par ces Présentes, de faire imprimer ledit Ouvrage autant de fois que bon lui semblera, et de le faire vendre et débiter par-tout notre Royaume, pendant le temps de cinq années consécutives, à compter du jour de la date des Présentes : Faisons défenses à tous Imprimeurs, Libraires, et autres personnes, de quelque qualité et condition qu'elles soient, d'en introduire d'impression étrangere dans aucun lieu de notre obéissance à la charge que ces Présentes seront enregistrées tout au long sur le Registre de la Communauté des Imprimeurs et Libraires de Paris, dans trois mois de la date d'icelles; que l'impression dudit Ouvrage sera faite dans notre Royaume et non ailleurs, en bon papier et beaux caracteres : que l'Impétrant se conformera en tout aux Réglemens de la Librairie, et notamment à celui du 10 Avril mil sept cent vingt-cinq, et à l'Arrêt de notre Conseil du 30 Août mil sept cent soixante-dix-sept, à peine de déchéance de la présente Permission; qu'avant de l'exposer en vente, le Manuscrit qui aura servi de copie à l'Impression dudit Ouvrage, sera remis dans le même état où l'Approbation y aura été donnée, ès main de notre très-cher et féal Chevalier, Garde des Sceaux de France, le Sieur HUE DE MIROMENIL, Commandeur de nos Ordres; qu'il en sera ensuite remis deux Exemplaires dans notre Bibliotheque publique, un dans celle de notre Château du Louvre, un dans celle de notre très-cher et féal Chevalier, Chancelier de France, le Sieur DE MAUPEOU, et un dans celle dudit Sieur HUE DE MIROMENIL : le tout à peine de nullité des Présentes; du contenu desquelles vous mandons et enjoignons de faire jouir ledit Exposant et ses ayans-causes, pleinement et paisiblement, sans souffrir qu'il leur soit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons qu'à la copie des Présentes, qui sera imprimée tout au long, au commencement ou à la fin dudit Ouvrage, foi soit ajoutée comme à l'original. COMMANDONS au premier notre Huissier ou Sergent, sur ce requis, de faire pour l'exécution d'icelles, tous Actes requis et nécessaires, sans demander autre permission, et nonobstant clameur de Haro, Charte Normande, et Lettres à ce contraires : CAR tel est notre plaisir. DONNÉ à Paris le dix-septieme jour du mois d'Avril l'an de grâce mil sept cent quatre-vingt-deux, et de notre Regne le huitieme.
Par le Roi en son Conseil.
Registré sur le Registre XXI de la Chambre Royale et Syndicale des Libraires et Imprimeurs de Paris; N. 2345, fol. 670, conformément aux dispositions énoncées dans la présente Permission, et à la charge de remettre à ladite Chambre les huit Exemplaires prescrits par l'art. CVIII du Réglement de 1723. A Paris, le 19 Avril 1782. LE CLERC, Syndic.
AARON, premier pontife des Juifs, I, 14.
ABA, femme guérie par l'intercession de
sainte Thècle, X, 168.
ABACUC, prophète. (On prononce Abacuc;
mais selon l'étymologie on écrit Habacuc.) Voyez Habacuc.
ABACUS, tables d'arithmétique dressées par Gerbert, archevêque de Reims, depuis pape sous le nom de Silvestre II, XII, 903. -Commentaire d'Hériger, abbé de Lubes, sur ces tables, XIII, 38.
ABAILLARD (Pierre), abbé de Saint-Gildas (On le nomme communément A bélard; c'est en latin Abelardus ou Abailardus, et quelque- fois par erreur des copistes Aballardus. Son vrai nom pourrait être Abeillard, c'est-à-dire docteur qui imite les abeilles. D. Ceillier le nomme Abaillard). Sa naissance; ses études, XIV, 317, 318. Devenu odieux à Guillaume de Champeaux, son maître, il se retire à
Vers 1123. Melun, où il ouvre une école, qu'il transfère
de Paris, il en devient amoureux, puis l'é-
pouse, 318. Vengeance que Fulbert exerce à
son égard; il se fait moine à Saint-Denys, 318.
Il ouvre une nouvelle école à Deuil, prieuré
dépendant de l'abbaye de Saint-Denys, 319. Jalousie que ses succès occasionnent; on dé- fère au concile de Soissons son traité de la Trinité : il y est condamné; on lui donne pour prison l'abbaye de Saint-Médard, puis on le renvoie à Saint-Denys, 319, 320. Il fonde le Paraclet; ses envieux préviennent contre lui saint Norbert et saint Bernard; il est élu abbé de Saint-Gildas-de-Ruis en Bre- tagne, et donne le Paraclet à Héloïse, qui s'y retire avec quelques religieuses d'Argen- teuil; il est condamné au concile de Sens et par le pape Innocent II; il se retire à Cluny, 320. Sa mort, 321. Eloge que fait de lui Pierre, abbé de Cluny; ses écrits; ses lettres, 321 et suiv. Règle pour l'abbaye du
Paraclet, 324 et suiv. Autres lettres d'Abail-
lard, 326 et suiv. Sa première apologie, 328.
Seconde apologie, 328 et 329. Ses commen-
taires sur l'Oraison dominicale, le Symbole
des apôtres et celui de saint Athanase, 329.
Solution des problèmes d'Héloïse, 329 et 330.
1
Livre contre les hérésies, 330 [il n'est pas
d'Abaillard, 330, n. 1]. Commentaire sur
l'épître aux Romains, 330 et 331. [Remarques
sur ce commentaire, 331.] Sermons d'Abail-
lard, 331 et 332. Son Introduction à la théo-
logie, 332, 333. [En quel sens Abaillard prend
le mot theologia, 332, n. 1.] Ses proses et
bymnes, 334. Sa Théologie chrétienne divisée
en cinq livres, 334, 335. Commentaire sur
l'ouvrage des six jours, 335. Morale d'Abail-
lard, 336. [Son sermon pour la fête des Saints
Innocents, 332. Ecrits d'Abaillard publiés de-
puis D. Ceillier : le livre Sic et non; ce qu'en
disent les auteurs de l'Histoire littéraire de la
France, 336, 337. Dialogue entre un philo-
sophe, un juif et un chrétien, 337, 338.
Abrégé de la théologie chrétienne, 338. Poé-
sies d'Abaillard, 338, 339. Ses autres écrits
qui n'ont pas été imprimés, 339. Jugement
sur les ouvrages d'Abaillard et d'Héloïse, 340.
Editions qu'on en a faites, [éditions de quel-
ques écrits d'Abaillard, 340. Ses écrits dans la
Patrologie, 341]. Reproches faits à la traduc-
tion des lettres d'Abaillard par Dom Gervaise,
341, n. 1.[Ce que le pape Innocent Il écrit
au sujet d'Abaillard, XIV, 267]. Circonstances
de la vie d'Abaillard, écrites par lui-même
dans une de ses lettres, 317. Sa vie, par Dom
Gervaise, 341. Saint Bernard fait condamner
Abaillard au concile de Sens; lettre de saint
Bernard contre Abaillard, 440. Lettre que le
pape Innocent II adresse à saint Bernard
contre les erreurs d'Abaillard, 480. Traité de
saint Bernard contre les erreurs d'Abaillard,
481. Pierre le Vénérable fait l'éloge d'Abail-
lard, 510. Epitaphe d'Abaillard par le même,
522. Lettre écrite à Abaillard par Gauthier
de Mortagne, 660. Epitaphe d'Abaillard par
Philippe de Bonne-Espérance, 687. Ecrits de
Guillaume, abbé de Saint-Thierry, contre
Abaillard, 388. Concile de Soissons où le
traité d'Abaillard sur la Trinité est déféré,
1095. Concile de Sens où saint Bernard dé-
nonce les erreurs qu'il avait trouvées dans
les écrits d'Abaillard, 1116. (Voyez l'article
d'Abaillard dans l'Histoire littéraire de la
France, t. XII, p. 86 et suiv.)
ABANDUS (ou ABAUDUS), abbé : son traité sur la fraction du corps de J.-C., XIV, 345. (Voyez ce qui en est dit dans l'Histoire littéraire de la France, t. XII, p. 444 et suiv.)
ABBENDON, monastère d'Angleterre, ré- tabli par saint Ethelvold, depuis évêque de Winchester, XII, 867. Le pèlerinage à
Sainte-Marie-d'Abbendon est autorisé par un
concile, XIII, 759.
ABBÉS. Canon sous le nom des Apôtres,
qui ordonne de déposer un abbé prévarica-
teur des commandements de Dieu et de la
sainte règle, II, 579, n. 6.- L'abbé Barsumas,
au nom de tous les abbés de l'Orient, prend
séance avec les évêques au faux concile
d'Ephèse par ordre de l'empereur, X, 675.
Requête des abbés schismatiques au concile
de Chalcédoine, 690. Lettre du pape saint
Simplice aux abbés de Constantinople, 403.
Le nom d'Abbé donné aux curés par les con-
ciles attribués à saint Patrice, 706. Canon
du concile de Vannes, qui défend aux abbés
d'avoir plusieurs monastères, 713. Abbés
soumis aux évêques par le premier concile
d'Orléans, 745. -Fonctions des abbés; qua-
lités qu'ils doivent avoir, selon la règle de
saint Benoît, XI, 162 et suiv. Dispositions du
concile d'Epaone qui concernent les abbés,
815. Le second concile d'Orléans défend aux
abbés de donner des lettres pacifiques, 848;
et prive de la communion ceux qui mépri-
sent les ordres des évêques, 849. Il est dé-
fendu aux abbés de s'absenter longtemps sans
la permission de l'évêque diocésain, 882.
Saint Grégoire défend de choisir pour abbé
un clerc attaché à quelque église particu-
lière, 496. Comment l'abbé doit être choisi
selon saint Grégoire, 511. Saint Grégoire veut
qu'un abbé devenu évêque laisse au monas-
tère les biens qu'il a acquis, 518. Quel doit
être l'abbé, suivant saint Isidore de Séville,
723. Règlement de Théodore de Cantorbéry
touchant les abbés, 797, 798. Statuts de
saint Simpert touchant les abbés, XII, 219. Ar-
ticle d'un capitulaire de Charlemagne touchant
les abbés, 240. Autres règlements de Charle-
magne, 230, 234, 241. Un des canons du pa-
triarche Nicéphore prescrit à l'abbé, s'il est
prêtre, d'ordonner des lecteurs et des sous-
diacres dans son monastère, 386. Canon d'un
concile de Châlon-sur-Saône qui défend de
mettre deux abbés dans un même monastère,
931.- A la fin du x° siècle, les évêques veu-
lent exiger des abbés le serment de fidélité;
querelles que cela occasionne, XIII, 26, 27. L'abbé de Cluny était élu par les profès de ce monastère; quels étaient ses droits, 474. Un canon du deuxième concile général de Nicée permet aux abbés de conférer l'ordre de lecteur; à quelles conditions, 630. — [11 leur est défendu de placer des prêtres dans les églises paroissiales qui dépendent d'eux
sans le consentement des évêques, XIV, 267.]
Plaintes de saint Bernard contre les abbés de
son ordre, 466. Priviléges depuis accordés
aux abbés; lettre de Philippe de Bonne-Es-
pérance qui explique le nom d'abbé, les
marques de sa dignité, ses fonctions et ses
devoirs, 684, 685. Abus que les abbés fai-
saient des priviléges que les papes leur ac-
cordaient, 771 Instructions que Pierre de
Blois donne à des abbés nouvellement élus,
775. [Union qui doit exister entre l'abbé et
les moines, sujet d'un sermon d'Alain de
Lille, 870. Les abbés ne doivent pas se rendre
caution ni emprunter à intérêt, 998.] Canon
du concile de Poitiers qui interdit aux abbés
l'usage des ornements pontificaux, 1076.
Abbé des abbés, titre usurpé par Ponce, abbé
de Cluny, et dont il est repris au concile de
Latran par le chancelier de l'Eglise romaine
qui l'adjuge à l'abbé du Mont-Cassin, 1088.
ABBESSES. Instructions que saint Césaire
donne à une abbesse, XI, 152, 153. Autres
instructions qu'il adresse à sa sœur Césarie,
153, 154. Témoignage de saint Grégoire de
Tours sur les abbesses, 395. Saint Grégoire- le-Grand défend de les élire au-dessous de soixante ans, 496 et 575. Elles étaient bénies par les évêques, 395. Elles étaient incapables de faire des testaments, selon le pape saint Grégoire, 395. Lorsque dans une communau- té, il n'y avait point de fille capable d'être ab- besse, saint Grégoire en envoyait d'ailleurs, à la demande de l'évêque diocésain, 520. Les ab- besses héritaient de leurs parents, suivant le droit, mais la règle de saint Benoit le défen- dait, 529. Réglements qui concernent les abbesses, XII, 230, 231, 234, 241. Abbesses qui assistent et qui souscrivent au concile de Béchancelle, 966. Abbesses dans l'ordre de Citeaux, qui bénissaient leurs religieuses, et entendaient leurs confessions, etc.; le pape Innocent Ill réforme cet abus, XIV, 1006.
ABBON, maître de la monnaie de Limoges,
à qui saint Eloi est confié dans sa jeunesse,
XI, 753.
ABBON ou GOERZE, évêque de Metz.
Lettre que saint Didier de Cahors lui écrit,
XI, 733. Lettre qu'il écrit à saint Didier de
Cahors, 734. (Voyez ce qui en est dit dans
l'Histoire littéraire de la France, III, p. 583.)
ABBON, moine de Saint-Germain-des-
Prés à Paris, confondu avec Abbon de Fleury,
XII, 789. Temps où il vivait, 790. Son poème
sur le siége de Paris par les Normands, 790.
Editions qu'on en a faites, 790 et 791. [Edi-
tions et traductions nouvelles, 791.] Ses ser-
mons, 791, 792. (Voyez son article dans
l'Histoire littéraire de la France, t. VI, p. 189
et suiv., et l'addition qui est à la tête du t. X,
p. LV.)
ABBON, père de saint Odon, abbé de Cluny,
804. Il embrasse la vie monastique à la sol-
licitation de son fils, 805. Ce qu'en rapporte
saint Odon dans l'histoire de sa propre
vie, 809.
ABBON, abbé de Fleury. Sa naissance; il
est offert par ses parents au monastère de
Fleury, où ensuite il prend l'habit monas-
tique, XIII, 24. Ses études; il est envoyé en
Angleterre pour instruire les moines de
Ramsey; saint Oswald, archevêque d'York,
l'ordonne prêtre ; il revient à Fleury et en est
abbé après la mort d'Oybold; différentes né-
gociations dont il est chargé; il met la ré-
forme dans plusieurs monastères; sa mort,
24. Lettre circulaire des moines de Fleuri
sur sa mort, 32. Sa vie écrite par Aimoin,
25 et 41. [Ses écrits dans la Patrologie, 23,
n. 2 et p. 35.] Collection de canons, 25 et 26.
Son apologie adressée aux rois Hugues et
Robert; à quelle occasion il la composa,
26, 27. Analyse de cette apologie, 27, 28. Ses
lettres, 28 et suiv. Sa Chronique des papes;
vie de saint Edmond, roi d'Angleterre, 32.
Poésies d'Abbon, 32 et 33. Ses Cycles, 33.
Commentaire sur le cycle de Victorius, 33
et 34. [Prose attribuée à saint Abbon, 34,
n. 4.] Ouvrages qu'on attribue à Abbon; ju-
gement sur ses écrits, 34. [Editions de ses écrits
dans Galland et dans la Patrologie, 34, 35].
– Lettre que lui écrit le pape Grégoire V, XII,
901. Lettre que lui écrit Fulbert de Char-
tres, XIII, 81. Il avait fait encore une introduc-
tion à l'Intelligence des canons sur la concorde
des évangiles, 152. Sa vie écrite non par
Helgaud, mais par Aimoin, 149. (Voyez son
article dans l'Histoire littéraire de la France,
t. VII, p. 159 et suiv.)
ABDALLAHAN (Saint), prêtre, compagnon
de l'évêque Ebed-Jésus, souffre le martyre
avec lui, III, 336, 337.
ABDAS (Saint), évêque en Perse, démolit
le temple du feu, et par cette action, donne lieu à la persécution qui s'élève en Perse contre les chrétiens, X, 49. Son martyre, 49. -Actes de son martyre rapportés par As- sémani, III, 337.
ABDÉCHALAS (Saint), prêtre et martyr de
Perse, III, 321 et 327.
ABDÉRAME III, ou plutôt II, roi de Cor-
ABEL, fils d'Adam. Ecrits supposés sous son nom, I, 264. Livres de saint Ambroise sur Caïn et Abel, V, 399. Abel, sujet d'un opuscule supposé sous le nom de saint Jean Chrysostome, VII, 335.- Pourquoi, selon Photius, Dieu permit qu'Abel mourût avant Adam, XII, 729. Différence des sacrifices d'Abel et de Caïn, 729.
ABEL, établi archevêque de Reims par le
concile de Leptimes; saint Boniface demande
pour lui le pallium, XII, 30. Il est chassé par
Milon, 130.
ABÉLARD (Pierre). Voyez Abaillard.
ABELLEN, évêque de Genève, XI, 618.
ABÉLONIENS, hérétiques, IX, 16. ABEN-EZRA, rabbin. Son sentiment sur le Pentateuque, I, 20.
ABERCE (Saint), évêque de Hiéraple, 1,
448. Lettre de saint Aberce à Marc-Aurèle,
448. Ecrits qu'on lui attribue, 448, 449. 11
n'est pas le même qu'Avircius Marcellus, 449. [Actes de saint Aberce fabriqués par les Grecs du Bas-Empire, 449, n. 1. Ce qu'ils présentent de remarquable dans une épita- phe dictée par le saint lui-même, 449. - Ex- trait des actes de saint Aberce dans un ou- vrage de Nicolas le Grammairien, XIII, 560.] ABESAN, juge d'Israël, I, 51.
ABGAR, roi d'Edesse dans l'Osrhoène.
Epîtres supposées d'Abgar à Jésus-Christ, et
de Jésus-Christ à Abgar, 1, 268. [D'où vient
le nom d'Abgar, 268, n. 2.] Actes supposés
de la guérison et de la conversion d'Abgar,
268. Preuves de la supposition de ces lettres
et de ces actes, 269. Ces pièces sont rap-
portées par Eusèbe de Césarée, III, 203. —
L'histoire d'Abgar se trouve dans le testa- ment de saint Ephrem, VI, 47. Ce qu'on en disait du temps de saint Augustin, IX, 575.
ABIBUS (Saint), diacre et martyr; poème de Jacques de Batna en son honneur, X, 642. Discours d'Arétas en l'honneur des saints martyrs Samone, Carie et Abibus, XI, 266. ABIBUS, évêque de Dolique, déposé pour son attachement à Nestorius, VIII, 387, 603. Lettres qui nous restent de lui, 387.
ABIBUS (autrement dit ABIB), ecclésias- tique qui se rend accusateur d'Ibas, X, 145. ABIGAUS, prêtre espagnol. Lettre que lui
écrivait saint Jérôme pour lui recommander
la veuve Théodora, VII, 623.
ABIMELECH, roi de Gérare. Punition de
son péché, IX, 493.
ABIMELECH, juge d'Israël, I, 51.
ABLABIUS, vicaire d'Afrique. Voyez Abla-
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