OEuvres complètes de Voltaire: La Henriade. Poëme de Fontenoy. Odes et stances, etc. 1877Garnier frères, 1877 |
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Seite iv - Londres , jadis barbare , est le centre des arts , Le magasin du Monde , et le temple de Mars. Aux murs de Westminster on voit paraître ensemble Trois 'pouvoirs étonnés du nœud qui les rassemble, Les députés du peuple, et les Grands, et le Roi, Divisés d'intérêt , réunis par la loi ; Tous trois membres sacrés de ce corps invincible , Dangereux à lui-même , à ses voisins terrible.
Seite 78 - A cet air vénérable, à cet auguste aspect, Les meurtriers surpris sont saisis de respect; Une force inconnue a suspendu leur rage. Compagnons, leur dit-il, achevez votre ouvrage, Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans ; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne ; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne... J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous...
Seite 310 - l vero condito in molli versi I più schivi, allettando, ha persuaso: Così all'egro fanciul porgiamo aspersi Di soave licor gli orli del vaso; Succhi amari ingannato intanto ei beve, E dall
Seite 513 - On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable; Cesser de vivre, ce n'est rien. Ainsi je déplorais la perte Des erreurs de mes premiers ans; Et mon âme, aux désirs ouverte, Regrettait ses égarements. Du ciel alors daignant descendre, L'Amitié vint à mon secours; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours.
Seite 311 - At once, as far as angels ken, he views The dismal situation, waste and wild ; A dungeon horrible on all sides round, As one great furnace flamed ; yet from those flames, No light ; but rather darkness visible...
Seite 311 - A dungeon horrible on all sides round, As one great furnace flam'd ; yet from those flames No light ; but rather darkness visible Serv'd only to discover sights of woe, Regions of sorrow, doleful shades, where peace And rest can never dwell...
Seite 179 - Fuit, et revient sans cesse à ce palais terrible ; Et de là sur la terre il verse à pleines mains Et les biens et les maux destinés aux humains. Sur un autel de fer, un livre inexplicable Contient de l'avenir l'histoire irrévocable : La main de l'Eternel y marqua nos désirs, Et nos chagrins cruels, et nos faibles plaisirs.
Seite 572 - D'un air familier , mais aimable. Sa vive imagination Prodiguait , dans sa douce ivresse , Des beautés sans correction 3o , Qui choquaient un peu la justesse , Mais respiraient la passion.
Seite 206 - Tel qu'échappé du sein d'un riant pâturage, Au bruit de la trompette animant son courage, Dans les champs de la Thrace un coursier orgueilleux, Indocile, inquiet, plein d'un feu belliqueux...
Seite 578 - Là régnait Despréaux , leur maître en l'art d'écrire , Lui qu'arma la raison des traits de la satire , Qui , donnant le précepte et l'exemple à la fois , Établit d'Apollon les rigoureuses lois. Il revoit ses enfants avec un œil sévère : De la triste...