Histoire des journaux et des journalistes de la Révolution française précédée d'une intr. générale par L. Galloris, Band 1;Band 77 |
Häufige Begriffe und Wortgruppen
10 août Actes des Apôtres ajoutait Brissot amis aristocrates armée assemblée assignats avaient Barnave c'était calomnies calvinistes Camille Desmoulins cause cesse Charles chefs citoyens club comité comité autrichien commission des douze conseil conspirateurs constitution contre-révolutionnaires Convention nationale cordeliers cour courage crier Danton déclarer dénoncer députés despotisme devait disait-il duc de Guise Dumouriez écrivains ennemis époque états généraux faction fameux feuille force foule garde nationale girondins gouvernement Guadet guerre Hébert Henri historiens hommes jacobins jour journal de Brissot l'Ami du Peuple l'Assemblée nationale Lafayette laisser législative lettres liberté Louis XVI Marat membres ment ministres Mirabeau monarchie municipalité nation numéro opinions parler patrie Peltier Père Duchesne Pétion pétition philosophie politique prince public publique rédacteur du Patriote règne républicains République Révolution révolutionnaires Robespierre rois Roland royalistes royauté s'écriait Brissot s'était sans-culottes sauver séance sections serait seul sociétés populaires soldats tête tion tribunal tribune troupes trouve tyrans Vieux Cordelier voulait
Beliebte Passagen
Seite 15 - J'espère que les descendants du « nouveau duc contribueront, par leur valeur, à maintenir la dignité « de la couronne. » On ne connaissait alors que cette dignité ; les droits de la nation, les libertés publiques, les progrès des lumières, de la civilisation, étaient oubliés depuis longtemps, et ne furent point retrouvés pendant la domination de la branche de Valois.
Seite 101 - ... on s'engageait par serment à persévérer jusqu'à la mort dans la sainte union formée au nom de la sainte Trinité, pour la défense de la religion catholique, du roi Henri III, et des prérogatives dont le royaume jouissait sous Clovis : première insinuation qui...
Seite 90 - Saignez, saignez ! s'écriait l'impitoyable Tavannes ; les médecins disent que la saignée est aussi bonne en ce mois d'août comme en mai.
Seite 47 - toutes choses s'accommoder au temps, lorsqu'il était le plus faible , • faire des traités selon la volonté de ses ennemis, leur céder ses » droits et ses prétentions, afin de les désunir; mais quand une fois » il avait rompu leur ligue et leur union , il reprenait ce qu'il avait » cédé , et ne tenait rien de ce qu'il avait promis. » C'est dans cette intention que furent conclus letraité de Saint-Maur avec les princes, et celui de Conflans avec le comte de Charolais.
Seite 52 - Saint-Gelais, historien contemporain, dit « qu'il ne courut oncques du règne de nul des autres si bon temps qu'il « a fait durant le sien. » Claude Seyssel, évêque de Marseille, que Louis XH a fréquemment employé dans les affaires, nous a laissé un tableau de ce 60» temps, t La population, dit-il, fut plus grande qu'elle n'avait jamais été.
Seite 114 - ... devrait-on excuser la licence en tels divertissements, qui n'apportent nul dommage et incommodité à mes peuples, par forme de compensation de tant d'amertumes que j'ai goûtées, et de tant d'ennuis, déplaisirs, fatigues, périls et dangers, par lesquels j'ai passé depuis mon enfance jusqu'à cinquante ans...
Seite 326 - ... de n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple...
Seite 521 - N'allons pas nous faire la guerre, animer les sections, les mettre en délibération sur des calomnies, tandis que nous devons concentrer leur énergie pour la diriger contre les Autrichiens.., Que l'on ne vienne donc plus nous apporter des dénonciations exagérées, comme si l'on craignait la mort.
Seite 377 - ... moins pouvez-vous juger dans votre propre cause. Si vous avez voulu essayer votre pouvoir contre les écrivains patriotes, et détourner en les effrayant la vérité qu'ils doivent au peuple et qu'ils lui diront, vous avez mal choisi l'objet de cette épreuve.
Seite 276 - Toutes les murailles sont salies d'un placard rouge, signé Camille Desmoulins, dans lequel, après une justification sophistique de quelques banquiers et souteneurs de tripots condamnés par le tribunal de police correctionnelle, après de grossières injures vomies contre des juges qui ont fait leur devoir, on trouve une invective abominable contre les mœurs, et une scandaleuse apologie des jeux de hasard. — Cet homme...