Quelques femmes de la Réforme: recueil biographiqueG. Bridel, 1865 - 320 Seiten |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
amis Anna Anne d'Este Argula Béarn bien-aimé bonne Calvin Catherine cause ceste Charles IX château cher choses chrétienne Christ cœur Condé confession conseil consolation Curione d'Albret d'Elisabeth d'Olympia devant dit-elle docteur doctrine domestiques douleur duchesse Duplessis écrivait églises réformées Eisleben Elisabeth enfants épouse époux épreuve Erich évangélique famille femme Ferrare Feuquières fidèle fille fils florins François Ier frère GEORGES BRIDEL Gérold gneur Grunthler Henri hommes Idelette Jean Jeanne JEANNE D'ALBRET jeune joie jour l'Eglise l'électeur l'empereur l'Evangile laisser larmes lettres Luther Madame main maison malade Marguerite mari mariage Mélanchthon ment mère messe Mme de Mornay Morato mort mourut Olympia Oswald Myconius Parole de Dieu pasteur pauvre père Philippe piété prédicateurs prier prières prince princesse prit protestants réformateur reine de Navarre resta royaume royaume de Navarre s'était sainte Schweinfurt secours Seigneur sentiments seule sœur Spalatin tion Torgau vait veuve Wittemberg Wolfenbüttel Zurich Zwingle
Beliebte Passagen
Seite 187 - ma tante. Je vous honore plus que le pape, et « aime plus ma sœur que je ne le crains. Je ne suis « pas huguenot , mais je ne suis pas sot aussi. Si « M. le pape fait trop la bête, je prendrai moi« même Margot par la main et la mènerai épouser
Seite 187 - Je ne voudrais pas, pour chose du monde, que vous y fussiez pour y demeurer; voilà pourquoi je désire vous marier et que vous et votre femme vous retiriez de cette corruption ; car, encore que je la croyais bien grande, je la trouve davantage.
Seite 39 - Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants.
Seite 245 - Je comprime ma douleur tant que je puis ; mes amis font leur devoir ; mais eux et moi, nous gagnons peu de chose. Tu connais la tendresse de mon cœur, pour ne pas dire sa faiblesse. Je succomberais , si je ne faisais un effort sur moi-même pour modérer mon affliction.
Seite 188 - m'est à bon droit fort ennuyeuse pour les misères que » j'y ai senties dès ma jeunesse, si ne laisse-je pas de » la quitter avec grand regret, quand je regarde à la » jeunesse des. enfants que Dieu m'a donnés , pour les » voir privés de ma présence en ce bas âge... Toutefois » je m'assure que Dieu leur sera pour père et protpc...
Seite 184 - Encore que ce soit elle-mesme qui me l'ait dict, elle me le renie comme beau meurtre et me rit au nez, et m'use de telle façon, que vous pouvez dire que ma patience passe celle de Griselidis (4).
Seite 184 - Madame, jo ne la vis que chez la Royne, lieu mal propre d'où elle ne bouge, et ne va en sa chambre que aux heures qui me sont mal-aisées à parler; aussi que Madame de Curton (3) ne s'en recule poinct; de sorte que je ne puis parler qu'elle ne l'oye...
Seite 190 - Paris , pour nous acquiter du dernier devoir deu à sa dignité et à la proximité que nous luy avions, non avec les pompes et...
Seite 37 - Moi , la lumière , je suis venu dans le monde , afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.
Seite 186 - J'ay trouvé vostre lettre fort à mon gré, je la monstreray à Madame si je puis. Quant à sa peinture, je l'envoyrai quérir à Paris. Elle est belle, bien advisée et de bonne grâce, mais nourrie en la plus maudite et corrompue compagnie qui fut jamais, car je n'en vois point qui ne s'en sente. Vostre...