| 1836 - 832 Seiten
...peoi sées aux eipre.-sions, sa voix péné« tränte, l'inspiration de son génie peinte « dans see yeux et sur son visage, tout « cet ensemble opérait sur son auditoire « l'iinpreseion la plus vive et la plus pro« fonde, и Considéré comme écrivain, le l.inntmoderne... | |
| Flourens - 1841 - 308 Seiten
...loin d'approcher du merveilleux de la nature. Le débit de M. Cuvier était, en général , grave, et même un peu lent, surtout vers le début de ses leçons;...moins encore par ces idées grandes, inattendues, qui brillaient partout, que par une certaine force de concevoir et de penser que cette parole puissante... | |
| Pierre Flourens - 1841 - 308 Seiten
...loin d'approcher du merveilleux de la nature. Le débit de M. Cuvier était, en général , grave, et même un peu lent, surtout vers le début de ses leçons;...moins encore par ces idées grandes, inattendues, qui brillaient partout, que par une certaine force de concevoir et de penser que celte parole puissante... | |
| Pierre Flourens - 1845 - 1120 Seiten
...loin d'approcher du merveilleux de la nature. Le débit de M. Cuvier était en général grave , et même un peu lent, surtout vers le début de ses leçons;...moins encore par ces idées grandes , inattendues, qui brillaient partout , que par une certaine force de concevoir et de penser que cette parole puissante... | |
| 1845 - 600 Seiten
...lent, surtout vers le début de sa leçon. < Hais bientôt ce débit s'animait par le mouve« ment des pensées ; et alors ce mouvement qui « se communiquait...visage, tout « cet ensemble opérait sur son auditoire l'im« pression la plus vive et la plus profonde. » Considéré comme écrivain, le Linné moderne... | |
| 1845 - 568 Seiten
...lent, surtout vers le début de sa leçon. « Mais bientôt ce débit s'animait par le mouve« ment des pensées ; et alors ce mouvement qui « se communiquait...visage, tout • cet ensemble opérait sur son auditoire l'ira« pression la plus vive et la plus profonde. » Considéré comme écrivain, le Linné moderne... | |
| Georges baron Cuvier, Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - 1851 - 348 Seiten
...M. Cuvier était en général grave , et même un peu lent , surtout vers le début de ses lecons ; mais bientôt ce débit s'animait par le mouvement...profonde. On se sentait élevé , moins encore par ces klées grandes , inattendues , qui brillaient partout , que par une certaine force de concevoir et... | |
| Eugène Haag, Émile Haag - 1853 - 580 Seiten
...стуА'с} which ment des pensées; et alors oc mouvement qui se communiquait des pensées aux eiprcssions , sa voix pénétrante, l'inspiration de son génie...moins encore par ces idées grandes, inattendues qui brillaient partout, que par une certaine force de concevoir et de penser que celte parole puissante... | |
| Paul-Antoine Cap - 1854 - 552 Seiten
...hautes questions de philosophie. pensées aux expressions , sa voix pénétrante , l'inspiration de sou génie peinte dans ses yeux et sur son visage , tout...moins encore par ces idées grandes, inattendues, qui brillaient partout, que par une certaine force de concevoir et de penser que cette parole semblait... | |
| Pierre Flourens - 1856 - 446 Seiten
...loin d'approcher du merveilleux de la nature. Le débit de M. Cuvier était en général grave, et même un peu lent , surtout vers le début de ses...moins encore par ces idées grandes, inattendues, qui brillaient partout, que par une cerlaine force de concevoir et de penser, que cette parole puissante... | |
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