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267. Raison de la durée et des progrès intellectuels d'une nation, VII, 249.

Nature. Elle est amie et ennémie, 1, 33. Nature des choses. Ce que c'est, selon Aristote, I, 43. C'est la figure des pensées de Dieu, 45. Elle est effet et moyen, uné et variée, 98.

Nault, ancien procureur général. Sur la vérité catholique. Analyse par Frantin, III, 381.

Nautes parisiens, chez les Gaulois, IV, 23. Nauziel (l'abbé). Poésies religieuses, XV, 64. Narbonaise ou Gothie. Le duc Guillaume y propage la colonisation religieuse, XIV, 417. Renais sance de la civilisation dans cette province, ib.

Naville (F. M. L.). De la charité légale, II, 301, 391.

Nébuleuses (les). Ce que c'est, XIV, 4.

Necker, contrôleur des finances en 1777, IV, 331. Son rappel, V, 14. Ses actes subséquents, 16. Sa retraite définitive, 17. Il sollicite l'honneur de défendre son souverain, 17. Ses réflexions sur l'administration des finances, 26.

Noirs (le trésor des), par l'abbé Hardy. Annonce, XIX, 323.

Nombres (langues des), 11, 367. Son antiquité. Son immutabilité, 441. Langue universelle, 442. Son merveilleux, 443. Sa puissance dans la musique, III, 45. Nombres emblématiques faussement interprétés, IV, 276.

Nombre d'or. Ce que c'est, VII, 189.

Nord. Efforts tentés par le Saint-Siége pour ramener à l'unité les peuples de cette contrée, par Augustin Theiner. Analysé par M. Axinger, X, 234. Nord de l'Europe. Son état au 13° siècle, 174. Notions (des) proprement dites, XIX, 341. Théorie de leur formation!, 342. Leurs lois principales, 343. Distinction des idées et des notions, 345. Leurs abus et leur utilité, 346.

Notice sur la ville et le canton de Valréas, par M. Aubenas. Rapport de M. Thomassy, IX, 82. Notre-Dame des Fourrières, par M. l'abbé Cahour, VII, 219.

Notre-Dame (prière à), XVI, 244.

Notre passé, notre présent, notre avenir et nos

Nègres (traite des); détails sur cette traite, III, devoirs, par un électeur. Analyse, XIX, 81.

413.

Nemrod fonde plusieurs villes, 1, 228.
Néochristianisme. Ce que c'est, VI, 152.
Népotien; sa vie, XII, 40.

Neptoniens. Leur théorie de la terre, XIII, 247.
Neri (Pompée), économiste italien. Son système,
IV, 270.

Néron. Ses cruautés envers les chrétiens, II, 116. Sa mort, 119. Son apothéose, 119.

Nestor. Analyse de sa chronique, traduite par M. Faris, IX, 183.

Nestorius. Conséquence de sa doctrine, 1, 419. Nettement (Alfred). Du feuilleton-roman, etc., XX, 46.

Nève (F.). Analyse de l'histoire d'Arménie, par Jean Catholicos, XVI, 373. Analyse des historiens d'Arménie au 5 siècle, XX, 389.

Newton. Il a donné à l'astronomie sa forme actuelle, 1, 98.

Nibelungen (de), XIII, 148.

Nicodème (Évangile de). Origine de cette légende, VI, 108.

Nicoméla (P. E.) Analyse du Manuel de droit public de M. Dupin, XVII, 436. Voir Lorain.

Niedner. Philosophia hermesii, etc. Existimatio. Annonce, XII, 474.

Nouveau testament grec de Scholz (critique du), par Jean-Pierre Secchi, IX, 438.

Nouvelles idées sur la population, par Everett, V,

332.

Numa. Ses institutions, où il les a puisées, II, 84.
Nutation (de la), X, 340.

0

Obstacles apparents à l'union des sciences, I, 44. Occident (organisation de l'), XIV, 263. Son état au 50 siècle, XVI, 25. Restauration de l'empire d'Occident, XVI, 325. Son état au 10° et au 11o siẻcles, XVII, 112.

Occident (empire d'). Cause principale de sa décadence, VII, 178. Un parti païen dans son sein, 257. Sa dernière chute, VIII, 7.

O'Connell (Daniel). Mémoires sur l'Irlande indigène et saxonne, XVI, 68.

Odes d'Horace, traduites en vers, II, 469. Odescalchi (P.-Charles). Son éloge funèbre, par Mgr Rossi, XVI, 303.

OEil et vision dans l'homme et dans les animaux, XIII, 169.

OEuvres. Les œuvres de Dieu prouvent son existence, 1, 66, 67. On les distingue des œuvres de l'homme, 69. Caractère des œuvres de l'homme, 69.

Nijni-Novgorod. Sa Sophie. Ses monuments, XIII, 26. Son influence probable sur l'avenir de Péters-1, bourg, 38.

Nisas (tils), économiste. Son système, V, 329. Nizard. Examen de son Histoire de la littérature française, XX, 462. Bibliothèque des classes ouvrières, XIX, 244.

Noblesse française et italienne au 16° siècle, I, 378.

Noé. Comment représenté sur les sarcophages anciens, VII, 113.

Noirlieu (Martin de). Le consolateur des affligės et des malades. Aperçu, II, 320.

OEuvres spirituelles de Mgr le cardinal Lambrus. chini, VII, 404.

Ogive. Son origine, 189.

O intemerata (en vieux français), VII, 242.
Olier (vie de M.), fondateur du séminaire de
Saint-Sulpice. Analyse par M. Daniélo, XII, 154.

Ontologie indienne, XVI, 97.
Optique devenue science, 1, 11.

Oratoire de l'amour de Dieu (société de l'). Sa fondation à Rome; elle se répand en Italie. Son but, principaux personnages qui en font partie, III, 436.

Oraison (de l') et de ses quatre formes, XIV, 250.
Oraison mentale, 250. Ses conditions, 250. Quié-
tudes, 251. Oraison de l'union; ses effets sur l'âme,
252. Du ravissement, ses effets sur le corps, la mé-
moire, l'entendement, la volonté, 252. Ces phéno-
mènes envisagés dans leurs rapports avec la certi-
tude, 253.

Ordalie. Épreuve par l'eau bouillante, XV, 107.
Ordre spirituel et ordre temporel. Leur sépara-
tion sur le Calvaire, VII, 10.

Ordre légitime. Ses rapports avec l'ordre légal,
III, 96, 246; IV, 86. Différence de ces deux ordres,
III, 245. Ce qu'implique leur approximation, IV,
86. Funestes conséquences de son altération, 168.

Ordre. Différence entre l'ordre catholique et
l'ordre philosophique, IV, 84. La famille est la tran-
sition de l'un à l'autre, V, 165.

Ordres religieux. Leur manière de remplir leur
mission, VII, 368. Leur esprit, 373. Indication des
ordres religieux fondés dans le courant du 13e siè-
cle, 1, 185 et suivantes.

Ordres monastiques. Cours d'histoire sur leur ori-
gine, leur accroissement et leur influence, par
Emile Chavin, 1re leçon, VII, 424. Ce qu'a produit
leur suppression, 425. Vie intime, littéraire, agri-
cole, sociale des moines, 426. Origine de la vie
15;
3 leçon, 182;
monastique, ib. 2o leçon, VIII,
40 leçon, 405; 5e leçon, IX, 282; 6e leçon, X, 110.
Ordres monastiques (des), XVII, 430; XVIII, 31,
40, 100, 187.

Ordres monastiques en France du temps de Gré-
goire VII, XX, 165.

Orgue. Ce que c'est', II, 336, 339. Sa dénomina-
tion, 339. Son origine, 336. Ses développements,
III, 277: Son histoire, II, 36; IV, 37. Sa structure
suppose des connaissances étonnantes, III, 278; IV,
37. Sa supériorité sur les autres instruments, III,
283. Son rapport avec la voix humaine, III, 280;
avec le chant religieux, 281; IV, 42. Son harmonie
avec les fêtes chrétiennes, IV, 186. Son analogie
avec les cloches, IV, 427. Sa monotonie et sa va-
riété, IV, 180; à la fois invariable et progressif, 189.
Sa destination naturelle, 190, et de convenance,
192, ne peut faire partie d'un orchestre, 190. Essais
de modification dans l'orgue, IV, 39. Artistes qui
ont travaillé à ces modifications, ib.

Orgue expressif, instrument nouveau. Ce qu'il
est, IV, 189. A peu de rapport avec l'ancien orgue,
116. Conséquences de son admission dans les églises,
191. La réforme, basée sur cet orgue, anéantit la
musique religieuse, 122. Supériorité de l'orgue
chrétien, 185. Son style, ib. Pourquoi refusé à la
chapelle papale, ib.

Orgue (principaux facteurs d'), III, 278.
Orgueil. Ce que c'est, I, 266,

Orientation. Procédé pour s'orienter, IV, 421.
Origènes. Ses écrits, III, 428.

Originel (péché). Ce qu'il est, II, 15, 41. Composé
de deux principes de désordre, 1, 264. Qui se cher-
chent et s'attirent, 266. Type de tous les crimes, 264.
La Bible le fait connaître, ib. Les anciens philoso-
phes ne l'ont point ignoré, 78. Chaque être l'accuse,
100, 102. La science a besoin de le connaître, 100.
Il domine toute la philosophie de l'histoire, 82. Ex-
plique la situation de l'homme et les contradictions
qui se remarquent en lui, 142, 215. Les révolutions
de la société des intelligences, IV, 405. Il est avan-
tageux à l'homme d'en ignorer l'essence, 83. Faux
raisonnements des philosophes qui le nient, 219.
Sentiment de Pascal sur le péché originel, 219. Con-
sidéré comme explicatif des tonalités musicales, II,
103. Ses effets généraux, 223, 224, 245. Ses effets
sous le rapport du droit, II, 251.

Origines de l'Église romaine, par les Bénédictins
de Solesme; II, 286; III, 461. Importance de
ces origines. Plan de l'ouvrage. Sources où il sera
puisé, II, 291. Annonce de cet ouvrage, III, 160.
Ormesson (d'), contrôleur des finances au 13.
siècle, VIII, 399.

Ortes, moine Camaldule, économiste italien. Ses
opinions sur l'augmentation de la population, V, 33.
Ortigue (Joseph d'). Voyez Cours sur la musique.
Ostrasie. Trois minorités royales en Ostrasie,
XVI, 421. Influence de Brunehilde sur le royaume,
433. Elle l'avait auparavant perdue, 422.

Ott (docteur). Sur son Manuel de l'histoire an-
cienne, XX, 30g.

Ouen (histoire de l'abbaye royale de Saint-), par
J. Macé, XI, 205, 287.

Oukraine (origine et légende de l'), VII, 437.
Ouragan à l'équateur, XI, 237.

Ouspenskig Sobor. Sa description, XI, 198.
Overbeck, peintre allemand, II, 151.
Owen (Robert), économiste anglais, V, 337. Son
338.
système et ses travaux,

Ozanam. Deux chanceliers d'Angleterre, II, 158.
Études sur Dante, III, 222; IV, 370. Dante et la
philosophie catholique au 13° siècle, VIII, 399. Es-
sai sur le boudhisme, XIII, 453. Traduction des
lettres de Mistriss Capone, sur l'éducation d'une
jeune personne, XIX, 78.

P

Pacca. Mémoires historiques de ce cardinal, tra-
duits de l'italien par M. l'abbé Sionnet. Comple-
rendu, par M. de Villiers, XX, 214.

l'acôme (saint).. Sa vie. Règle qu'il donne à ses
disciples, VII, 431.

Paganel (Camille). Sur son Histoire de Joseph II,

Oriens, évêque d'Auch, obtient la paix aux Gau- XV, 380.
lois, VI, 334.

Orient. Les Orientaux considèrent l'Europe comme
le pays des Francks et lui en donnent le nom, XVI,
330. Nécessité d'étudier le passé de l'Orient par son
état présent, XVII, 252. Esquisse de l'état religieux
en Orient, XIV, 303.

Paganisme. Il ne peut être de longue durée, III,
100. Introduit dans les mœurs chrétiennes, VII,
181, 250; VIII, 7. Conséquence de cette introduc-
tion, VIII, 7.

Pagnini, économiste italien. Son système et ses
écrits, IV, 270.

Pagode (type et description d'une), II, 434. Pagodes anciennes, 432. Ramesouvam, Tanjaour, Tabicot, 433. Djagrenât, III, 47. Seringam, 49.

Paix (de la) entre l'Église et les États, par Mgr de Droste-Vischering. Analyse par M. le comte d'Horrer, XVI, 157..

Palestine. Ses productions et sa température, II,

260.

Papes (Histoire des), traduite et abrégée de
Ranke. Compte-rendu, III, 432; IV, 463.
Papes. Suites des premiers papes, II, 124.
Parallaxe. Ce que c'est, V, 46.

Parabolani, frères de charité à Alexandrie, VIII,

409.

Parallélisme, rhythme des Hébreux, 1, 287. Paramelle (l'abbé). Notice sur ses travaux hydroPalmieri, directeur des finances à Naples. Ses géologiques, par M. le vicomte Alban de Villeneuve, ouvrages d'économie, V, 35.

Pancrace (saint). Sa vie et son martyre, II, 447. Panthéisme. Négation de l'infini, I, 49. Ce qu'il enfante, 50. Ses conséquences et ses progrès, 282. Ce qu'il est aujourd'hui, VII, 16. Plus de milieu possible entre le panthéisme et le catholicisme, 19. Ses progrès en France, VII, 16. Ses erreurs,

120.

Panthéisme indien. Les Védas, etc., VII, 20; XVI, 100.

Panthéisme persan, VII, 418.

Panthéisme allemand. Sa source, VII, 119. A quoi il se réduit, VIII, 135. Extrait d'un ouvrage de M. Léon Boré, III, 146.

Panthéisme (Cours sur le), par M. Léon Boré. 11e leçon, VII, 15; 2o leçon, 418.

Panthéisme dans les sociétés modernes, par M. l'abbé Maret, VIII, 323; X, 41.

IX, 135.

Paravey (le chevalier de). Ses idées sur les zodiaques égyptiens, VIII, 421.

Pardessus, éditeur de la loi salique, XVII, 129. Parfums de Madeleine (les), par Victor de la Prade, IX, 242.

Parieu (F.de). Sur la Pucelle d'Orléans de Gœrres, 1,473.

Paris. Centre d'études et de savants, III, 136. Son état à l'époque de l'invasion des Gaulois, IV, 23; au 12° siècle, V, 461. Arrivée de saint Denis en cette ville, X, 374.

Paris (Louis). Chronique de Reims. Analyse, par Raymond-Thomassy, VIII, 80.

Paris (les frères), économistes français. Leur système, IV, 256.

Pary (l'abbé L.-A.). Les grands Cordeliers de Lyon. Les Cordeliers de l'Observance de la même

Panthéon littéraire. Choix d'ouvrages mystiques, ville, III, 395. par L. Moreau. Aperçu, II, 37, 80.

Pantomime. C'est une peinture par gestes, 1, 37. Paoletti (Ferdinand), prêtre, économiste italien. Son système, IV, 272.

Papauté. Centre d'unité catholique, VII, 14; d'unité humanitaire, 90. Miracle de sa perpétuité, XV, 115, 124. Son autorité suprême et les précieux résultats qui en découlent, VII, 89. Cette autorité ne peut être que d'institution divine, 90. La suprématie de cette autorité depuis le commencement, II, 289. Respect dont elle est environnée, II, 286. L'unité du gouvernement de l'Église, XV, 115. Éclat de la papauté dès la conversion des empereurs, ib. Résumé des services rendus à la civilisation par la papauté, 124. Elle a sauvé Rome, II, 425; au 7° siècle, XVI, 48; au 10° siècle, XVII, 123, 177, 260; au 11 siècle, ib., 353, 359, 424; XVIII, 350, 355, 426; XIX, 332; au 13° siècle, VI, 303; pendant tout le moyen âge, 11, 420. Sa vie actuelle et son avenir, IX, 296.

Papauté (Histoire de la) pendant le XVI et le XVIIe siècle, par L. Ranke; analysée par M. Doubaire, VI, 52.

Papauté (la) aux prises avec le protestantisme, par l'abbé Ch. Magnin. Analyse, par M. H. de Riancey, XIII, 158; XIV, 151.

Papes. Fondation de l'indépendance du Saint-Siége, XVI, 326. Origine de la puissance temporelle des papes, 273. Sa légitimité populaire, 275. Vigilance continuelle des papes, XIV, 115. Succession de cinquante-quatre papes tous saints, ib. Merveilles de l'harmonie de doctrines contre tous les papes, VIII, 328. Protection qu'ils accordent aux lettres, VI, 352.

Parole. Éléments constitutifs de la parole, XII, 93. C'est un don de Dieu, I, 120. Elle est la forme sensible du Verbe de Dieu, IV, 402. La vérité, I, 102. Envisagée comme instrument de la foi, XIII, 112. La parole de Dieu prouve son existence, 1, 66.

Passion (mystère de la ). Considérée comme drame, X, 255. Idée fondamentale de ce mystère, 256. Ordonnance de ce mystère. Analyse, 259. 2o et 3e parties, X, 349. Popularité de ce mystère, 334. Confrères de la Passion, ib. Destinée de leur théâtre, 355. Une représentation de la Passion en 1830, XI, 30.

Passions (des). Ce qu'elles sont, VIII, 331. Les maladies de l'âme, 333. Leur développement, 331; leur guérison, 333. Leur classification selon Platon, 329; selon les péripatéticiens, ib. Imperfection de ces classifications, ib. Passions ramenées à l'unité, ib. Opinion de saint Augustin sur les passions, 330. Opinion de saint Bernard, ib. Passions animales, 332; intellectuelles, ib. Conséquences des passions, 333.

Pasteur (le Bon) dans les peintures des Calacombes, V, 267.

Patient (évêque de Lyon). Sa charitė, VIII, 12. Patre-notre (le) en français du 13° siècle, XX, 492.

Patriarcat. Deuxième phase sociale, IX, 261. Dans la famille, V, 166.

Patriarcat. Son origine. III, 26. Il est inférieur à la papauté, ib. —d'Alexandrie, XIV, 351; d'Antioche, ib., 361; de Jérusalem, ib., 368; de Constantinople, XIV, 433; XV, 35, 124, 200, 345, 353, 432; XVI, 25, 102, 196, 359, 433, 441; XVII, 31.

Patriarches (des) dans l'Église, XIV, 254.

Patriotisme. Selon la religion, Is 107.

Patterson, écossais. Son système financier en Angleterre, IV, 100.

Paul (saint). Sa doctrine, II, 244.

Paul III. Ce qu'il fait en faveur de la réforme inté. rieure de l'Église, III, 438.

Paulin (saint) de Nôle, X!, 53.

Paupérisme. Son origine, 1, 88, 147. Son berceau, X, 97. Ses progrès, 1, 95. C'est l'œuvre exclusive du protestantisme, II, 68, 304. La charité légale l'augmente, id., 74. Sa situation en Angleterre, III, 20. Pauthier. Sur la philosophie des Indous, par Colebroke, I, 328.

Pauvre (convoi du), par Crabbe, IV, 217. Pecchio (le comte), économiste italien, V, 331. Ses travaux, 343.

Péché originel. Voyez Originel. Ses remèdes, 1, 207. Expié par Jésus-Christ, 268. Ses effets quant au droit, 11, 254. Sur nos facultés intellectuelles, XII, 89.

Pé-de-Arros. Histoire du moyen âge, XVIII, 140. Peine de mort (de la), par M. Lainé, ancien magistrat, VI, 123. La croix de Jésus-Christ ne l'anéantit pas, 126. Pourquoi l'on demande son abolition, 127. Réfutation des idées de M. de Lamartine, 128.

Peinture. C'est l'écriture de la pensée, I, 39; l'écriture transformée, id., 36; intuitive, id. 37; primitive, ib. Qualités qu'elle doit réunir, VIII, 305. Ce qui forme l'accord dans la peinture, II, 109.

Pénitence ecclésiastique, II, 82; publique; à qui réservée, ib. Ses formes et sa durée, 449. Ses effets individuels, id., 82. Son influence sur la législation temporelle, ib.

Pénitentiaire (régime). Il emprunte à l'Église son principe et ses moyens d'exécution, II, 84. Ce qu'il est en dehors de la religion, ib.

Pentateuque. Son antiquité, I, 282. Sa supériorité, ib. Moïse en est l'auteur, 283. Analyse littéraire du Pentateuque, II, 98.

Perception. Réalité des perceptions sensibles et des idées, XIX, 20. Rapport des perceptions avec les objets matériels, id., 21.

Perception morale. Son objet, IX, 93.

Pères de l'Église. Leur situation vis-à-vis des hérétiques, XVII, 326. Aperçu sur la marche de leur enseignement, divisé en quatre époques, XIX, 8. Caractère de chaque époque, id. Doctrine des Pères du 2° siècle sur le dogme de la création, ib.,9.

Pères de l'Église, traduits et publiés par M. de Genoude. Annonces, IV, 441; VIII, 161; II, 473. Pères grecs et latíns (édition complète de tous les), publiée sous les auspices de Grégoire XVI, projet non exécuté, X, 163.

Pérez (Antonio) et Philippe II, par M. Mignet, Analyse par R. de Beaufort, XX, 300.

Perfectibilité humaine, XI, 84. Continue. Elle implique la négation du christianisme, III, 241. Elle ne peut exister en dehors du christianisme que Peinture, Ses progrès au 13 siècle, I, 190'; en d'une manière fort restreinte, 246. Elle est incomItalie, ib.; en France d'après les premières exposi-patible avec le dogme d'une dégradation primitive, tions, 431. Sa décadence au 16e siècle, I, 542. Son état actuel, VII, 123. Caractère de l'école moderne, II, 141.

Peinture espagnole, V, 437.

Peinture. Son état en Russie, XII, 341.

Peinture chrétienne. C'est la plus belle de toutes, IV, 125. Comment l'Église la définit, íd., 127. L'Église préfère la peinture à la statuaire, ib. Motifs de cette préférence, ib. Différents procédés de peinture, ib. Antique, encaustique, fresque, ib. Aux Catacombes, V, 112, 152. Encaustiques et mosaïques des Catacombes de Saint-Calixte, V, 262. Leurs styles divers, ib. Leurs caractères hieroglyphiques, ib. Prédilection pour les sujets du Nouveau Testament, I, 111.

IV, 82.

Perfection de l'homme. De quoi elle se composait, I, 82.

Perfectionnement. Loi imposée à l'homme, VI, 8. Aux sociétés, ib.

Permanence. Caractère du catholicisme, 1, 138. Périère (de la), sur l'Histoire de la destruction du paganisme en Occident, par M. Beugnot, III, 61. Perrone (le P.). Sa théologie. Annonce, XIV, 471.

Persécution. Est-elle légitime à un certain point de vue, IX, 406. Effets des persécutions contre les chrétiens, IV, 291. Leurs causes surnaturelles, VII, 240. Naturelles, 247.

Persécution (tableau des), par M. Cyprien RoPeintures chrétiennes en Italie, par M. Rio. Anabert, III, 268. Différence des mesures prises contre lysées et complétées par M. de Montalembert, IV, les hérétiques et des persécutions dirigées contre 123. Voyez ensuite Histoire monumentale des pre-l'Église, XV, 356. Persécution de Constance, XI, 44

miers chrétiens.

Pèlerinage en Suisse, par Louis Veuillot. Analyse, par Édouard Dumont, VIII, 78.

Pèlerinage de Sainte-Anne d'Auray, par M. R.-M. d'Auray. Compte-rendu, par M. Daniélo, XI, 227. Pèlerinages aux sanctuaires de la Mère de Dieu. Aperçu, IX, 324.

Pénalité chez les Romains, IX, 105. Peines ordinaires, ib.; censoriales, id., 109; militaires, ib., 110; des esclaves, id., 111.

Péninsule gréco-slave (des peuples de la) et de leur avenir, par M. Cyprien Robert. Analyse, par M. Léon Dinaumaré, XX, 470.

Perpétuité de la foi de l'Église catholique sur la confession, la communion, etc. Annonce de celle publication, par l'abbé Migne, XII, 472. Perturbation planétaire, X, 427. Pesanteur. Ce qu'elle est, II, 177. Petchéries. Leur couvent à Kijov, VIII, 104. His toire de cet établissement, 425.

Pétersbourg. Preuve que cette ville n'est pas la capitale naturelle du Slavisme, XIII, 335. Tableau de cette ville en été, 343. Ses églises et ses palais, 334.

Petit (l'abbé). Le Chrétien à l'École de saíu Augustin. Analyse, X, 404.

Petit Manuel d'Éducation, par mademoiselle Si | effets, 11, 212. Doctrine des philosophes grecs sur

rey. Annonce, XII, 84.

Petit Radel. Ses recherches sur les monuments

cyclopéens, XII, 79.

Petty (William), anglais; ses travaux sur l'économie politique, IV, 101.

Pétrarque. Ce qu'il fait pour l'Italien, IV, 386. Sa réputation littéraire, V, 306.

Peuples. Ils sont les individus de l'humanité, 1, 45. Enfance du peuple avant l'ère chrétienne, id., 122. Les anciens peuples avaient peu de notions économiques, 274. Source de leur puissance, IV, 87. Trois espèces primitives, VIII, 245.

Peut (H.). Analyse de l'Histoire de Sylvestre 11, par Hock, XVI, 289.

Phalanstériens. Aperçu de leur doctrine, IX, 176. Pharmacie. Transforme les poisons en remède, 1, 34.

Phéniciens. Leur origine, 1, 228. Premiers navigaleurs. Leurs excursions, leurs sciences, leur commerce, leurs villés, 357. Parallèle des Phéniciens et des Anglais, 358.

Phénomènes historiques du 100 siècle, par M.
Rohrbacher, XII, 290.

Philippe-Auguste. Analyse de son règne, 1, 171.
Son divorce d'avec Ingeburge, VIII, 283.
Philippe-le-Bel. Coup d'œil sur son règne, III,

304.

Philologie. Où en est cette science? VII, 122. Elle n'en est qu'à sa naissance, I, 118.

Philosophes. Leur genre d'argumentation, VIII, 48. Ce qu'ils deviennent à Rome, II, 213. Leur erreur sur Jésus-Christ, I, 67. Comment certains d'entre eux considéraient la mort, VI, 87.

la création, XVII, 327.

Philosophie alexandrine. Sa faiblesse, II, 213. Ses hérésies, XVII, 330.

Philosophie orientale. Importance de l'histoire de cette philosophie, XV, 405.

Philosophie de l'lade, XV, 414; XVI, 85, 405; XVII, 165-405. Voir Bourgeat.

Philosophie moderne. Sa source. Son criterium. Sa forme. Son axiome fondamental, VII, 120.

Philosophie chrétienne. Son principe d'aprés M. Bautain, VIII, 127. Sa véritable voie, ib., 129. Son objet, fb., 134. Bases nouvelles sur lesquelles elle dolt reposor, VII, 124. Ses travaux sur l'homme, I, 218. Elle a expliqué tout l'homme, 11, 241.

Philosophie mystique. C'est la charité dans l'in telligence, I, 51.

Philosophie morále, par M. l'abbé Bautain. Annonce, XIII, 162.

Philosophie de l'Art, ou Introduction à l'étude des monuments chrétiens, par M. Cyprien Robert, II, 473. Examen de ce travail, III, 312.

Philosophie théorique et pratiqué de la littérature, par M. l'abbé de Robiano, 11, 315.

Philosophie de l'histoire. Ce qui la constitue, I, 101; VIII, 155. Son but, II, 273. Écrite par Schlégel, traduite par Lechat. Analyse, II, 372.

Philosophie catholique de l'histoire, ou l'histoire expliquée, par M. A. Guiraud. Compte-rendu, VIII, 55; XIII, 473.

Philosophie de la tradition, par J.-F. Molitor, traduction par Quris, IV, 39.

Philosophie (bases de la), ou du Rationalisme et de la Foi, par Gabriel d'Erceville, XII, 72.

Philosophie (Cours de). De la méthode, XVII, 417. Introduction. Division, ib.; chapitre 1o, ib., 418; eh. 2o, ib., 421; ch. 3c, XVIII, 21; ch. 4o, fb., 25, 94; ch. 5o, ib., 98; ch. 6o, tỏ., 179 ; ch. 7o, ib., 180; ch. 8°, ibi, 181; ch. 9a, ib., ch. 10o, ib., 254; ch. 11, ib., 256; ch. 120, ib., 259; ch. 130, ib., 419; ch. 14o, ib., 422; ch. 15, XIX, 19; ch. 16, ib., 20; ch. 17o, ib., 31; ch. 18o, ib., 85; ch. 19, fb., 95; ch. 20o, ib., 258; ch. 21*, ib., 262; ch. 22o, ib., 340; ch. 23°, ib., 341; ch. 24*,

ib., 351; ch. 28, XX, 180; ch. 29a, ib., 186; ch. 30o, ib., 341.

Philosophie. Definition, IX, 98. La même d'après Laurentie, I, 49. Son origine, XV, 189. Elle est rationnelle ou mystique, 1, 50. Sa fonction princi- | pale, ib., 49. Exemple de cette fonction, ib. Elle ne sanctionné rien, I, 261. Elle ne peut connaître l'homme ni le guider, II, 37. Elle connaît peu les instincts de l'humanité, I, 142. Ses relations avec la théologie, fb., 183. Elle y a sa base, ib., 49. Son erreur sur sa divinité, II, 162. Elle doit être l'auxiliaire de la religion, VII, 98. Pourquoi lui est-elle opposée, ib., 94. Ce qu'elle reproche au catholi-ib., 347; ch. 25a, ib., 348 ; ch. 260, íb., 349; ch. 27o, cisme, II, 50. Ge qu'elle fait de la société domestique, politique, générale, I, 260. Elle ne se compose pas de simples abstractions, IV, 54. Son impuissance chez les anciens, I, 247; II, 39. Raison de cette impuissance sur les anciens Romains, II, 87. A quelle époque fut-elle étudiée à Rome? ib. Impuissance chez les modernes, II, 199. Motif de son action au milieu d'eux, ib., 249. Ses travaux au moyen âge, I, 230. Comment on l'envisageait à celle époque, ib. Son esprit au 18° siècle, V, 426. Comment on l'enseigne à Juilly, IV, 55. Deux sortes de philosophie, ib., 54. Marche de son enseignement, VIII, 113. Vie philosophique presque impossible de ros jours, ib., 116. Ses prétentions en 1827, ib., 122.

Philosophie des Hébreux, 1, 272.

Philosophie grecque, 1, 511, Sa doctrine et ses

Philosophisme. Son berceau, 1, 222. Son esprit, V, 426. Ses aberrations ne déshonorent que lui, 91. Comment il enfante la religion, 120. Il recueille les fruits du protestantisme, 125. Ce qu'il fait de l'homme, 278. Comment il écrit Phistoire, 125.

Philosophisme (du) rationaliste et anthropolâtre de la Prusse et de son introduction dans l'enseignement public en France, par M. le comte d'Horrer, XVIII, 464; XIX, 133, 452; XX, 287.

Photius, patriarche de Constantinople. Comment il arrive au pouvoir, VII, 325. Histoire analysée de son schisme, XVI, 359, 433, 441 ; XVII, 31. Phrygie (les Corybantes de), XV, 27. Physiologie. Ce qui constitue cette science, I, 28. C'est l'histoire de l'âme, tb., 3o. Appliquée à

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