Chrestomathie française du XIXe siècle, Band 1Payot & cie, 1902 |
Inhalt
333 | |
339 | |
346 | |
355 | |
366 | |
396 | |
417 | |
426 | |
168 | |
179 | |
188 | |
198 | |
214 | |
223 | |
232 | |
249 | |
256 | |
264 | |
282 | |
307 | |
316 | |
325 | |
432 | |
445 | |
461 | |
477 | |
511 | |
526 | |
537 | |
544 | |
550 | |
559 | |
568 | |
575 | |
583 | |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine Keine Leseprobe verfügbar - 2017 |
Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine Keine Leseprobe verfügbar - 2017 |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
ailes aime âme amour baiser beau blanche bleu bois bras brise bruit chant charme ciel cieux cœur Critiques à consulter CYRANO d'or deuil Dieu divin dormez douce douleur doux éditeur ELÉNA enfant éternel étoiles Eugène Rambert Euvres à lire Extrait des Poèmes FALIERO fleurs flots frémissant frisson front Gérald gloire Hélas HÉLÈNE VACARESCO Henri Warnery HERNANI j'ai jour joyeux Jules Lemaître l'air l'âme l'amour l'azur l'homme l'horizon l'ombre là-bas Leconte de Lisle littéraire lointain main Marino Faliero mère MICHEL CONSTANTIN monde Montfleury mort mourir neige noble noir nuit œuvres ombre OTBERT pâle parfums parnassiens passe pensée père peuple Philippe Godet pieds plaine pleurs poésie poète poétiques qu'un rayons regard rêve rien romantisme roses Sainte-Beuve sang sanglots Seigneur sent seul soir soleil sombre souffle Sully Prudhomme symbolisme terre tombe tombeau tremble triste vague vent Victor Hugo vieux Virgile Rossel Voici voiles voix yeux ZEUS
Beliebte Passagen
Seite 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Seite 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Seite 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Seite 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Seite 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Seite 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Seite 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Seite 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Seite 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Seite 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?