Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-duc, Bände 1-2La Société, 1871 |
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Amé de Sarrebruck année archives avaient Bar-le-Duc Barrois Bauffremont bienfaisance BONNABELLE Bouconville Bourgogne Bureau Calmet Castrum cent centimètres CHARAUX Charles château Châtillon chevalier Commercy commune compte comte de Bar d'Edouard Damvillers DEMOGET département Dom Calmet donne lecture duc de Bar duc de Lorraine duché Edouard église enfants époque établissements Etain famille février FLORENTIN forteresse fust général gens d'armes grante Gueldres guerre habitants Histoire Horgne intitulé Jean Joinville jour l'abbé l'Assemblée l'église lettres Ligny livres localités Louppy Luxembourg maison malades membre correspondant membres titulaires Ménil-la-Horgne ment Messieurs Metz Meuse misère mois Montsec morale mort mortalitez Nancy nombre Notice oiseaux Orsel pain pays pendant penser peste Philippe Philippe de Gueldres phosphates population présente Président prévôt d'Etain prince procès-verbal religieux ressources reste réunion saint Saint-Maxe Saint-Mihiel Sarrebruck séance secours Secrétaire quinquennal seigneur SERVAIS seulement Société soins Sorbey suivant tion Toul travail trouve Verdun vice-président village Waléran Watronville WIDRANGES Woëvre XVIIIe siècle
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Seite 194 - Chez vos voisins vous portez l'incendie : L'aquilon souffle, et vos toits sont brûlés ; Et quand la terre est enfin refroidie, Le soc languit sous des bras mutilés. Près de la borne où chaque état commence, Aucun épi n'est pur de sang humain.
Seite 206 - ... Luxembourg, t. VI, page 98 et Preuves, page xxm. comtesse douairière de Namur. moyennant trentetrois mille florins (1). DAMVILLERS (2). — Célèbre par la convention faite entre Jean l'Aveugle et Henri IV, comte de Bar ; par ce traité, ces deux princes s'engageaient pendant trois ans à frapper monnaie à frais et profits communs à leurs deux noms et à leurs armes; et...
Seite 85 - Recherches historiques et bibliographiques sur les commencements de l'imprimerie en Lorraine, et sur ses progrès jusqu'à la fin du XVH siècle, par M.
Seite 98 - Par ce même motif, je ne puis accepter une autre théorie qui, confondant le sentiment du beau avec le sentiment moral et religieux, met l'art au service de la religion et de la morale, et lui donne pour but de nous rendre meilleurs et de nous élever à Dieu. Il ya ici une distinction essentielle à faire. Si toute beauté couvre une beauté morale, si l'idéal monte sans cesse vers l'infini, l'art qui exprime la beauté idéale épure l'âme en l'élevant vers l'infini, c'est-à-dire vers Dieu.
Seite 99 - ... avant tout un artiste; ce qui l'anime est le sentiment du beau; ce qu'il veut faire passer dans l'âme du spectateur, c'est le même sentiment qui remplit la sienne. Il se confie à la vertu de la beauté; il la fortifie de toute la puissance, de tout le charme de l'idéal ; c'est à elle ensuite de faire son œuvre; l'artiste a fait la sienne, quand il a procuré à quelques âmes d'élite le sentiment exquis de la beauté. Ce sentiment pur et désintéressé est un noble allié du sentiment...
Seite 89 - Charles, par la grâce de Dieu, duc de Calabre, Lorraine, Bar, Gueldres, Marchis, marquis de Pont-à-Mousson, conte de Provence, Vaudémont, Blamont, Zutphen, etc.
Seite 80 - On dit aussi qu'il est bon, en temps de peste, de nourrir un bouc en la maison où l'on habite, et le tient-on pour un singulier remède contre la contagion du mauvais air : pour ce que la vapeur du bouc ayant rempli le lieu où il habite empesche que l'air putrëlié y tienne place...
Seite 196 - Recherches sur les monnaies des comtes et ducs de Bar pour faire suite aux Recherches sur les monnaies des ducs héréditaires de Lorraine. - Paris : Firmin-Didot, 1843.
Seite 263 - Les communes de Raon-les-Leau et de Raon-sur-Plaine, exclusivement de toute propriété domaniale ainsi que des propriétés communales et particulières enclavées dans le territoire domanial réservé ; 2° La commune d'Igney et la partie de la commune d'Avricourt située entre la commune d'Igney jusques et y compris le chemin de fer de Paris à Avricourt, et le chemin de fer d'Avricourt à Cirey.
Seite 57 - On ne ù pouvoit voir sans douleur ces visages maigris « par le jeûne, ces corps languissans, couchés « par terre , auxquels la force manquoit avee « la nourriture. A peine les uns étoient morts , « que d'autres, en s'efforçant de leur donner la '« sépulture, mouroient avec eux, et le plus « grand nombre ne pouvoit être enseveli, parce « qu'il ne restoit personne pour prendre soin de « leurs corps, (i) « Une autre calamité suivit celle-ci. Les loups, « alléchés par le grand nombre...