| Charles Baudelaire - 1926 - 390 Seiten
...j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, O toi que j'eusse aimée, 6 toi qui le savais! Page 132. «Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière. . .» — Cf. LES FLEURS DU MAL, Un Fantôme, dernier vers : C'est Elle! sombre et pourtant lumineuse,... | |
| Jean-Luc Nancy - 1993 - 444 Seiten
...elle est surprenante. En elle le noir abonde: et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère, et son regard illumine comme l'eclair: c'est une explosion dans les ténèbres. Je la comparerais à un soleil noir, si l'on pouvait... | |
| Julian Wolfreys, John Brannigan, Ruth Robbins - 1999 - 276 Seiten
...entirely and overtly in the realm of differance—meaning deferred, different images: Je la comparerais a un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumiere et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser a la lune, qui sans doute 1'a marquee... | |
| Kumari R. Issur, Vinesh Y. Hookoomsing, University of Mauritius - 2001 - 736 Seiten
...elle est surprenante. En elle le noir abonde : et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère,...concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. » Quelle belle explication/démonstration de l' oxymore ! Et pourtant, Jeanne reste maudite même... | |
| Antonio Prete - 2001 - 156 Seiten
...appropriata della donna fuggitiva e bella va in direzione del notturno, del profondo: "Je la comparerais a un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumère et le bonheur. Mais elle fait plus volontiers penser a la lune..." (Spleen de Paris). Ma non... | |
| Elvire Jean-Jacques Maurouard - 2005 - 228 Seiten
...elle est surprenante. En elle le noir abonde : et tout ce qu'elle inspire est nocturne et profond. Ses yeux sont deux antres où scintille vaguement le mystère,...concevoir un astre noir versant la lumière et le bonheur. » (Le désir de peindre) Devant les « toiles lumineuses » de Fromentin, il peut se souvenir des... | |
| Charles Baudelaire - 1926 - 384 Seiten
...ne sais où je vais, O toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais! Page i32. «Je la comparerais a un soleil noir, si l'on pouvait concevoir un astre noir versant la lumière. . .» — Cf. LES FLEURS DU MAL, Un Fantôme, dernier vers : C'est Elle! sombre et pourtant lumineuse,... | |
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