Il permet de prendre autant d'éléments que l'on veut, et d'employer successivement tous les éléments de la pile. Ainsi dans la figure 8, de la manière dont sont disposées les manettes, on prend le courant des éléments 2 à 22. Si, après avoir employé ces éléments, on voulait faire une seconde électrisation avec au tant de couples (20), on mettrait la manette M sur le chiffre 42 et la manette M' sur le chiffre 22 du cadran droit. L'usure de la pile peut donc être, de cette façon, rendue très régulière. Du reste, une preuve de l'excellence de cet appareil est l'emprunt (forcé) qu'en a fait M. Andriveau, pour le meuble construit pour M. le docteur Romain Vigouroux. Ce meuble, très luxueux, mais très compliqué, a sans doute été imaginé par M. Vigouroux pour ramasser sous la main de l'opérateur tout l'arsenal électrique du médecin électricien. L'appareil est en effet très complet, mais l'accumulation des fils et des manettes est telle, que nous craignons fort que l'auteur ne s'embrouille, malgré la précaution qu'il a prise de faire indiquer sur la table tous les fils par des lignes blanches. Ce n'est certainement pas simplifier la besogne que de construire de tels instruments et nous avouons préférer les meubles très élégants, mais beaucoup plus simples, exposés par MM. Trouvé, Chardin et Gaiffe. Il nous semble, en effet, que l'art du constructeur doit être de faire des meubles commodes et simple, où tout soit disposé pour un usage rapide, mais où il n'y ait rien qui attire trop la vu et un usage Paire prendre un meuble médical pour la machi qui risque nerie compliquée d'un poste télégraphique De l'utilité de la solution iodée-iodurée dans la chlorose, et, en particulier, dans la chlorose menorrhagique,in an hove top ollodox 11- 9umsms app 960505 wwiib op gomitoust ad inq TobiAM, DUJARDIN-BEAUMETZ, secrétaire de la rédaction. Ino750-99 496 boot 15q sup 917 erdą 15 zou Goytsnubbm amânt al Je vois si souvent, comme vous, la chlorose résister, pendant des mois et des années, à la médication ferrugineuse, que j'ai una du, dans bien des cas, recourir à d'autres remèdes. A l'appui de votre opinion que, pour guérir la chlorose, il suffit d'activer la nutrition, et que ce résultat s'obtient plus aisément par un grand nombre d'autres moyens que par le fer, voulez-vous accueillir l'exposé succinct des faits suivants? Quand le fer, sous diverses formes, employé avec prudence et avec persévérance, parait décidément inutile ou nuisible aux chlorotiques qui me consultent, j'indique la solution suivante sl $299716 amaist zab 8265 206 207 91, 91p 1817 1-5) 29lla amargo alload-u9H Tode. potassium Eau distillée..••€· M. F. diss. Une cuillerée à café (cuiller de fer), aux deux repas, dans un 994uboj 9sbor module at sb solipps I é suhided sta u1⁄4% .2 .9 En général, au bout de deux ou trois mois, les accidents de la chlorose ont disparu; non pas, bien entendu, à tout jamais; cependant, la santé semble plus solide que lorsque le fer a réussi contre l'anémie chlorotique. Alors, il suffit de faire réprendre, pendant un mois, à des intervalles plus ou moins longs, tels que trois mois, six mois, un an, la médication iodurée, pour voir les malades continuer à jouir d'une santé infiniment meilleure qu'auparavant.bor nodulos el ob sgren'l ansh In970ert al p Ce premier résultat ayant fixé mon attention par sa répétition fréquente, je fus conduit à oser prescrire la médication iodéeiodurée, même dans la chlorose ménorrhagique. actuellement Imis 15 cles Ases sur les effets de l'iode dans les hémorrhagies en général, cette prescription pourrait paraître téméraire. Mais, d'autre part, le but principal, comme le dit si bien le professeur Hayem (1), étant de ramener à l'état normal l'évolution des hématies, le succes pouvait être espéré par cette médication, aussi bien que parlo perchlorure de fer, le seigle ergoté ou le quinquina. Eh bien! je puis affirmer aujourd'hui que je suis plus sûr d'arriver au but, dans la plupart des cas de chlorose ménorrhagique, avec la médication iodée-iodurée, qu'avec les autres. moyens employés généralements238800 Que cette forme de la chlorose se manifeste par des règles trop fréquentes ou trop prolongées, le résultat est le même. Aussi, je ne fais pas toujours suspendre la médication pendant la durée entière des menstrues; après trois jours, les malades' la reprefnent comme dans les intervalles des époques.eq no „Js En terminant, je dirai encore que l'anémie si rebelle qui suit souvent un allaitement trop prolongé, m'a paru s'amender par la même médication, mieux et plus vite que par tout autre remède. Si je ne craignais de paraitre systématique, je dirais que la solution iodée-iodurée, aujourd'hui trop délaissée pour beaucoup d'autres remèdes, congénères ou différents, qui ne la valent pas, est le moyen le plus prompt et le plus efficace de rétablir la nutrition allérée dans un grand nombre de maladies chroniques. Pour tous les cliniciens, la chlorose n'est-elle pas une maladie, essentiellement chronique? Trousseau disait qu'on l'amendait, mais qu'elle reparaissait toujours tant que duraient les men strues. sbmazine morale al suptbarstigzno: 9m up soupiter C'est si vrai, que je vois sans cesse des femmes, arrivées à la ménopause, terminer leur carrière menstruelle comme elles l'ont commencée, par des manifestations d'anémie chlorotique. Dr E. TRASTOUR, P. S. J'ai été habitué à l'emploi de la solution iodée-iodurée par le docteur, Moissenet, qui la tenait de Lugol, J'ai seulement modifié les doses d'iode et d'iodure de potassium.ik 109 920meliby Pour les phlegmasies chroniques des os et des articulations de, la peau et des muqueuses, j'en fais de nombreuses et heureuses, applications... ...Mais ces faits sont si connus, que je n'ose en reparler et cependant, chaque jour je vois des malades qui ont vainement cherché la guérison dans une foule d'autres remèdes. et qui la trouvent dans l'usage de la solution iodée-iodurée. up nodigd te Inq Holgath C (1), Hayem, De la la médication ferrugineuse (Bull. de Therap., 15 avril 18819 90 dels een redener dentalau bik-soin. 31 99474 Hog noilgisig 999 long no sigalvomod 200 of ontatos,leqroper ind of freq ortor'h' -i6lf amperomat ordet BIBLIOGRAPHIE ANALYSES. Structure anatomique du plancher pelvien de la femme, par le docteur BERRY HART (d'Edinburgh). Dans un très intéressant travail du docteur Berry Hart, œuvre très soignée et très originale, nous trouvons les considérations suivantes sur le plancher pelvien de la femme : Le plancher pelvien peut être divisé en deux segments : l'un postérieur ou sacré, l'autre antérieur ou pubien, séparés l'un de l'autre par la cavité vaginale. Le segment pubien attaché au squelette par sa partie antérieure, est assez lâche dans ses attaches, il est attiré en haut pendant le travail, entraîné en bas dans le prolapsus utérin, enfin dans la position génu-pectorale de la femme, il est attiré vers la cavité abdominale par la masse intestinale qui obéit elle-même à la pesanteur. Le segment sacré est solide dans ses attaches; il est repoussé en bas pendant le travail. Dans le prolapsus utérin la paroi postérieure du vagin est entraînée, tandis que la paroi rectale reste en place. Ce segment ne subit aucun déplacement dans la position génu-pectorale. Au point de vue du travail de l'accouchement, le plancher pelvien pourrait donc être comparé à une porte cochère. L'ouverture des deux battants donne passage au foetus. Le battant antérieur ou pubien s'ouvre vers la cavité abdominale, le battant postérieur ou sacré vers l'extérieur. Le segment pubien s'appuie sur le segment sacré, et c'est ce dernier qui est destiné à soutenir tout l'édifice pelvien. Si ce segment sacré, pour une cause quelconque, faiblit, on verra le segment pubien sortir par le vagin attirant avec lui l'utérus; c'est de cette manière que se produit le prolapsus utérin, qui serait mieux appelé hernie sacro-pubienne. Le spéculum univalve de Sims agit en repoussant en arrière le segment sacré pendant que, par la position même de la femme, le segment pubien est attiré en sens contraire. Deux théories sont admises pour expliquer l'action du pessaire] de :" Hodge l'une qui veut qu'il agisse comme levier, abaisse en avant par le poids du viscère en repoussant en arrière le corps utérin par sa partie postérieure ; l'autre expliquant son action par ce fait, qu'il distendrait le cul-de-sac postérieur du vagin, entraînerait, par ce mode, en arrière le col utérin et remédierait ainsi à la déviation utérine. C'est ce dernier mode d'action qu'admet l'auteur. Telle est l'œuvre du docteur Berry Hart, dont nous sommes malheureusement obligé de donner ici un résumé beaucoup trop court à notre gré, œuvre qui a été très heureusement complétée par un autre travail, fait en collaboration avec le professeur A.-R. Simpson, sur les relations des organes abdominaux et pelviens chez la femme, dont nous allons maintenant dire quelques mots. Relations des organes aodominaux et pelviens chez la femme, par le professeur A.-R. SIMPSON et le docteur BERRY HART. Ce travail, édité avec un très grand soin et luxe, et contenant, outre plusieurs planches importantes, le dessin chromo-lithographié d'une femme en position génu-pectorale, grandeur naturelle, met en relief les points suivants : Dans cette position, si la femme est vierge, la cavité vaginale reste vir-` tuelle, la membrane hymen formant pour ainsi dire une valvule qui s'oppose à l'entrée de l'air dans le vagin; si, au contraire, la femme n'est plus vierge, si surtout elle a été mère, dans la grande majorité des cas, la paroi antérieure du vagin, entraînée par le poids de la masse intestinale, se séparera de la postérieure faisant un appel d'air dans le vagin, qui se trouve ainsi distendu, et passe ainsi de l'état de cavité virtuelle à l'état de cavité réelle. Quand l'utérus était en position normale, dans la position ordinaire de la femme, l'antéversion sera exagérée par la position genu-pectorale. Quand il y avait auparavant rétroversion, la position génu-pectorale ne corrigera pas du tout cette déviation, au contraire, elle ne fera que l'exagérer, car, en pareil cas, le fond de l'utérus vient buter contre l'angle sacré, et le col utérin se trouve attiré en bas par la pesanteur, de sorte que ce double phénomène concourt à exagérer la rétroversion. On voit par là l'erreur que commettent certains médecins en espérant redresser une rétroversion par la position génu-pectorale; ils obtiennent précisément le résultat contraire; on ne pourra, dans cette position, obtenir le redressement qu'en combinant des manoeuvres spéciales manuelles ou instrumentales. Les auteurs terminent leur très intéressant travail en examinant les différents moyens qu'on a employés pour redresser l'utérus en rétroversion: ils discutent leur valeur, et finissent en montrant que les avantages de la position génu-pectorale pour la réduction de la rétroversion ont été pour le moins beaucoup exagérés. AUVARD. REVUE ANALYTIQUE DES SOCIÉTÉS SAVANTES DE LA FRANCE ET DE L'ÉTRANGER Séances des 17 et 24 octobre 1881. Présidence de M. WURTZ. - Sur un nouvel alcaloïde dés quinquinas. M. ARNAUD fait une communication sur un nouvel alcaloïde qu'il a pu extraire des quin- · quinas et auquel il propose de donner le nom de cinchonamine. La cinchonamine est insoluble dans l'eau froide; elle cristallise en prismes incolores, brillants et anhydres de sa solution alcoolique bouillante, en fines aiguilles de sa solution éthérée chaude ou par évapo ration spontanée. Une partie se dissout dans 100 parties d'éther (den |