 | Denis Diderot, Alembert - 1782 - 1006 Seiten
...remords leur pencha'it amoureux ; Tous tes jours fe levaient clairs &fercins four eux ; Et moi , tti/le rebut de la nature entière , Je me cachais au jour , je fuyais la lutnirre. La mort ejl If ftul dieu que j'tftis intflorer. & de là fou égarement & fon dcferpotr rendent... | |
 | 1787 - 360 Seiten
...Ils suivoient , sans remords , leur penchant amoureux. Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux !.«. Et moi , triste rebut de la nature entière , Je me cachois au jour , je fuyois la lumière ; la mort est le seul Dieu que j'osois implorer : J'attendois... | |
 | 1787 - 354 Seiten
...Ils suivoient , sans remords , leur penchant amoureux. Tous les jours se levoient clairs et setcins pour eux !..* Et moi» triste rebut de la nature entière, Je me cnchois au jour , je fuyois la lumière > T a mort est le seul Dieu que j'osois implorer : J'attendais... | |
 | Voltaire - 1792 - 522 Seiten
...remords , leur penchant amoureux ; Tous les jours fe levaient clairs & fereins pour eux; Et moi , trifte rebut de la nature entière , Je me cachais au jour, je fuyais la lumière ; La mort eft le feul dieu que j'ofais implorer , &c. iOt ADÉLAÏDE DU GUESCLÏN. VENDOME, l'Officier des Gardes.... | |
 | Jean Racine - 1796 - 466 Seiten
...; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux : Et moi , triste rebut de la nature entière,...; J'attendais le moment où j'allais expirer , Me nourrissant de fiel , de larmes abreuvée : Encor dans mon malheur, de trop près observée, Je n'osais... | |
 | Quintin Craufurd - 1803 - 658 Seiten
...l'innocence. IIssuivoient, sansremords, leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux. Et moi , triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière. La mort est le seul dieu que j'osois implorer; J'attendois... | |
 | Quintin Craufurd - 1803 - 650 Seiten
...l'innocence. Ilssuivoient, sansremords, leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachois au jour, je fuyois la lumière. La mort est le seul dieu que j'osois implorer; J'attendois... | |
 | Jean Racine - 1804 - 384 Seiten
...l'innocence; Ils suivoicut sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levoient clairs et sereins pour eux : Et moi, triste rebut de la nature entière^ Je me cachois au jour, je fuyois la lumière; La mort est le seul dieu que j'osois implorer. J'altendois... | |
 | Jean Racine - 1813 - 300 Seiten
...se levaient clairs et sereins pour eux: Et moi, triste rabnt de la nature entière, Je me cacbaia an jour, je fuyais la lumière; La mort est le seul dieu...implorer. J'attendais le moment où j'allais expirer : Me nourrissant de fiel, de larmes abreuvée, Kncor, dans mon malbaur de trop près observée , Je n'osais... | |
 | Jean François de La Harpe - 1817 - 656 Seiten
...l'innocence. Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux ; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi , triste rebut de la nature entière...implorer ; J'attendais le moment où j'allais expirer. Me nourrissant de fiel , de larmes abreuvée , Encor dans mon malheur de trop près observée , Je n'osais... | |
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Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux. Et moi, triste rebut de la nature entière, Je me cachais au jour, je fuyais la lumière; La Mort est le seul dieu que j'osais implorer. 
