... que considérer l'état des Sauvages. Ils luttent sans cesse contre la famine : elle moissonne quelquefois en peu de jours des peuplades .entières. La rivalité des subsistances produit parmi eux les guerres les plus cruelles,; et l'homme poursuit... Bibliotheque britannique - Seite 293herausgegeben von - 1797Vollansicht - Über dieses Buch
| Heinrich Friedrich von Storch - 1823 - 806 Seiten
...guerres les plus cruelles, et l'homme poursuit l'homme comme les bêtes féroces, pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentimens de la nature : la pitié s'allie à l'insensibilité pour donner la mort aux vieillards,... | |
| Heinrich Friedrich von Storch - 1823 - 544 Seiten
...guerres les plus cruelles, et l'homme poursuit l'homme comme les bêtes féroces, pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentimens de la nature : là pitié s'allie à l'insensibilité pour donner la mort aux vieillards,... | |
| 1840 - 558 Seiten
...guerres les plus cruelles , et l'homme poursuit l'homme comme les bêtes féroces pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentiments de la nature : la pitié * 1t ne s'ensuit pas que la somme du mal l'emporte sur cetle du... | |
| Jeremy Bentham - 1840 - 576 Seiten
...guerres les plus cruelles , et l'homme poursuit l'homme comme les bûtes féroces pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentiments de la nature : la pitié s'allie à l'insensibilité pour donner la mort aux vieillards... | |
| Jeremy Bentham - 1858 - 424 Seiten
...guerres les plus cruelles, et l'homme poursuit l'homme comme les bêtes féroces pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentiments de la nature : la pitié s'allie à l'insensibilité pour donner la mort aux vieillards... | |
| Philippe Gérard, François Ost, Michel Van de Kerchove - 1987 - 750 Seiten
...partant, du (..Jcruelles, et l'hcmme poursuit l'homme comme les bêtes féroces pour s'en nourrir. La crainte de cette horrible calamité fait taire chez eux les plus doux sentiments de la nature : la pitié s'allie à l'insensibilité pour donner la la mort aux vieillards... | |
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