Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1824 |
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Seite 181 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Seite 188 - Pâitie, qui consolait Socrate mourant. On prétendait plus : on s'efforça d'ériger l'athéisme en un culte plus intolérant que la superstition. On attaqua l'idée de la Providence éternelle, qui, sans doute, a veillé sur nous. On aurait cru que l'on voulait bannir du monde les affections généreuses d'un peuple libre, la nature, l'humanité, l'Être suprême, pour n'y laisser que le néant, la tyrannie et le crime.
Seite 183 - Craint-il les yeux et les oreilles du peuple ? » Craint-il que sa triste figure ne présente visiblement le crime ; que six mille regards fixés sur lui ne découvrent dans ses yeux son âme tout entière , et qu'en dépit de la nature qui les a cachés on y lise ses pensées? » Craint il que son langage ne décèle l'embarras et les contradictions d'un coupable...
Seite 61 - de célébrer la victoire : nous envoyons « ce soir deux cent treize rebelles sous
Seite 91 - ... le jour de leur jugement; depuis son établissement, au mois de juillet 1792, jusqu'à ce jour. Rédigé et présenté aux amis de ses prouesses, par le citoyen Tisset, rue de la Barillerie, n" 13, coopérateur du succès de la République française, an II, 4 parties, in-8, br.
Seite 56 - hommes qui réservent toute leur sensibilité pour » des contre-révolutionnaires , qui évoquent dou» loureusement les mânes des assassins de nos » frères ? Qui sont ceux qui ont des larmes de reste » pour pleurer sur les cadavres des ennemis de la » liberté, alors que le cœur de la patrie est dé...
Seite 122 - Révolution marche à grands pas vers une fin heureuse, puisqu'elle amène toutes les opinions à un seul centre politique ; aujourd'hui qu'il ne doit plus y avoir d'autre culte public et national que celui de la liberté et de la sainte égalité...
Seite 77 - Considérant que le peuple français ne peut reconnaître d'autres signes privilégiés que ceux de la loi , de la justice et de la liberté ; d'autre culte que celui de la morale universelle , d'autre dogme que celui de sa souveraineté et de sa toute-puissance...
Seite 60 - Et nous aussi, mon ami, nous avons contribué à la prise de Toulon, en portant l'épouvante parmi les lâches qui y sont entrés, en offrant à leurs regards des milliers de cadavres de leurs complices.
Seite 107 - ... côtés, cette classe d'êtres monstrueux, vampires de la société, sangsues de tous les peuples, êtres vils et méprisables que l'on nomme...