Essai historique, politique, et moral, sur les révolutions, anciennes et modernesH. Colburn, 1815 - 388 Seiten |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 28
Seite
... présent Essai , et ces traits ingénieux et délicats qui distinguent si émi- nemment son Génie du Christianisme , dont ils com- prennent la Défense . TABLE DES MATIÈRE S. Préface Introduction Exposition Chap . I. viii PREFACE .
... présent Essai , et ces traits ingénieux et délicats qui distinguent si émi- nemment son Génie du Christianisme , dont ils com- prennent la Défense . TABLE DES MATIÈRE S. Préface Introduction Exposition Chap . I. viii PREFACE .
Seite 5
... sorte que celle - ci servira de foyer commun , où viendront converger tous les traits épars de la morale , de l'histoire et de la politique . Fixons d'abord la valeur que je donne au mot révolution 3 B INTRODUCTION . 5.
... sorte que celle - ci servira de foyer commun , où viendront converger tous les traits épars de la morale , de l'histoire et de la politique . Fixons d'abord la valeur que je donne au mot révolution 3 B INTRODUCTION . 5.
Seite 7
... traits de ressemblance . J'aurois pu m'étendre sur les révolutions de Thèbes , d'Argos et de Mycènes ; les annales de la Suède et de la Pologne , celles des villes Impériales , les insur- rections de quelques cités d'Espagne et du roy ...
... traits de ressemblance . J'aurois pu m'étendre sur les révolutions de Thèbes , d'Argos et de Mycènes ; les annales de la Suède et de la Pologne , celles des villes Impériales , les insur- rections de quelques cités d'Espagne et du roy ...
Seite 8
... traits ; ceux qui offrent des leçons à suivre , ou des exemples à imiter . Je n'ai pas prétendu écrire un roman , dans lequel , pliant de force les événemens à mon systême , je n'eusse laissé après moi qu'un de ces monumens déplorables ...
... traits ; ceux qui offrent des leçons à suivre , ou des exemples à imiter . Je n'ai pas prétendu écrire un roman , dans lequel , pliant de force les événemens à mon systême , je n'eusse laissé après moi qu'un de ces monumens déplorables ...
Seite 19
... trait commun à toutes les révolutions dans le sens républicain , qu'elles ont rarement commencé par le peuple . Ce sont tou- jours les nobles qui , en proportion de leur force et de leurs richesses ont attaqué les premiers la puissance ...
... trait commun à toutes les révolutions dans le sens républicain , qu'elles ont rarement commencé par le peuple . Ce sont tou- jours les nobles qui , en proportion de leur force et de leurs richesses ont attaqué les premiers la puissance ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Agis âme Ariabignès Athènes Athéniens auroit avoient avoit bataille bataille de Salamine bientôt bonheur c'étoit Carthage Carthaginois cause CHAPITRE chose chûte citoyens cœur connoissance considérable constitution crime Critias d'Athènes Darius Denys devoit Dieu dieux différens disoit enfans ennemis Etats étoient étoit faction faisoit foible général génie gouvernemens gouvernement Grèce guerre guerre Médique habitans Harmodius Hippias hommes J. J. Rousseau j'ai Jacobins Jean-Jacques Rousseau jetter jours l'antiquité l'Egypte l'Europe l'histoire l'homme l'influence Lacédémone Lacédémoniens liberté livre loix long-temps lumières Lycurgue main malheureux maux ment mille misère modernes mœurs monarchie monarque monde morale mort n'avoient n'avoit nations passé passions patrie pays père Perses peuple philosophie Pisistrate Platon politique pouvoit premier prince principes Pythagore qu'un répu république reste révolution Françoise révolution républicaine rois s'étoient Scythes second Sénat seroit seul siècle société Solon Sparte sujet Syracuse systême talens terre tête Thémistocle Théramènes tion trône troupes trouve trouvoit tyrans vertu vices Xerxès Zoroastre
Beliebte Passagen
Seite 15 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Seite 359 - Vous vous fiez à l'ordre actuel de la société sans songer que cet ordre est sujet à des révolutions inévitables, et qu'il vous est impossible de prévoir ni de prévenir celle qui peut regarder vos enfants. Le grand devient petit, le riche devient pauvre, le monarque devient sujet : les coups du sort sont-ils si rares que vous puissiez compter d'en être exempt ? Nous approchons de l'état de crise et du siècle des révolutions...
Seite 66 - Si vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours : Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'amour tient son empire, Le temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge, De son âge a tout le malheur.
Seite 85 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Seite 335 - D'ailleurs il ya toujours quelque chose de bon dans une révolution, et ce quelque chose survit à la révolution même. Ceux qui sont placés près d'un événement tragique sont beaucoup plus frappés des maux que des avantages qui en résultent ; mais pour ceux qui s'en trouvent à une grande distance l'effet est précisément inverse; pour les premiers, le dénoùment est en action, pour les seconds en récit.
Seite 118 - Nos gazettes ne nous parlent que des Romains de Boston et des tyrans de Londres. Moimême, épris de la même ardeur lorsque j'arrivai à Philadelphie, plein de mon Raynal, je demandai en grâce qu'on me montrât un de ces fameux quakers, vertueux descendants de Guillaume Penn. Quelle fut ma surprise quand on me dit que, si je...
Seite 68 - Et de jeunes beautés, qui, sous l'œil maternel, Adoucissent encor par leur voix innocente De la religion la pompe attendrissante, Cet orgue qui se tait, ce silence pieux, L'invisible union de la terre et des cieux, Tout enflamme, agrandit, émeut l'homme sensible...
Seite 305 - Lorsque la brune commence à confondre les objets, notre infortuné s'aventure hors de sa retraite, et, traversant en hâte les lieux fréquentés, il gagne quelque chemin solitaire, où il puisse errer en liberté. Un jour il va s'asseoir au sommet d'une colline qui domine la ville et commande une vaste contrée; il contemple les feux qui brillent dans l'étendue du paysage obscur, sous tous ces toits habités.
Seite 350 - J'évite de parler de Condillac et de Mably , je ne dis pas de Jean-Jacques et de Montesquieu, deux hommes d'une trempe supérieure aux encyclopédistes. Quel fut donc l'esprit de cette secte? La destruction. Détruire, voilà leur but; détruire, leur argument.
Seite 306 - Un jour il va s'asseoir au sommet d'une colline qui domine la ville et commande une vaste contrée; il contemple les feux qui brillent dans l'étendue du paysage obscur, sous tous ces toits habités. Ici, il voit éclater le réverbère à la porte de cet hôtel, dont les habitants, plongés dans les plaisirs, ignorent qu'il est un misérable, occupé seul à regarder de loin la lumière de leurs fêtes : lui qui eut aussi des fêtes et des amis ! il ramène ensuite ses regards sur quelque petit...