19d 90 2080 97no¶T # sh jsdide) sb franqq6 bộ x2 af sją l'énergie de l'intensité, et l'on évitera toujours cet accident en surveillant la marche de la pile et en étudiant avec soin ses variables, c'est-à-dire les éléments qui déterminent l'intensité.

C'est pour cela qu'il est impossible de faire de saine pratique électrique, si l'on n'emploie pas un galvanomètre gradué en milliampères, et un appareil de résistances.

Le galvanomètre de M. Gaiffe, que nous avons indiqué plus haut, est divisé en milliampères; le rhéostat médical, dont nous avons aussi parlé, est un appareil de résistances mesurées en ohms, c'est-à-dire en unités.

A l'aide de ces deux instruments, il est toujours facile, à l'aide de la simple lecture du galvanomètre, de mesurer l'intensité de la pile employée et de diminuer cette intensité en opposant des résistances au courant. Si, au contraire, on veut augmenter l'énergie de l'intensité, il n'y a qu'à augmenter le nombre des couples employés. On sait que les effets physiologiques diffèrent selon que l'intensité est obtenue en augmentant la tension (augmentation du nombre des couples) ou en diminuant les résistances. Le rhéostat est donc nécessaire pour permettre au médecin d'augmenter le nombre des couples employés sans changer pour cela l'intensité. Pour obtenir ce résultat, il n'y a qu'à augmenter les résistances jusqu'à ce que l'aiguille soit revenue au degré d'intensité occupé par elle avant l'addition des couples. De cette manière, on peut augmenter l'énergie des effets physiologiques désirés, sans risquer pour cela de produire des eschares ; or, ce résultat ne peut être obtenu, nous le répétons, que par l'emploi combiné des appareils de résistance et des galvanomètres d'intensité.

(A suivre.)

Dans notre dernier article, nous avons été obligé de restreindre les développements légitimement dus au chapitre si intéressant des appareils d'induction, et cela par suite du retard apporté dans la fabrication de clichés destinés aux appareils nouveaux que M. Trouvé a exposés cette année. Nous croyons rendre service au lecteur en réparant aujourd'hui cette omis19sion tout involontaire ou Thob sitegood'b siquristai -subrcomme nous le disions dans notre dernier article, les meilleurs appareils sont les appareils à chariot. La figure 1 repré

a

sente le grand appareil de cabinet de M. Trouvé. Dans ce bel instrument, les intermittences sont obtenues à l'aide du joli

interrupteur d'horlogerie dont nous avons déjà parlé dans le dernier numéro du Bulletin de thérapeutique. Le courant inducteur circule dans la bobine M, construite en fil gros et court;

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c'est cette hobine qui permet de prendre les courants de quantité représentés par les extra-courants qui se recueillent aux bornes placées au-dessus de la cloison en bois à laquelle est fixée la bobine M. Les courants de moyenne et de haute tension se recueillent dans les bobines induites N et N'. La force du courant se gradue en augmentant ou diminuant la longueur dont la bo- . bine induite recouvre la bobine inductrice.

Le seul reproche, et il est faible, que nous ayons à faire à

M. Trouvé, c'est la nécessité où l'on se trouve de prendre les extra courants comme courants de quantité. La graduation en est, en effet, plus difficile que celle des courants induits, et il serait plus simple d'ajouter une hobine induite à gros fil à ce bel instrument, pour en faire un appareil très complet et commode en tous points.

L'appareil portatif du même système à chariot est muni du trembleur ordinaire (fig. 2). Le nombre des interruptions se lit sur un cadran disposé perpendiculairement au trembleur. Nous avons déjà dit l'utilité de cette disposition ingénieuse.

Enfin la figure 3 représente le superbe meuble de cabinet construit aujourd'hui par l'éminent fabricant. Comme on le voit, il réunit les appareils à courants continus et les appareils d'induc tion triaoqab nu te list of the Soulq des gigolod b tust

Le collecteur de la pile est placé verticalement au fond du meuble, le courant est envoyé à une manette située sur la paroi -od sl 99zit 125 sloups 6 2d 9 no-tolo sl sb 202296-06 29996ly -91 9e qojnot alund ob 19 0 96 2000 291 M said

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- 35mda sb Fig. 3. Meuble de cabinet de M. Trouvée al nila litov al go smmo tesudet usus 16q und brogue time droite du meuble. Le nouveau modèle d'induction, à interrup teur d'horlogerie, est placé sur la table. Par un dispositif ingér

nieux, les courants induits sont, comme les courants continus, envoyés à la manette de droite, et par la simple manœuvre de 'droom cette manette on peut, sans changer les tampons de place, em: ployer sur le malade l'électricité d'induction ou l'électricité continue. Bidz sl

C'est, on le voit, une , une disposition aussi simple qu'ingénieuse ; le praticien a tout sous la main sans qu'il ait été nécessaire pour cola de donner au meuble des formes excentriques.

Pour préparer la solution de peptonate de fer ammonique pour injections hypodermiques, nous proposons la modification. suivante à la formule présentée à la Société d'émulation pour les sciences pharmaceutiques :

Peptone sèche..

Perchlorure de fer liquide..

One Glycérine neutre.....
Eau de laurier-cerist.
Ammoniaque liquide...

5 grammes.

50

150

Q. S.

Dissolvez la peptone sèche dans 50 centimètres cubes d'eau de laurier-cerise, et ajoutez la glycérine.

D'autre part, étendez la solution officinale de perchlorure de fer avec 25 centimètres cubes d'eau de laurier-cerise, et mélangez le tout.

་་་

Ajoutez l'ammoniaque liquide par gouttes jusqu'à formation d'un précipité floconneux qui se redissoudra immédiatement par l'addition d'une nouvelle quantité d'ammoniaque. Il faut éviter surtout que ce dernier liquide soit en excès.

M

Enfin, complétez le mélange avec de l'eau de laurier-cerise. pour obtenir 200 centimètres cubes de solution, qui contient ainsi 2 milligrammes et demi de fer métallique par seringue de Pravaz.