol erb cal

La fiche N communique avec le zinc de la première pile, Le charbon ou le cuivre des autres éléments peut être mis en, communication avec une lame de cuivre horizontale, par un curseur mobile C, qui est à volonté mis en contact avec un bouton métallique, relié au charbon, de chaque, élément. L'autre fiche, P se place sur la tige de cuivre fixe; on peut donc à volonté, en faisant mouvoir le curseur de gauche à droite, prendre le courant de 2, 4, 6, 8, etc., éléments

Ce petit collecteur, que M. Gaiffe met à ses appareils les plus

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Fig. 10.

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simples, est économique; mais il est disposé de telle sorte que les premiers éléments sont toujours employés, ce qui amène une usure inégale de la pile.. Det splisi tesnilomum est

Les collecteurs circulaires sont nombreux, on peut en voindes modèles dans les vitrines de MM. Coxter (Angleterre) Trouмé, Gaiffe, Brewer, Chardin, en France.sitque e Juguten

Mais celui qui de tous est le plus simple atole meilleurest certainement le collecteur double de Gaiffe. zulq que se 26

La figure 7 représente une batterie de piles au chlorure de zinc, munie de ce collecteur double, que l'on trouve représenté plus exactement dans la figure 11 bormos aldusin sab aust