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lément. C'est la médecine analytique, qu'il ne faut pas faire descendre, comme on l'a fait, en la poussant jusqu'à chercher un médicament par symptôme. C'était là, en effet, son écueil, et la thérapeutique analytique serait tombée dans les détails, où elle se serait peut-être toyée, si elle ne venait de trouver dans les expériences faites sur les animaux une force nouvelle.

Nous ne négligerons donc aucune de ces ressources données par les générations qui nous ont précédés, et nous irons chercher jusque dans la loxicologie expérimentale tout ce qui pourra contribuer à guérir ou tout au moins à soulager hos malades.

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Des erreurs et préjugés concernant le traitement de la rougeole et de la scarlatine. M. Scoutelten conseille le traitement suivant :

La maladie a une durée limitée, de, huit à neuf jours ; si aucune complication ne survient, on doit se borner à observer la marche de la maladie. favoriser la régularité de toutes les fonctions. Comme nous ne connaissons pas la nature du mal, il nous est impossible d'agir sur lui; nous devons donc surveiller les organes malades et combattre par les moyens antiphlogistiques ordinaires les accidents inflammatoires lorsqu'ils pren nent des proportions trop fortes. Au moyen thérapeutique on peut substituer, souvent avec graud avantage, l'emploi méthodique de l'eau froide. « Ce n'est pas sans mûre réflexion, ajoute M. Scoutetlen, et surtout sans avoir acquis, par une longue expérience la certitude que ce moyen donne des résultats supérieurs à tous les autres, que je le mets en relief, et que je propose de le substituer à ceux habituellement employés, lorsqu'il y a nécessité de faire cesser des accidents qui troublent la marche régulière de la maladie. »

C'est un vain préjugé qui fait redouter au public et aux médecins toutes les causes de refroidissement dans la rougeole et la scarlatine. Les

médecins distingués dont les ouvrages font encore autorité dans la science ont signalé l'emploi de l'eau froide comme un moyen très efficace. Parmi les Allemands, Hufeland, Froelich, Frédéric Hoffmann; chez les Anglais, les docteurs Wright et Currie; en Italie, Giannini ont préconisé ce traitement.

L'auteur passe ensuite aux modes d'application des moyens hydrothérapiques.

La maladie suit-elle son cours régulier, il n'y a rien à faire mais survient-il de l'agitation, l'éruption s'arrête-t-elle, il y remédie comme il suit : « Une serviette est trempée dans de l'eau froide contenue dans une cuvette, on comprime cette serviette suffisamment pour que le linge ne soit plus que fortement humide, et on en frotte toutes les parties du corps mises successivement à nù. » Si un seule friction ne suffit pas on en fait une seconde; puis le malade est enveloppé dans une Couverture de laine, comme un enfant au maillot. Alors la réaction s'opère et il est rare, très-rare, que l'éruption ne soit pas complète dès le soir même.

S'il y a une angine simple, il faut appliquer sur le cou en forme de cravate une serviette trempée dans l'eau froide et la renouveler dès qu'elle s'échauffe.

Troisième période.

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Convales

cence et traitement préventif des accidents consécutifs.

Plusieurs accidents peuvent survenir pendant la convalescence des maladies éruptives qui nous occupent; de là les précautions les plus minutieuses pour en sauvegarder les jeunes malades, telles que séjour au lit le plus longtemps possible, défense de quitter la chambre pendant au moins quarante jours, etc., précautions dont on peut facilement se dispenser si l'on suit les conseils qu'il indique, Pendant la maladie l'épiderme a été sou. levé, la transpiration cutanée ne se fait plus qu'incomplétement et même s'arrête si la peau est brusquement refroidie; les reins et les membranes séreuses sont alors obligés de suppléer la peau dans ses fonctions; de là des épanchements séreux dans les plèvres, le péritoine, le tissu cellulaire de la peau et l'albuminurie. Pour éviter tous ces accidents il faudrait débarrasser la peau de l'épiderme desséché, ce qui s'obtient facilement en frictionnant tout le corps du malade avec de l'huile d'amandes douces.

Un dernier conseil que nous donne l'auteur est celui de supprimer le purgatif que l'on a coutume d'administrer pendant la convalescence de la scarlatine ou de la rougeole. M. Grisolle, qui combat les affusions froides dans ces maladies, se trouve ici d'accord avec notre auteur. Trousseau ne condamne pas les affusions froides, mais il les veut de quelques secondes et appliquées au moment convenable; les immersions prolongées et les applications de glace sur la tête sont énergiquemant prescrites par lui. (Mouvement médical.)

Emploi du bromure de potassium à haute dose contre l'épilepsie. M. le docteur Legrand du Saulle, médecin de Bicêtre, vient de publier une étude sur le pronostic et le traitement de l'épilepsie. Nous en extrayons la partie pratique, celle qui a trait spécialement au traitement. Cette note vient compléter les nombreux travaux sur le bromure de po tassium, insérés dans ce recueil qui a été le premier en France à préconiser ce précieux médicament. (Voyez les articles de Gubler, Debout, Vigouroux, Voisin, Martin-Damourette et Pelvet.)

Ce fut en Angleterre, en 1861, que l'on constata pour la première fois l'utilité du bromure de potassium dans l'épilepsie. Sur 15 cas, sir Ch. Lo

cock obtint 14 succès. Radcliffe et Brown-Séquard imitèrent à l'envi leur devancier et publièrent un peu plus tard des observations extrêmement significatives. A l'asile de Northampton, le docteur Williams soumit trente-sept épileptiques à la médication bromurée, et trente malades virent leurs attaques s'éloigner considérablement. Robert M'Donnel fit connaître ensuite les résultats très-encourageants de sa pratique, et il fit observer avec justesse que les médecins n'osaient pas prescrire le bromure de potassium ou en prescrivaient des doses beaucoup trop faibles (1).

En France, en 1864, M. Blache guérit, à l'hôpital des Enfants-Malades, un jeune garçon de dix ans qui avait toutes les nuits des accès d'épilepsie. Le sel de brome fut employé à la dose de 1, 2 et 3 grammes. Presque à ce même moment, MM. Bazin et J. Besnier publièrent trois observations suivies de guérison (2). L'opinion publique commença alors à s'émouvoir. Le bromure de potassium entra dans la pratique courante, mais les expérimentateurs firent généralement preuve de timidité et ils n'administrèrent le médicament qu'à des doses inertes! Aussi, ne réussirentils point. J'en prends plutôt à témoin M. Peulevé, interne à la Salpêtrière, qui a rapporté (3) que son maître, M. Moreau (de Tours), avait fait suivre à des malades de son service un traitement par le bromure de potassium, pendant trois mois, et qu'il avait commencé par la dose de 50 centigrammes pour finir par celle de 3 grammes. Malgré toute son habileté, M. Moreau devait fatalement échouer. On n'obtient rien, en effet, chez les adultes, en aussi peu de temps et avec des doses aussi minimes.

M. A. Voisin s'est chargé de démontrer toute la justesse de cette proposition dans l'intéressante relation clinique qu'il a publiée en 1866 (4), et qui renferme les observations trèsconcluantes qu'il a recueillies à l'hos pice de Bicêtre et en ville. Ce recommandable praticien a eu l'heureux

(1) Dublin. Quarterly Journal of medical science, 1864.

(2) Gazette des hôpitaux, 1865.
(3) Union médicale, 1865.

(4) Bulletin général de Thérapeutique.

courage de prescrire le bromure de potassium à haute dose (de 4 à 12 grammes par jour). Tout naturellement, ce médicament ne lui a paru être d'aucune utilité dans l'épilepsie liée à des lésions cérébrales, congé-niales ou accidentelles, tandis qu'il lui a rendu des services signalés dans l'épilepsie qui est due à une grande impressionnabilité, à l'exaltation de la sensibilité, «< au tempérament nerveux, »> aux émotions vives, à la peur, aux excitations génitales et aux influences héréditaires. « Sur 24 malades, dit M. A. Voisin, qui ont été traités par le bromure de potassium, 4 out cessé d'avoir des accès, 6 ont été très-améliorés, 10 ont été un peu améliorés, 4 n'ont ressenti ancun bon effet du médicament. >>

Que sont devenus ces malades depuis que M. A. Voisin a quitté Bicêtre, et comment le bromure de potassium réussit-il aujourd'hui dans son ancien service? C'est à M. J. Falret à nous l'apprendre. Voici, à cette occasion, la note que m'a remise mon savant collègue:

«Le 1er avril 1867, j'ai pris le service de la troisième section. A ce moment-là, une vingtaine de malades au moins étaient en traitement par le bromure de potassium. Sur 15 épileptiques déjà traités avec succès par M. A. Voisin et chez lesquels on a continué l'usage du bromure jusqu'à leur sortie ou jusqu'à ce jour (20 octobre 1868), 10 malades ont éprouvé une amélioration tellement notable qu'elle équivaut presque à une guérison pour plusieurs d'entre eux, dont les attaques sont devenues extrêmement rares. Chez ces 15 malades, la dose du bromure a été

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par jour de 7 à 11 grammes 50 centigrammes, mais cette dernière dose n'a été prescrite qu'à un seul malade.

« Cette amélioration se maintient au même degré depuis le 1er avril 1867, et elle existait déjà auparavant. Sur ces 15 malades, 7 sont encore dans le service et, sur ce nombre, 4 continuent à être très-notablement améliorés, tandis que les 3 autres ne paraissent pas éprouver d'influence favorable, par le fait de la continuation du médica ment.

«En ce moment, 21 épileptiques sont encore en traitement par le bromure. Sur ce nombre se trouvent : 1o les 7 malades ci-dessus mentionnés, déjà traités par M. A. Voisin, et

sur lesquels il y a quatre améliorations très-considérables et 3 insucces; 2o 8 malades ayant pris du bromure depuis plus d'un an, et sur lesquels 4 ont éprouvé une amélioration trèsnotable dans leur état, tandis que 4 n'en ont ressenti qu'une influence douteuse; 3o 6 malades, qui prennent du bromure depuis trop peu de temps (un ou deux mois), pour que l'on puisse noter déjà des effets quelconques.

« J'ai fait, ajoute M. J. Falret, sur l'emploi du bromure, les observations générales suivantes: 1° l'action favorable du médicament ne commence à étre sensible qu'à partir de la dose de 4 grammes; 2o la dose a pu être portée progressivement jusqu'à 118,50 (dose maximum), sans déterminer jamais aucun accident; 5o la dose la plus habituelle à laquelle je m'arrête est de 7 à 9 grammes par jour; 4o on ne commence d'ordinaire à constater des résultats favorables que lorsque l'éruption de boutons se montre à la peau, et surtout au front et à la face, el, en général, les malades qui n'ont pas d'éruption à la peau n'éprouvent pas de bons effets par suite de l'action du bromure; 5 très-peu de malades se plaignent de l'usage de ce médicament et en demandent la cessation. La plupart d'entre eux, au contraire, constatent leur amélioration progressive et demandent à continuer l'usage du bromure, même lorsqu'ils sortent de l'hôpital; 6° je n'ai pas vu, à Bicêtre, d'accidents, ou même d'inconvénients fâcheux, par suite de l'emploi du bromure de potassium. »>

Je dois maintenant faire intervenir les faits de ma pratique personnelle. Et, d'abord, comme j'ai jusqu'à présent passé, à propos du traitement de l'épilepsie, par trois alternatives trèsdistinctes, je me crois obligé de déposer un bilan complet et d'exposer les résultats si différents auxquels je suis arrivé.

10 Epoque antérieure au bromure.

De 1856 à 1864, j'ai traité en ville 17 épileptiques. J'ai obtenu 1 guérison chez un jeune homme de vingt ans, à l'aide de la teinture de cantharides, 4 améliorations très appréciables (belladone, lactate de zinc, valérianate de quinine, etc., etc.), et j'ai compté 12 insuccès;

20 Usage infructueux du bromure.

De 1864 à 1867, j'ai donné des soins en ville à 9 épileptiques. Par l'atropine, le nitrate d'argent, l'hy

drothérapie et le jardinage, j'ai amélioré notablement 3 malades et j'ai échoué chez les 6 autres. C'est alors qu'en désespoir de cause, je prescri vis du bromure de potassium à ces derniers. Je venais de lire, en effet, des extraits de la clinique spéciale de Brown-Séquard, à Londres, et j'avais été étonné des résultats beureux de cet éminent praticien. Je com mençai par administrer le médicament à la dose de 5 centigrammes par jour, à prendre en trois fois, et après beaucoup de tâtonnements et d'hésitations, je l'élevai progressivement jusqu'à 18,10. Dans ces six cas, le bromure de potassium n'amena aucun résultat appréciable;

3° Succes par le brumüre (1867 et 1868). En réunissant, comme l'a fait M. A. Voisin, les faits que j'ai observés à Bicêtre et ceux que j'ai recueillis en ville, j'arrive à un total de 41 épileptiques qui ont été soumis par moi à la médication bromurée. Je commence à défalquer de ce chiffre un malade à épilepsie saturnine et deux alcoolisés, dont les accidents convulsifs avaient été parfaitement bien observés et notés. Ils ont guéris tous trois, mais le bromure de potassium y a-t-il été pour quelque chose? N'auraient-ils pas pu sortir également guéris satis l'action du médicament? Je le crois.

Reste done à 58 Le dépouillement de mes notes et observations me fournit les chiffres suivants: guérison très-probable (pas d'accès depuis onze mois), 1; suspensions très-prolongées de tout accident épileptique (de trois à sept mois), 5; améliorations sérieuses (rémissions de 25 à 72 jours), 6; insuccès, 9; total 21 Dix-sept autres malades, dont 10 à Bicêtre et 7 en ville ou daus les départements, sont en traitement depuis un temps variable. (Gazette des hôpitaux.)

De l'emploi de la fève de Calabar dans le traitement du têtanos. Après avoir relaté un nouveau cas de tétanos, traité malheureusement sans succès, par la fève de Calabar, et publié par C. V. Ridout nous réunirons sous forme de tableau statistique les faits que nous connaissons sur ce sujet.

M. L..., intendant d'une ferme, âgé de quarante-sept ans, d'une bonne constitution, d'habitudes tempérées, en retournant chez lui dans la soirée

du 29 avril, tomba de cheval et tomba sur les mains.

Lorsque M. Ridout vit le malade, il souffrait d'une luxation compliquée de la première phalange du pouce gauche, et de lésions étendues des ligaments et des muscles du poignet droit, mais sans fracture. Il y avait aussi une luxation simple en arrière de la première phalange du quatrième doigt de la main droite et une légère plaie du sourcil droit, mais sans autcun symptôme de contusion ou d'autres injures de la tête. Les luxations furent réduites avec quelque difficulté, en raison du tempérament nerveux du malade. Il alla bien jusqu'au 12 mai, lorsqu'apparurent quelques menaces de tétanos (douleur, roideur à la nuque). Ces symptômes augmentèrent jusqu'au 17 mai, la mâchoire était fortement fixée, les dents ne pouvaient être écartées de plus d'un quart de pouce et le malade n'avalait les liquides qu'avec une cuiller. Parfois, spasmes de la face, serrement des mains et grande agitation.

18 mai. Prescription: prendre toutes les heures 10 minims (équivalant à un sixième de grain; de la préparation suivante :

Extrait de fevé de Calabar. 8 grains. Esprit-de-vin... 1 once.

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20. Mêmes symptômes. Le malade prend librement de la nourriture, mais if à quelque peine à avaler. Pouls, 80; selles. Le 21, à deux heures du matin, L... était incapable de se coucher à cause d'une sensation de suffocation; spasmes pharyngiens; rire sardonique très-net Pouls, 100. 15 minims de fève de Calabar par heure. Selles et urines régulières. A huit heures du soir, le pouls était retombé à 80. Le malade á dormi un peu. Les spasmes continuent. Une vessie remplie de glace, appliquée sur la nuque, a produit quelque sou lagement.

22, sept heures du matin. Nuit meilleure, moins de spasmes; l'impossibilité du décubitus dorsal persiste. 20 minims (1 tiers de grain d'extrait)

d'heure en heure; le soir, à huit heures, les convulsions et le sentiment de suffocation ont disparu. Pas de sommeil; le malade ne peut se coucher. La même dose de fève de Calabar est donnée pendant la nuit toutes les deux heures. Vessie de glace. Le 23, les symptômes tétaniques étaient décidément moins prononcés; expectoration muqueuse abondante. Même quantité de feve de Calabar.

24 et 25. Par moments les spasmes augmentent d'intensité, sans aggravation ni amendement des symptômes.

26. 30 minims (un demi-grain d'extrait); alimentation; pouls à 80.

29. Accès très-fort le soir. Dents énergiquement contractées, crampes dans les mains et les pieds. 40 minims (deux tiers de grain d'extrait).

30. Nuit bonne. Persistance des spasmes. Toux fatigante et expectora

tion abondante. Il est décidément plus faible. Deux selles involontaires. Pouls à 120.

31. Durant la nuit, la gène de la déglutition est devenue plus grande, par suite probablement de l'accumulation du mucus. A cinq beures du matin, L... fut pris de convulsions et mourut deux heures plus tard. M. Ridout fait remarquer en terminant que la feve de Calabar parut retarder et adoucir les symptômes sans pouvoir toutefois les juguler définitivement.

Nous profitons de la publication de ce nouveau cas de tétanos traité par la feve de Calabar pour résumer, sous forme de tableau, les faits semblables que nous avons enregistrés Nous n'avons pas la prétention de connaître tous ceux qui ont été publiés; tontefois le chiffre auquel nous sommes parvenu est assez élevé pour permettre aux médecins d'avoir une opinion sur ce point.

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(1) Concurremment à la fève de Calabar, d'autres médicaments ont été administrés.

Sur 11 cas (hommes, enfants), il y a eu 7 guérisons et 4 morts. Il est à désirer que les observateurs qui ont employé la fève de Calabar contre le tétanos, livrent à la publicité leurs observations, afin que l'on arrive à des conclusions sérieuses.

Nous ferons encore observer que

Cinq cas de Phimosis chez l'adulte opérés par dilatation. Quand nous annonçons un moyen curatif nouveau ou supposé tel, nous nous réservons d'en suivre l'application. C'est ce que nous faisons pour la pince dilatatrice introduite pár

dans ce cas le mode d'administration de la fève de Calabar a été vicieux et qu'il fallait employer la méthode hypodermique qui permet presque à coup sur de doser, le médicament de façon à combattre les symptômes. (The Lancet et Mouvement médical.)

M. Nélaton dans le traitement du phimosis congénital.

Les Annales de la Société médicochirurgicale de Liége nous apprennent qu'une courte discussion a eu lieu dans le sein de cette compagnie au sujet de cet instrument.

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