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Encouragé par un succès obtenu à l'aide de ce mode opératoire, chez un adulte, par M. Denonvilliers, M. le professeur N. Ansiaux l'a mis en usage chez cinq hommes atteints de phimosis sans adhérences. Sur ces cinq malades, quatre ont présenté des déchirures; l'écoulement sanguin qui en est résulté n'a pas été de longue durée; le cinquième malade n'a offert que des éraillures de peu d'importance. L'opération terminée, il a été facile, dans tous les cas, de retirer le prépuce en arrière, et on l'a maintenu dans cette position; il s'est produit alors un léger paraphimosis, et, pour tout traitement, on a appliqué sur la partie malade des compresses trempées dans l'eau fraiche et fréquemment renouvelées. Les malades se sont guéris sans accident: il est à noter cependant que les déchirures de la muqueuse ne se sont pas cicatrisées très -rapidement. Chez un des opérés, la première tentative fut infructueuse et l'opération dut être recommencée, mais cette fois avec plein succès; ce malade avait été peu de temps auparavant atteint de chancres préputiaux. L'insuccès de la première opération tenait-elle à ce que la dilatation n'avait pas été assez énergique, ou à ce que le malade ne s'était pas soigné convenablement? C'est ce que ne saurait dire M. Ansiaux.

Un fait capital de l'opération, et qui ne peut être passé sous silence, c'est la douleur qu'elle détermine. M. Nélaton recommande d'employer le chloroforme; tous les malades opérés à l'hôpital de Bavière ont été, d'après ce conseil, soumis à l'anesthésie; cependant, chez l'un d'eux, l'opération fut pratiquée avant que le chloroforme n'eût agi complétement, et le patient, au moment où la dilatation s'achevait, poussa plusieurs cris trèsviolents. La vive douleur que détermina la dilatation forcée exigeant l'emploi du sommeil anesthésique, il n'est pas douteux que cette condition ne restreigne l'extension du procédé de M. Nélaton dans la pratique civile.

(Journal de médec pratique.)

Traitement du Phimosis par la dilatation. Le docteur Elliot Comes a publié, dans le Boston journal, un procédé ingénieux d'opérations du phimosis sans opération sanglante. Comme la dilatation a été employée de nouveau en France dans ces derniers temps, il est utile de con

naître ce procédé et l'instrument du docteur Comes. Ayant à soigner un phimosis, il introduisit dans l'anneau préputial l'extrémité d'une pince à ressort ordinaire. Au bout de quelques minutes, le rétrécissement fut sensiblement élargi; l'instrument fut alors laissé en place; il était retenu par l'élasticité des lames qui exerçaient une dilatation lente continue. On recommanda au malade d'écarter les lames de temps en temps en employant une force modérée et de mouiller continuellement la région avec de l'eau chaude. Ce procédé ne détermina ni douleur ni aucun autre inconvénient. Au bout de trois heures le gland put être découvert et peu de temps après il sortit subitement du prépuce qui était tout à fait rétracté. On prévint la récidive du phimosis en ayant recours de temps à autre à l'emploi de la pince.

Le succès obtenu dans ce cas encouragea le docteur Comes, qui imagina alors un instrument très-simple, avec lequel on peut obtenir le degré de dilatation que l'on veut.

C'est une sorte de compas d'épaisseur, long de 5 pouces, pointu à son extrémité; les deux lames sont plates, taillées en biseau à leur bord externe; elles s'écartent l'une de l'autre au moyen d'une vis placée près de leur pivot. La vis traverse une des lames et est fixée sur l'autre. (Gazette médicale de Paris.)

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contre les tænias. M. Vezu, de Lyon, propose un médicament composé avec les substances suivantes :

1o L'huile éthérée de fougère mâle obtenue avec les rhizomes de cette plante, cueillie en automne;

2o Une teinture concentrée d'écorce de racines de grenadier préparées à l'état frais avec de l'alcool absolu;

30 Une teinture faite avec les fleurs sèches de kousso et l'alcool absolu:

4o Un électuaire composé avec la racine de fougère mâle, les semences de courge et du sucre en parties égales.

Après avoir pilé ces substances, il ajoute une quantité suffisante des teintures obtenues précédemment et mélangées, pour former une pâte mi-solide.

Il prend 60 ou 80 grammes de cette préparation, qui constitue la dose de son remède, ou moins, suivant l'âge

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Cas d'empoisonnement par l'arsenite de cuivre. Il s'agit d'un cas d'empoisonnement par du nougat coloré en vert au moyen de l'arsénite de cuivre ou vert de Scheele. C'est à Crémone que le fait s'est passé. Une dame, son enfant âgé de deux ans. et une domestique, après avoir mangé du nougat en question, ont eu tous les symptômes d'un empoisonnement, et l'analyse chimique a fait découvrir dans les matières rendues la présence d'un sel de cuivre. L'examen d'autres produits provenant de la même maison a montré que le pâtissier incriminé se servait en effet de l'arsénite de cuivre pour colorer ses gâteaux et les bonbons qui présentaient la couleur verte. L'autorité municipale, saisie du fait, a immédiatement ordonné qu'on apposât des affiches mettant à l'index la maison en question, et signalant les dangers de ses produits. En même temps le syndic du commerce prohibait la vente de tout produit provenant de cette maison, sous peine de confiscation et de l'application d'autres mesures de rigueur inscrites dans le code pénal.

Nous avons cité le fait précédent parce que, outre l'intérêt d'actualité qu'il présente, il montre l'inégalité ou le défaut de proportion qu'on trouve dans les règlements relatifs à l'hygiène publique, et surtout dans la manière dont on les applique. C'est ainsi qu'il y a presque lieu d'être étonné de la prompte rigueur avec laquelle on a sévi contre le pâtissier de Crémone, en présence de l'indifférence ou de la lenteur de l'autorité à protéger les populations contre l'influence malsaine des rizières. En France, c'est plutôt le contraire qui aurait lieu. Il existe une commission des arts insalubres assez bien organisée, et le gouvernement ne craint pas de recourir aux expropriations pour cause de santé ou d'utilité publique. Par contre, qu'un

industriel fournisse à l'alimentation des produits toxiques ou avariés, il recevra sans doute une sévère admonestation, mais il ne sera pas signalé à la méfiance du public, comme le pâtissier italien, et il pourra bientôt, comme par le passé, reprendre son commerce. Ceci prouve que rien n'est parfait dans aucun pays, et qu'on gagnerait beaucoup à prendre dans chacun ce qu'il y a de bon. De là l'utilité de comparer entre eux les usages et les institutions propres aux différentes contrées. (Gazette médicale.)

Nouveau moyen d'emploi externe du tartre stibie. Dans sa these soutenue à Strasbourg, M. Coze préconise un nouveau mode d'introduction du tartre stibié, et il donne une théorie de l'action de ce médicament. Des mouchetures pratiquées sur la partie malade permettent l'introduction directe de l'émétique dans le torrent circulatoire; le médicament est appliqué en poudre sur la peau divisée; la preuve de la pénétration du tartre stibié dans l'organisme est fournie par les effets thérapeutiques et par la présence de l'antimoine dans l'urine. Ce qu'il y a de remarquable dans ce procédé, c'est que l'émétique ainsi appliqué ne produit pas de pustules. Cherchant l'explication de ce fait, M. Coze l'attribue à l'état alcalin du sang, auquel la poudre d'emétique est mêlee. Comme preuve de cette influence, M. Coze a constaté un fait intéressant pour la pratique, c'est que l'addition d'un alcali à la pommade stibiée empêche toute pustulation, tandis que l'addition d'un acide rend la pustulation plus facile et plus complète.

Neuf observations de tumeurs blanches et d'autres affections graves des articulations ou des os montrent que l'application de cette méthode a amené plus d'une fois de l'amélioration dans l'état des malades. Les frictions sans pustules étant suivies d'absorption du tartre stibié, comme le prouve une analyse d'urine insérée dans la these, il serait possible, dans certains cas, de substituer l'usage des frictions stibiées alcalines aux inoculations, petite opération sanglante qui inquiète quelques malades et que l'état de la peau ne permet pas toujours de pratiquer.

L'auteur étudie ensuite l'action de l'émétique sur le globule sanguin; ce globule absorbe moins d'oxygène et

dégage moins d'acide carbonique lorsqu'il est influencé par l'émétique. Une expérience dans laquelle du sang avec et sans émétique a été mis en contact avec l'oxygène n'a laissé aucun doute à cet égard. Le sang émétisé ne fournissait que 5 pour 100 d'acide carbonique, tandis que la proportion était de 12 pour 100 pour le sang non additionné de tartre stibié.

L'action sur le tissu cellulaire est attestée par le fait que le tartre stibié imprime aux cellules du foie la dégénérescence graisseuse. La cessation des douleurs et une sorte d'anesthésie sous l'influence des hautes doses de tartre stibié tendraient aussi à faire attribuer une action sédative à ce médicament.

La conclusion de ce travail, c'est que le tartre stibié est un altérant qui agit comme désoxydant, qui diminue la nutrition et exerce en même temps une action sédative. La thèse de M. Coze donne plus que ne promettait le titre à des indications pratiques utiles elle ajoute une théorie de l'action du tarire stibié, appuyée sur des expériences et sur une étude vraiment scientifique de la question. (Gazette médicale de Strasbourg.)

Alimentation lactée. Dans sa thèse sur l'alimentation lactée soutenue à Strasbourg, M. Leclerc expose avec clarté les avantages de ce régime, en indiquant les règles de l'emploi et les maladies qui exigent l'usage exclusif du lait. Douze observations, recueillies en partie à la clinique de M. le professeur Hirtz, viennent à l'appui de la thèse. Le régime est établi scientifiquement; la quantité de lait calculée pour un adulte doit s'élever à 4 litres. L'examen du lait au lacto-butyromètre et au microscope doit toujours précéder l'administration de ce liquide; le lait employé à l'hospice civil de Strasbourg est tous les jours analysé par M. Hepp, pharmacien en chef, qui détermine les proportions des éléments essentiels. Le lait est un aliment de facile et de rapide digestion, qui laisse peu de résidu et favorise la diurèse. C'est surtout dans les affections organiques, dans les ulcérations des parois du tube digestif, dans les hypertrophies du cœur et les hydropisies que ce régime a rendu de réels services; les malades doivent le suivre strictement; la moindre infraction détermine des rechutes. (Gazette médicale de Strasbourg.)

TRAVAUX ACADÉMIQUES.

Nouvelle modification du Sphygmomètre du D. Poznapski. Au mois de mai de l'année courante. M. le docteur Poz

nanski a présenté à l'Académie de médecine le Sphygmomètre de sa construction, ayant pour base la neutralisation de la force capillaire au

moyen d'une tige centrale en permanepce. La modification actuelle, sans toucher à la base de l'invention, regarde seulement les accessoires, qui, au point de vue de l'application de l'instrument, constituent d'ailleurs presque l'essentiel.

L'instrument qui autrefois a été présenté par M. Poznanski, quelque sensible qu'il fût, offrait de graves inconvénients. Le tube en cristal étant capillaire et coudé, et partant trèsfragile, exigeait un étui dont le yolume et la forme étaient un peu gênants. M. le docteur Poznanski vient d'obvier à ces inconvénients par la disposition suivante : il a emboîté le tube

capillaire dans un tube de caoutchouc durci, qui en même temps sert de réservoir pour le mercure. Pour qu'au moment de l'application le mercure se meuve sur un plan incliné, sans que le tube soit coudé, M. le docteur Poznanski a eu recours à un expédient nouveau et simple en même temps; il a fait couper la base de l'instrument en biseau, et par ce moyen, outre que la marche du mercure s'opère sur un plan incliné, le disque de l'instrument qui doit s'appliquer au parcours de l'artère, en devenant oval, a acquis presque le double de longueur, ce qui augmente de beaucoup la sensibilité de l'instrument.

La fenêtre pratiquée dans le tube de caoutchouc, permet d'observer les mouvements du mercure motivés par les battements du pouls, qu'on enregistre à l'échelle qui s'y trouve, et qui est divisée en centimètres et en millimètres. A sa base et à son extrémité supérieure, le sphygmomètre est fermé par la peau de chevreau qui y est fixée au moyen des anneaux.

L'instrument ainsi constitué ne dé

passe pas 10 centimètres de long; étant droit et nullement fragile, il est à présent très positif et rend l'observation aussi exacte que facile. La sensibilité du sphygmomètre actuel étant si grande que les battements du pouls produisent des chocs du mercure d'un centimètre en moyenne, cet instrument trouvera probablement une large application au lit du malade.

VARIETES.

Par décret du 28 décembre 1868, l'Empereur, sur la proposition du maréchat ministre de la guerre, a promu dans l'ordre de la Legion d'honneur les médecins dont les noms suivent:

Au grade d'officier: MM. Morgon et Jacquin, médecins-majors de 1re classe. Au grade de chevalier: MM Fristo, Massola, Bézard, médecius-majors de 2e classe; Vincent-Génod, Fornier, médecins aide-majors; -Roussin (François-Zacharie), pharmacien-major de 1re classe.

Par décret en date du 30 décembre 1868, rendu sur la proposition de l'amiral ministre de la marine et des colonies, ont été promus ou nommés dans l'ordre de la Légion d'honneur, savoir:

Au grade d'officier: MM. Jonon (Guy-Théobald), médecin principal de la marine; Nielly (Hugues-Marie-Charles), médecin principal de la marine; Hugoulin (Joseph-François), pharmacien principal de la marine.

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Au grade de chevalier: MM. Falot (Aimé-Michel), médecin de 1re classe de la marine; Pavot (Théodore-Louis-Marie), médecin de 1re classe de la marine; Noury (Mathurin-Jean-Jules, médecin de 1re classe de la marine; Mattei (Jérôme), médecin de 1re classe à la Guadeloupe; choué (Jacques), médecin de 2e classe de la marine; Casimir), médecin auxiliaire de 3e classe; médecin de 1re classe de la marine; decin de re classe de la marine.

De Lostalot-BaPélissier BalthasarGeoffroy (Bruno - Victor-César), Follet (Jacques-Charles- Benjamin), mé

Par décrets en date du 26 décembre 1868, rendus sur la proposition du grand chancelier de la Légion d'honneur, ont été nommés ou promus dans l'ordre impérial de la Légion d'honneur:

Au grade d'officier: M. Bancel-Dupuy (Félix-Edouard-Joseph), ancien chirurgien-major dans la garde impériale, ancien médecin en chef de la Maison centrale et de l'hôpital civil de Melun."

Au grade de chevalier M Bottini (Jean-Dominique), ancien chirurgien-major de l'armée sarde, ancien médecin de l'hôpital civil et militaire de Menton, etc.

Par décret en date du 30 décembre 1868, rendu sur la proposition du maréchal ministre de la guerre, ont été promus dans le corps des officiers de santé de l'armée de terre :

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10 Au grade de médecin principal de 1re classe (choix). MM. Catteloup (Bon-Auguste), médecin principal de 2e classe à l'hôpital de Vincennes. સે Bouffar (Jacques-Auguste), médecin principal de 2e classe à l'hôpital de Perpignan. Frasseto (Pierre-Simon), médecin principal de 2e classe à l'hôpital d'Ajaccio. Fropo (Augustin-Joseph), médecin principal de 2e classe à la gendarmerie de la garde impériale.

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2o Au grade de médecin principal de 2o classe (choix). - MM. Lasserre (Jean-Pierre-Remy), médecin-major de 1re classe à l'hôpital de Bayonne. Bonnard (Adrien-Louis-Paul), médecin-major de 1re classe des hôpitaux de la division d'Oran. Ladureau (Louis-Adolphe-Joseph), médecin major de fre classe à l'hôpital de Cambrai. Souville (Gaston-Félix), médecin-major de 1re classe à l'hôpital du Gros-Caillou. Masse (Jacob), médecin-major de 1re classe des hôpitaux de la division d'Alger. Lecomte (Pierre-Onésime

Nicolas), médecin major des hôpitaux de la division d'Oran. Colin (LéonJean), médecin-major de 1re classe, professeur à l'Ecole impériale d'application de médecine et de pharmacie militaires.

Par décret en date du 6 janvier 1869, M. Cavalier (Henri-Louis-Antoine), docteur en médecine, a été nommé professeur de pathologie et thérapeutique générale à la Faculté de médecine de Montpellier.

M. le préfet de la Seine vient de prendre un arrêté que tous les amis de l'hygiène publique accueilleront avec reconnaissance.

Voici le texte de l'arrêté :

ARRÊTÉ.

Article 1er. A partir du 1er janvier 1869, les parents qui auront à faire constater à domicile la naissance d'un enfant devront faire la demande par écrit dans les vingt-quatre heures de la naissance, à la mairie de leur arrondissement, avec indication :

1o Des noms, prénoms et domicile des parents;

20 Des jour et heure où la naissance a eu lieu;

30 Du sexe de l'enfant.

Art 2.

La constatation, à domicile sera faite, sans frais d'aucune espèce pour les parents, par un médecin de l'état civil.

Art. 3. Le bulletin de constatation. déposé à la mairie par le médecin de l'état civil tiendra lieu de présentation de l'enfant pour la déclaration de naissance, qui devra toujours y être faite dans les termes et délais des articles 55 et suivants du Code Napoléon. Le préfet de la Seine, HAUSSMANN.

Association des médecins de la Seine. La prochaine assemblée générale ordinaire, dans laquelle aura lieu le renouvellement partiel du bureau, est fixée au dimanche 31 janvier 1869.

Comme d'habitude, une convocation portant l'indication détaillée de l'ordre du jour sera adressée en temps convenable à chaque sociétaire : néanmoins, par suite d'une décision récente, « la délibération relative aux candidatures doit être publiée avant le mois de janvier. »

Le résultat de cette délibération pour les élections prochaines est le suivant: Les candidats proposés par la commission générale sont: Président, M. Nélaton; Vice-présidents, MM. Barth et Béclard; Secrétaire général, M. Orfila.

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ADMINISTRATION DE L'ASSISTANCE PUBLIQUE. Par suite des mouvements dans le personnel médical des hôpitaux de Paris, approuvés par l'administration: MM. les docteurs Hérard et Frémy passent à l'Hôtel-Dieu; M. le docteur Gallard, médecin, passe à l'hôpital de la Pitié ; - MM. les docteurs Besnier, Desnos et Guyot, médecins, passent à l'hôpital Saint-Antoine ; - M. le docteur Laboulbene, passe à l'hôpital Necker; MM. les docteurs Matice et Axenfeld, passent à l'hôpital Beaujon; IMM. les docteurs Woillez et Millard, passent à l'hôpital Lariboisière ; M. le docteur Mauriac passe à l'hôpital du Midi; M. le docteur Simon passe à l'hôpital des Enfants-Malades ; M. le docteur Siredey, passe à la Direction des nourrices; M. le docteur Bernard passe à l'hospice des Ménages; M. le docteur Trélat, chirurgien, passe à l'hôpital de la Pitié; M. le docteur Panas, chirurgien, passe à l'hôpital Saint-Louis ; M. le docteur Labbé, chirurgien, passe à l'hôpital Saint-Antoine; MM. les docteurs Raynaud, Gombault, Féréol et Cadet de Gassicourt, médecins du Bureau central, sont nommés médecins des hôpitaux et passent, savoir :- M. Raynaud, à l'institution Sainte-Périne; M. Gombault, à l'hospice de La Rochefoucauld ;- M. Féréol, à l'hospice des Incurables-Hommes; Et M. Cadet de Cassicourt, à l'hospice des Incurables-Femmes.

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Nous annonçons avec douleur la mort d'un recommandable confrère, M. Gaillard, chirurgien en chef des hospices de Poitiers, membre correspondant de l'Académie de médecine.

Pour les articles non signés : F. BRICHETEAU.

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