| Louis-René de Caradeuc de La Chalotais - 1763 - 418 Seiten
...litterarum intemperantiâ laborumus. Il n'y a jamais eu tant d'Etudians dans un Royaume où tout le monde fe plaint de la dépopulation : le Peuple même veut étudier ; des Laboureurs » des Artifans envoient leurs enfans dans les Colleges des petites Villes , où il coûte peu pour vivre... | |
| France. Comité des travaux historiques et scientifiques - 1869 - 634 Seiten
...d'un marteau; il les habitue à une vie sédentaire, qui les transformera en valets ou en moines. . . Des laboureurs, des artisans, envoient leurs enfants dans les collèges des petites villes; ils y font de mauvaises études, ilsyapprennent à dédaigner la profession de leurs parents, puis... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1875 - 1012 Seiten
...n'ya jamais eu tant d'étudiants, s'écriait-il; le peuple JIÈME veut étudier; les laboureurs, les artisans envoient leurs enfants dans les collèges des petites villes, où il en coûte si peu pour vivre » a ; cl VolUire ballait des mains : t Je vous remercie, écrivait-il à La Chalolais,... | |
| Anatole de Charmasse - 1878 - 222 Seiten
...s'il ya assez de laboureurs, assez de soldats. Il n'ya jamais eu tant d'étudiants dans un royaume où tout le monde se plaint de la dépopulation :...des petites villes où il en coûte peu pour vivre. Les frères de la Doctrine chrétienne sont survenus pour achever de tout perdre : ils apprennent à... | |
| 1890 - 522 Seiten
...ou La Chalotais (1762) : «N'y at-il pas trop d'écrivains, trop d'académiciens, trop de collèges ?...Le peuple même veut étudier; des laboureurs,...leurs enfants dans les collèges des petites villes Les frères de la doctrine chrétienne, qu on appelle ignorantins, sont survenus pour achever de tout... | |
| Jules Rolland - 1879 - 434 Seiten
...d'écrivains, trop d'académiciens, trop « de colléges? Il n'ya jamais eu tant d'étudiants.... « le peuple même veut étudier; des laboureurs, des « artisans envoient leurs enfants dans les colléges des « petites villes, où il en coûte si peu pour vivre « Mtiltorum manibus egent res... | |
| Jules Rolland - 1879 - 456 Seiten
...d'écrivains, trop d'académiciens, trop « de colléges? Il n'ya jamais eu tant d'itudiants.... « le peuple même veut étudier; des laboureurs, des « artisans envoient leurs enfants dans les colléges des « petites villes, où il en coûte si peu pour vivre « Multorum manibus egent rcs humanœ,... | |
| Ernest Allain - 1881 - 348 Seiten
...muitarum rcrum, sic Hllerarnm intemperantia laboramus. Il n'ya jamais eu tant d'étudiants dans un royaume où tout le monde se plaint de la dépopulation. Le...des petites villes où il en coûte peu pour vivre et quand ils ont fait de mauvaises études qui ne leur ont appris qu'à dédaigner la profession de... | |
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