... leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain il fallut encore nous disperser. La métayère me conduisit , le matin , chez le maire. En revenant, je trouvai deux cavaliers qui passaient au... Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest - Seite 270von Société des antiquaires de l'Ouest (Poitiers, France) - 1869Vollansicht - Über dieses Buch
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1815 - 518 Seiten
...beure est fort bon : c'était notre ressource. Le len demain, il fa 11 ut encore nous disperser. Lit métayère me conduisit, le matin , chez le maire. En revenant, je trouvai deux cavaliers qui pas» saient au galop. Ils nous firent crier : Vive la république ! D'abord j'eus bien peur ; puis... | |
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1815 - 504 Seiten
...lait aigre , leur unique nourriture. Heureusement leur beure est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain, il fallut encore nous disperser. La métayère me conduisit , le rnatin , chez le maire. En revenant , je trouvai deux cavaliers qui passaient au galop. Ils nous firent... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1816 - 510 Seiten
...est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain, il fallut encore nous disperser. La metayère me conduisit, le matin, chez le maire. En revenant,...malheureux Vendéens qui cherchaient à se sauver. L'après dîner, «n me men,a chez le procureur de la commune, 363 et sa feumié dit qu'elle allait... | |
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1816 - 568 Seiten
...lait aigre , Jeur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'étoit notre ressource. Le lendemain, il fallut encore nous disperser. La...maire. En revenant, je trouvai deux cavaliers qui passoient au galop. Ils nous firent crier : Vive la république ! D'abord j'eus bien peur ; puis je... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1817 - 522 Seiten
...lait aigre, leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain, il fallut encore nous disperser. La...la république] D'abord j'eus bien peur ;, puis je m'apeiv eus que c'étaient deux malheureux Vendéens qui cherchaient à se sauver. L'après-dîner... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 668 Seiten
...aigre font leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain il fallut encore nous disperser. La métayère...république! D'abord j'eus bien peur; puis je m'aperçus que c'etaient deux malheureux Vendéens qui cherchaient à se sauver. L'après-dîner, on me mena chez... | |
| 1823 - 648 Seiten
...aigre font leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain il fallut encore nous disperser. La métayère...cavaliers qui passaient au galop; ils nous firent crier : T'rwe Iti république! D'abord j'eus bien peur; puis je m'aperçus que c'etaient deux malheureux... | |
| Marie Renée Marguerite de Scépeaux marquise de Bonchamps - 1823 - 652 Seiten
...aigre font leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain il fallut encore nous disperser. La métayère...trouvai deux cavaliers qui passaient au galop; ils nous tirent crier : Vive la république! D'abord j'eus bien peur; puis je m'aperçus que c'étaient deux... | |
| Marie Renée Marguerite de Scépeaux marquise de Bonchamps - 1827 - 634 Seiten
...aigre font leur unique nourriture. Heureusement leur beurre est fort bon : c'était notre ressource. Le lendemain il fallut encore nous disperser. La métayère...cavaliers qui passaient au galop; ils nous firent crier : J^ive la république! D'abord j'eus bien peur; puis je m'aperçus, que c'étaient deux malheureux... | |
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