Ce moment était terrible : les cris des soldats , le roulement des tambours, le feu des obus , qui jetait sur la ville une lueur sombre , le bruit de la mousqueterie et du canon, l'odeur et la fumée de la poudre , tout contribuait à l'impression que... Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest - Seite 266von Société des antiquaires de l'Ouest (Poitiers, France) - 1869Vollansicht - Über dieses Buch
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1815 - 518 Seiten
...Vendéens se rangeaient à l'entrée de la ville, l'attaque commença au milieu d'une nuit obscure. Ce moment était terrible. Les cris des soldats, le roulement...vie ou la mort. Au milieu du bruit, nous gardions tous un morne silence. Déjà nous avions passé une demi-heure dans cette cruelle attente , lorsque... | |
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1815 - 504 Seiten
...Vendéens se rangeaient à l'entrée de la ville, l'attaque comtnença au milieu d'une nuit obscure. Ce moment était terrible. Les cris des soldats, le roulement...ceux qui attendaient de son issue la vie ou la mort. An milieu du bruit , nous gardions tous un morne silence. Déjà nous avions passé une demi-heure... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1816 - 510 Seiten
...moment était terrible. Les cris des soldats, te roulement des tambours, le feu des obus, qui jetait ^ur 'la ville une lueur sombre, le 'bruit de la mousqueterie...attendaient de son issue la vie ou la mort. Au milieu rdu ibruit, nous gardions tous un morne silence. Déjà nous avions passé une demi-heure dans cette... | |
| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1816 - 568 Seiten
...moment étoit terrible. Les cris des soldats, le roulement des tambours, le feu des obus , qui jetoit sur la ville une lueur sombre, le bruit de la mousqueterie...du canon, l'odeur et la fumée de la poudre , tout contribuoit à l'impression que recevoient de ce combat ceux qui attendoient de son issue la vie où... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1817 - 522 Seiten
...l'attaque commença au milieu d'une nuit obscure. Ce moment était terrible : les cris des soldats , e roulement des tambours , le feu des obus , qui jetait...dans cette cruelle attente, lorsque nous entendîmes tout-à-coup crier à l'entrée de la ville : « En avant, la cavalerie! Vivelejioil n Cent mille voix,... | |
| Jean-Pierre Gallais - 1820 - 468 Seiten
...les cris des soldats , « le roulement des tambours , le feu des « obus qui jetoit sur les maisons une lueur « sombre , le bruit de la mousqueterie et « du canon , l'odeur et la fumée de la pou« dre , tout contribuoit à glacer d'épouvan« télés femmes , les vieillards , etles enfants... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 668 Seiten
...était terrible : les cris des soldais , le roulement des tambours , le feu des obus , qui jetaient sur la ville une lueur sombre , le bruit de la mousqueterie...l'odeur et la fumée de la poudre , tout contribuait à l'impressign que recevaient de ce combat ceux qui attendaient de son issue la vie ou la mort. Au milieu... | |
| 1823 - 648 Seiten
...étaît terrible : les cris des soldats , le roulement des tambours , le feu des obus , qui jetaient sur la ville une lueur sombre , le bruit de la mousqueterie et du canon , l'odeur et la fumee de la poudre , tout contribuait à l'impression que recevaient de ce combat ceux qui attendaient... | |
| Marie Renée Marguerite de Scépeaux marquise de Bonchamps - 1823 - 652 Seiten
...était terrible : les cris des soldats , le roulement des tambours , le feu des obus , qui jetaient sur la ville une lueur sombre , le bruit de la mousqueterie et du canon, l'odeur et la fumee de la poudre , tout contribuait à l'impression que recevaient de ce combat ceux qui attendaient... | |
| Marie Renée Marguerite de Scépeaux marquise de Bonchamps - 1827 - 634 Seiten
...roulement des tambours, le feu des obus, qui jetaient sur la ville une lueur sombre , le bruit delà mousqueterie et du canon, l'odeur et la fumée de...nous gardions un morne silence. Déjà nous avions passe une demi-heure dans cette cruelle attente , lorsque nous entendîmes tout-à-coup crier à l'entrée... | |
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