Histoire des constituants, Band 3V. Lecou, 1855 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
amis armée assemblées attroupements avaient avez Bailly banque Barnave billets Boinville c'était Camille Desmoulins capitale Cazalès Charles de Lameth citoyens civile clergé cœur comité comte de Mercy comte de Provence conseil conspiration constitution corps cour crime déclarer décret demande députés despotisme devant dictature discours districts dit-il duc d'Orléans ennemis factieux Favras finances force garde nationale génie gouvernement guerre hommes j'ai Jacobins jour l'aristocratie l'Assemblée nationale l'État l'opinion l'orateur Lafayette laisser Lameth législatif liberté loi martiale lois Louis XVI lui-même main Marat Marck marquis de Favras Maury ment mille millions ministres Mirabeau monarchie motion moyens municipalités n'avait nation Necker noblesse orateur pable parler patriotisme pensée peuple politique populaire pouvait pouvoir exécutif premier prince principes propriétés provinces public publique qu'un raison reine religion représentants reste Révolution Robespierre rois royale royaume s'il secret séditions Sémonville sentiment sera seul sort talent Talon tion tribunal tribune trône vérité Versailles vote voulait
Beliebte Passagen
Seite 458 - DE MIRABEAU Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de distance du Capitole à la roche Tarpéienne ; mais l'homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas si aisément pour vaincu. Celui qui a la conscience d'avoir bien mérité de son pays, et surtout de lui être encore utile; celui que ne rassasie pas une vaine célébrité, et qui dédaigne les succès d'un jour pour la véritable gloire; celui qui veut dire la vérité, qui veut faire le bien public,...
Seite 142 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Seite 458 - ... de l'opinion populaire, cet homme porte avec lui la récompense de ses services, le charme de ses peines et le prix de ses dangers; il ne doit attendre sa moisson, sa destinée, la seule qui l'intéresse, la destinée de son nom, que du temps, ce juge incorruptible qui fait justice à tous.
Seite 96 - Dans le cas où la tranquillité publique sera en péril, les officiers municipaux des lieux. seront tenus, en vertu du pouvoir qu'ils ont reçu de la commune, de déclarer que la force militaire doit être déployée à l'instant pour rétablir l'ordre public, à peine d'en répondre personnellement.
Seite 453 - On a dit qu'en le confiant aux législatures, elles se laisseraient entraîner par l'enthousiasme des passions et même par la corruption : est-il un seul de ces dangers qui ne soit plus grand dans la personne des ministres que dans l'Assemblée nationale?
Seite 458 - ... de la révolution celui qui peut-être n'ya pas été inutile , et qui , cette révolution fût-elle étrangère à sa gloire , pourrait là seulement trouver sa sûreté...
Seite 445 - C'est parmi les nations qui n'avaient point de rois que ces succès ont fait des rois. C'est pour Carthage, c'est pour Rome, que des citoyens tels qu'Annibal et César étaient dangereux. Tarissez l'ambition ; faites qu'un roi n'ait à regretter que ce que la loi ne peut accorder; faites de la magistrature...
Seite 134 - Mon objet n'a point été de montrer que le clergé dût être dépouillé de ses biens , ni que d'autres citoyens, ni que des acquéreurs dussent être mis à sa place. Je n'ai pas non plus entendu soutenir que les créanciers de l'état dussent être payés par les biens du clergé, puisqu'il n'ya pas de dette plus sacrée que les frais du culte, l'entretien des temples et les aumônes des pauvres. Je n'ai pas voulu dire non plus qu'il fallût priver les ecclésiastiques de l'administration des...
Seite 176 - ... les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande Révolution était prête ; que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait...
Seite 287 - L'imprimerie a changé le sort de l'Europe; elle changera la face du monde. Je la considère comme une nouvelle faculté ajoutée aux plus belles facultés de l'homme; par elle, la liberté cesse d'être resserrée dans de petites agrégations républicaines; elle se répand sur les royaumes , sur les empires.