Mémoires de l'Académie impériale des sciences, lettres et arts d'Arras, Band 14l'Académie, 1883 |
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... bourses dans les collèges obvierait aux inconvénients signalés et que les profes- seurs , plus rétribués , seraient meilleurs . Aussi , malgré l'appui donné par les Etats d'Artois aux réclamations des ( 1 ) On faisait valoir dans ces ...
... bourses dans les collèges obvierait aux inconvénients signalés et que les profes- seurs , plus rétribués , seraient meilleurs . Aussi , malgré l'appui donné par les Etats d'Artois aux réclamations des ( 1 ) On faisait valoir dans ces ...
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... bourses , à partager par moitié , entre les jeunes gens des bailliages d'Aire , et d'Hesdin , et au collège d'Arras , vingt bourses pour les enfants du bailliage de Béthune . Le nouveau système eut peu d'avantages et ne souleva que des ...
... bourses , à partager par moitié , entre les jeunes gens des bailliages d'Aire , et d'Hesdin , et au collège d'Arras , vingt bourses pour les enfants du bailliage de Béthune . Le nouveau système eut peu d'avantages et ne souleva que des ...
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... bourses présentaient moins d'avantages , des lettres - patentes de juin 1777 ré- tablirent les trois collèges . Les Etats d'Artois avaient proposé de renoncer aux prètres séculiers et de charger les abbayes de l'entretien et de la ...
... bourses présentaient moins d'avantages , des lettres - patentes de juin 1777 ré- tablirent les trois collèges . Les Etats d'Artois avaient proposé de renoncer aux prètres séculiers et de charger les abbayes de l'entretien et de la ...
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... bourses pour les jeunes gens pauvres qui seraient reconnus aptes à devenir de bons professeurs de latin et de français . On les enverrait étudier à Paris dans ce but . Le bailliage de Saint - Pol proposa d'obliger les ab- bayes de faire ...
... bourses pour les jeunes gens pauvres qui seraient reconnus aptes à devenir de bons professeurs de latin et de français . On les enverrait étudier à Paris dans ce but . Le bailliage de Saint - Pol proposa d'obliger les ab- bayes de faire ...
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... bourses dans les collèges de province ; ils y finissaient leurs classes . Après avoir dit que les études étaient aussi complètes à Arras que dans les collèges de Nonobstant , on était peu satisfait du collège , puisque 121 -
... bourses dans les collèges de province ; ils y finissaient leurs classes . Après avoir dit que les études étaient aussi complètes à Arras que dans les collèges de Nonobstant , on était peu satisfait du collège , puisque 121 -
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abbé ancien août Archives du Pas-de-Calais Arras Artois avaient Babeuf Bapaume bâtiments Bédu Bellecourt Béthune Boulogne bourses c'était Calais Cardevacque Carmes chanoine chapelle chargé classes Coffinier collège d'Arras commission Compagnie de Jésus confrérie Conseil d'Artois d'Hesdin Davaine Denys d'Halicarnasse devait diocèse diphthongue dudit échevinages échevins écoles écoliers église élèves enfants établissement Etats d'Artois évêque florins fonds de l'Intendance Fruleux Galhaut général grec Herzelle Histoire inscriptions Item donna Item laissa Jehan Jésuites jeunes jeunesse Joseph Le Bon l'abbaye l'abbé l'Académie d'Arras l'ancienne l'échevinage l'église l'enseignement l'évêque l'histoire l'instruction laissa et ordonna Lamarle latin Lecesne lettre lettres-patentes livres magistrat maison mayeur membre Mémoire ment Messieurs Mme Récamier municipal nommé officier Oratoriens ordonna ledite testateresse payer pension pensionnaires Pères préfet prélat premier président Pressy prêtres professeurs prononçait régents religieux rent reste rhétorique Sacquel saint Maxime Saint-Bertin Saint-Omer Saint-Pol Saint-Vaast séance septembre Société sujet tard Terninck tion trouve voyelle
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Seite 4 - Quand sur une personne on prétend se régler, C'est par les beaux côtés qu'il lui faut ressembler...
Seite 105 - Il n'ya jamais eu tant d'étudiants dans un royaume où tout le monde se plaint de la dépopulation. Le peuple même veut étudier, des laboureurs, des artisans envoient leurs enfants dans les collèges des petites villes où il en coûte peu pour vivre...
Seite 83 - ... aient un sujet saint et pieux : que les intermèdes des actes soient tous latins, et n'aient rien qui s'éloigne de la bienséance, et qu'on n'y introduise aucun personnage de femme ni jamais l'habit de ce sexe.
Seite 73 - Moselle; 4. histoire du chapitre de la Cathédrale de Metz ; 5. histoire de l'une des collégiales ayant appartenu ou appartenant au diocèse de Metz (Sainte-Agathe de Longuyon, Sainte-Pierre-auxImages, Saint-Etienne de Sarrebourg, Saint-Arnual, près de Sarrebruck, etc.) ; 6.
Seite 35 - Chateaubriand; cette place dissimulait, derrière les paravents et les fauteuils des femmes , la disgrâce de ses épaules inégales, de sa taille courte, de ses jambes grêles ; on n'entrevoyait que le buste viril et la tête olympienne.
Seite 45 - Ainsi le grand vieillard, en images hardies, Déployait le tissu des saintes mélodies. Les trois enfants, émus à son auguste aspect, Admiraient, d'un regard de joie et de respect, De sa bouche abonder les paroles divines, Comme en hiver la neige aux sommets des collines.
Seite 40 - ... ne vivent pas volontiers ensemble : le labeur d'un bénédictin avec l'imagination pénétrante d'une femme nerveuse ; la hardiesse à tout dire en gardant toutes les nuances de l'équité ; le goût de l'exactitude et la passion du vrai de Courbet, avec le sentiment de l'idéal d'Ingres...
Seite 149 - ... d'autres vœux solennels que ceux du baptême et du sacerdoce, compagnie où une sainte liberté fait le saint engagement, où l'on obéit sans dépendre, où l'on gouverne sans commander, où toute l'autorité est dans la douceur et où le respect s'entretient sans le secours de la crainte...
Seite 34 - Elle a dans le caractère ce que Shakspeare appelle milk of human kindness (le lait de la bonté humaine ) , une douceur tendre et compatissante. Elle voit les défauts de ses amis, mais elle les soigne en eux comme elle soignerait leurs infirmités physiques.
Seite 43 - C'est une réunion de personnes trop illustres pour mon obscurité. Dans sept ans, quand je serai professeur, je profiterai de la bienveillance qu'on me témoigne. » Le terme de sept ans que la modestie de ce jeune homme se fixait à lui-même, ajournant la renommée à ce délai, amusa et charma la société de l'Abbaye. La réputation, on pourrait dire la gloire, fut exacte à l'échéance qu'Ozanam lui avait marquée. Il revint chez M...