Lois de Manou: comprenant les institutions religieuses et civiles des Indiens, Band 2Crapelet, 1833 - 482 Seiten |
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ablution accompli alimens animaux Apsarâs austérités ayant beurre clarifié Bhrigou bouche Brâh Brahmâ Brâhmane cérémonie chose classe servile Commentaire corps cousa créatures crépuscule du matin déclaré désire devoirs pieux dévot ascétique directeur divine doit jamais doivent donne Dwidja enfant famille fasse femme fille fils fruits gâteaux Géans gens grains homme honore impur Indiens Indra jours lunaires Kchatriya l'autre monde l'eau l'homme l'oblation l'offrande Littéralement Livres sacrés Livres saints lorsqu'il Lorsqu'un Mahabharata maître de maison Mânes manger manière Manou mariage Mokcha mort naissance Niyamas nourriture nouvelle lune novice nuit oblations obtient oiseaux organes parens paternel pendant père spirituel personnes Pitris Pradjâpati prescrite présens prière purification Râmâyana repas funèbre Rig-Véda s'il sacrifice Sages Sainte Écriture sanscrit sapindas Sâvitrî sésame seul soleil Soma Soûdra souillée Srâddha stance suivant la règle Swarga terre tion vache Vaisya Véda Védânta vêtemens viande Voyez ci-dessus Voyez Liv Voyez plus loin Yama
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Seite ix - Celui que l'esprit seul peut percevoir, qui échappe aux organes des sens, qui est sans parties visibles, éternel, l'âme de tous les êtres, que nul ne peut comprendre, déploya sa propre splendeur.
Seite 189 - Autant qu'il est en son pouvoir, qu'il fasse des offrandes aux êtres animés, et des aumônes, avec une portion de ce qui est destiné à sa nourriture, et qu'il honore ceux qui viennent à son ermitage en leur présentant de l'eau, des racines et des fruits.
Seite 311 - On doit surtout s'attacher à garantir les femmes des mauvais penchants, même les plus faibles; si les femmes n'étaient pas surveillées, elles feraient le malheur des deux familles. 6. « Que les maris, quelque faibles qu'ils soient considérant que c'est une loi suprême pour toutes, les classes , aient grand soin de veiller sur la conduite de leurs femmes.
Seite 14 - Livres sacrés et de ne pas s'abandonner aux plaisirs des sens . Soigner les bestiaux, donner l'aumône, sacrifier, étudier les Livres saints, faire le...
Seite 220 - , ni un homme endormi, ni celui qui n'a pas de cuirasse, ni celui qui est nu, ni celui qui est désarmé, ni celui qui regarde le combat sans y prendre part, ni celui qui est aux prises avec...
Seite 301 - Qu'il condamne l'adultère son complice à être brûlé sur un lit de fer chauffé à rouge , et que les exécuteurs alimentent sans cesse le feu avec du bois , jusqu'à ce que le pervers soit brûlé.
Seite 380 - II vaut mieux s'acquitter de ses propres fonctions d'une manière défectueuse, que de remplir parfaitement celles d'un autre; car celui qui vit en accomplissant les devoirs d'une autre classe perd sur-le-champ la sienne. 98. « Un homme de la classe commerçante qui ne peut pas subsister en remplissant ses propres devoirs, peut descendre aux fonctions du Soûdra, pourvu qu'il ait soin d'éviter ce qu'on ne doit pas faire ; mais qu'il les quitte aussitôt qu'il en a le moyen. 99. « Un Soûdra qui...
Seite 256 - Depuis ta naissance, tout le bien que tu as « pu faire, ô honnête homme! sera entièrement « perdu pour toi, et passera à des chiens, si tu dis « autre chose que la vérité. 91. « О digne homme! tandis que tu te dis : « Je « suis seul avec moi-même,
Seite 167 - Celui qui ne fait de mal à aucun être, réussit sans difficulté, quelle que soit la chose qu'il inédite, qu'il fasse, à laquelle il attache sa pensée. 48. « Ce n'est qu'en faisant du mal aux animaux qu'on peut se procurer de la viande; et le meurtre d'un animal ferme l'accès du Paradis ; on doit donc s'abstenir de manger de la viande sans observer la règle prescrite. 49. « En considérant attentivement la formation de la chair, et la mort ou l'esclavage des êtres animés , que les Dwidja...
Seite 261 - Ou bien , suivant la gravité du cas , qu'il fasse prendre du feu avec la main à celui qu'il veut éprouver, ou qu'il ordonne de le plonger dans l'eau, ou lui fasse toucher séparément la tête de chacun de ses enfants et de sa femme.