La Grande-Bretagne devant l'opinion française: depuis la guerre de cent ans jusqu'à la fin du XVIe siècle

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Slatkine., 1927 - 352 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 95 - Partant, hélas ! de la belle contrée Dont aviez eu le Sceptre dans la main, Lorsque pensive, et baignant votre sein Du beau cristal de vos larmes roulées, Triste marchiez par les longues allées Du grand jardin de ce royal Chasteau Qui prend son nom de la source d'une eau.
Seite 6 - Dieu qu'il ne les voulut mie quitter de leur foi, ni éloigner de son domaine, ni mettre en mains étranges, et qu'ils avoient plus cher à être taillés tous les ans de la moitié de leur chevance que ce qu'ils fussent ès mains des Anglois. Sachez que le roi de France, qui véoit (voyoit) leur bonne volonté et loyauté et oyoit moult souvent leurs excusations, en avoit grand...
Seite 24 - ARMORIAL de France,' Angleterre, Ecosse, Allemagne, Italie et autres puissances, composé vers 1450, par Gilles Le Bouvier, dit Berry, premier roi d'armes de Charles VII, roi de France. Texte complet, publié pour la première fois...
Seite 95 - Tous les chemins blanchissoient sous vos toiles, Ainsi qu'on voit blanchir les rondes voiles, Et se courber bouffantes sur la mer, Quand les...
Seite 218 - ... Paraclet t'apprit à répondre aux harangues De tous ambassadeurs, même en leurs propres langues. C'est lui qui détourna l'encombre et le méchef De vingt mortels desseins du règne et de ton chef, T'acquit le cœur des tiens, et te fit, par merveilles, Tes lions au dehors domestiques cueilles4. Ces braves abattus au trône où tu te sieds Sont les lions que tient prosternés à tes pieds 1.
Seite 41 - Saine ; La moulins arderra ; ce fi chos mult gravaine Se n'i menja de pain de troute la semaine. [P]ar la .v. plais a Diex, Parris fout vil mult gram Il ia .i.
Seite 95 - J'ay toutefois pour la chose plus rare, Dont mon estude et mes livres je pare, Vostre semblant qui fait honneur au lieu, Comme un portrait fait honneur à son Dieu. Vous...
Seite 94 - France , et n'ayant failly le timonier au commandement qu'elle luy avoit faict, elle se leva sur son lict et se mit à contempler la France encore et tant qu'elle put.... adonc redoubla encore ces mots, Adieu, France! adieu, France! je pense ne vous voir jamais plus'.
Seite 111 - N'offensez point par armes ni par noise, Si m'en croyez, la province Gauloise: Car, bien qu'il fût destiné par les Cieux Qu'un temps seriez d'elle victorieux, Le même Ciel pour elle a voulu faire Autre destin au vôtre tout contraire. Le Gaulois semble au saule verdissant: Plus on le coupe et plus il est naissant, Et rejetonne en branches davantage, Prenant vigueur de son propre dommage. Pour ce vivez comme amiables...

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