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adulations officielles, de pieux mensonges, ou tout au plus des témoignages du génie bienfaisant de l'empereur. J'ai peine à le croire pour les médailles. Si des bruits tels que ceux qui sont rapportés par Capitolin avaient été répandus du vivant de Marc-Aurèle, il est imposible qu'on eût pris des types qui prêtaient à de si sanglantes épigrammes. Le type de la Pudicitia n'avait pas été employé depuis Sabine. Au moins, quand il s'agit de monuments d'une foi récusable, si nous écartons les interprétations d'une confiance optimiste, prenons garde, d'un autre côté, aux soupçons d'une malignité prévenue. « En présence des portraits de Faustine, écrivait notre spirituel et regretté AMPÈRE, nous comprenons la passion de Marc-Aurèle, car cette femme a bien la plus charmante figure qu'on puisse voir; mais, comme l'amour ne nous aveugle pas, nous lui trouvons aussi l'air d'une franche coquette, et nous nous expliquons très-bien sa mauvaise renommée auprès du public contemporain et dans l'histoire, l'un et l'autre mieux informés que Marc-Aurèle. Ses bustes ont toujours l'air de vouloir entrer en conversation avec le premier venu, et il y a sous le péristyle du casin Albani une statue assise de la charmante impératrice qui, la tête un peu penchée, semble écouter une déclaration. » Cherchons de plus solides indices. C'est Marc-Aurèle lui-même qui va nous les fournir.

Le contraste entre la Faustine des historiens et la Faustine qui résulte des écrits de Marc-Aurèle est un des problèmes historiques les plus singuliers. Une chose incontestable, c'est que Marc-Aurèle eut toujours pour sa femme l'affection la plus tendre, et qu'il s'en crut toujours aimé. « Plutôt être avec elle dans une île déserte, écrivait-il à son maître, que de vivre sans elle dans le palais impérial. » Il n'est pas de tableau plus touchant que celui que nous offre à cet égard la correspondance de Fronton et de son auguste élève. Oui, le bonheur habita vraiment cette villa de Lorium, cette belle retraite de Lanuvium, où Marc-Aurèle passa ses meilleures années avec Faustine et les nombreux enfants (4) qu'elle lui donna. « J'ai vu ta petite couvée (2), lui écrit Fronton, et rien ne m'a jamais fait tant de plaisir. Ils te ressemblent à un tel degré qu'on ne vit jamais au monde pareille ressemblance. Je te voyais doublé, pour ainsi dire; à droite, à gauche, c'était toi que je croyais voir. Ils ont, grâces aux dieux, la couleur de la santé, et une bonne façon de crier. L'un d'eux tenait un morceau de pain blanc, comme un enfant royal; l'autre, un morceau de pain de ménage, en vrai fils de philosophe. Leur petite voix m'a paru si douce, si gentille, que j'ai cru reconnaître dans leur babil le son clair et charmant de ta parole (3). » Dira-t-on que la dissimulation, l'intention de prévenir de mauvais bruits a pu se glisser dans cette correspondance, dont le défaut est quelquefois de manquer de naturel? Soutiendra-t-on qu'ua rhéteur, habitué à présenter les choses telles qu'elles doivent être pour le besoin de la phrase, a pu faire violence aux faits pour les ramener à ce qu'exigeaient les nécessités d'une jolie lettre? Mais voici un texte où l'on ne peut admettre aucune arrière-pensée,

(1) Voir Tillemont, Hist. des Emp., II, p. 340, 341; Borghesi, Œuvres compl., III, p. 237 et suiv.; V, p. 432 et suiv.

(2) Les deux frères jumeaux, Commode et Annius Vérus.

(3) M. Corn. Frontonis et M. Aur. Imp. Epistulæ, p. 454, édit. Maï, Rome, 1823. Comparez ibid., p. 121, 125, 133, 135, 136, 144, 142, 153, 159, etc., surtout p. 136, où il revient sur la ressemblance des enfants avec leur père.

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un texte d'une sincérité absolue et qui dans la question présente me paraît d'un poids décisif.

Il est tiré de ce livre admirable, le plus vrai, le plus simple, le plus honnête des livres, que le bon empereur nous a laissé comme un miroir fidèle de sa vie intérieure. Dans une de ses fastidieuses campagnes contre les Quades et les Marcomans, une nuit qu'il était campé sur les bords du Gran, au milieu des plaines monotones de la Hongrie, Marc-Aurèle se mit à revenir sur sa vie passée, à dresser le compte, en quelque sorte, de ce qu'il devait à chacun des êtres bons qui l'avaient entouré. Toutes les images de sa pieuse jeunesse remontent alors en son souvenir. Il voit défiler, comme en une vision sainte, son aïeul Vérus, dont on admirait le caractère plein de mansuétude; son père, dont on prisait tant la modestie; sa mère, qui lui apprit à s'abstenir, non-seulement de faire le mal, mais d'en concevoir la pensée; Diogénète, qui lui inspira le goût de la philosophie; Junius Rusticus, qui lui prêta le volume d'Epictete; Apollonius de Chalcis, qui alliait l'extrême fermeté à la parfaite douceur; Sextus de Chéronée, si grave et si bon; Alexandre le grammairien, qui le reprenait avec une politesse si raffinée; Fronton, qui lui enseigna ce qu'il y a dans le cœur d'un tyran d'envie, de duplicité, d'hypocrisie; son frère Sévérus, qui lui fit connaître Thraséas, Helvidius, Caton, Brutus, qui lui donna l'idée d'un Etat libre, où la règle est l'égalité naturelle des citoyens et l'égalité de leurs droits, d'une royauté qui place avant tout le respect et la liberté des citoyens; et, dominant tous les autres de sa grandeur immaculée, Antonin le Pieux, son père d'adoption, qui lui offrit le modèle de l'homme et du souverain accomplis. « Je remercie les dieux, dit-il, de m'avoir donné de bons aïeuls, de bons parents, une bonne sœur, de bons maîtres, et, dans mon entourage, dans mes proches, dans mes amis, des gens presque tous remplis de bonté. Si j'ai vécu sous la loi d'un prince et d'un père qui devait dégager mon âme de toute fumée d'orgueil; s'il m'a été donné de rencontrer un frère dont l'attachement devait faire la joie de mon cœur; si j'ai eu en partage une femme comme la mienne, si complaisante, si affectueuse, si simple (4); si j'ai trouvé tant de gens capables pour l'éducation de mes enfants : oui, tant de bonheur ne peut être que l'effet de l'assistance des dieux et d'une heureuse fortune. »

Ainsi, voilà cette Faustine, qu'on voudrait nous donner comme le fléau et la honte de la vie de Marc-Aurèle, associée par cet homme si religieux, dans son entretien le plus intime avec la Divinité, aux personnes les plus nobles qu'il a connues. Mettons qu'il lui eût pardonné comme il fit à tant d'autres; mais qu'est-ce qui le forçait d'évoquer son image à ce moment sacré ? Ne devait-il pas craindre, lui si pur, si innocent, de commettre un sacrilége en plaçant la mémoire d'une épouse souillée à côté de sa mère, de sa sœur? Et notons que ce beau passage a été écrit dans les derniers temps de la vie de Marc-Aurèle, probablement après la mort de Faustine (2). Capitolin a posé la question avec beaucoup de force: si les désordres de Faustine furent réels, de deux choses l'une, ou son mari les ignora, ou il les dissimula: Vel nesciit vel dissimulavit (3). Impossible

(4) Pensées, livre I, § 17: Τὸ τὴν γυναῖκα τοιαύτην εἶναι, οὕτωσὶ μὲν πει θήνιον, οὕτω δὲ φιλόστοργον, οὕτω δὲ ἀφελῆ.

(2) La mort de Faustine, en effet, paraît de l'an 172 de J.-C. Or, on place généralement la composition du Els tautóv à l'an 174. (3) Capitolin, Ant. Phil., 26.

d'admettre la seconde hypothèse. On ne dissimule pas avec la Divinité. Les Pensées de Marc-Aurèle ne furent pas destinées au public; l'auteur les écrivait pour lui même: Tà els autóv est le seul titre qu'elles portent. Peut-on admettre, d'un autre côté, que l'empereur ignorât des faits que l'on suppose d'une telle notoriété? Remarquons d'abord que la version malveillante pour Faustine implique le contraire (se rappeler la scène du théâtre et le prétendu mot sur la dot). Comment concevoir que Marc-Aurèle, entouré d'amis, de sages, peu sympathiques à Faustine, n'eût pas été averti? Comment, après sa mort, ne lui eût-on pas ouvert les yeux? Antonin le Pieux, lui, n'ignora rien; il connut la conduite de la première Faustine, et, selon la belle expression de son biographe, cum animi dolore compressit (1). Chez Marc-Aurèle, pas une trace de ce refoulement douloureux. Faustine resta toujours « sa très-bonne et trèsfidèle épouse. » A sa mort, il manifesta une douleur profonde; il écrivit au Sénat pour demander la grâce des complices d'Avidius comme l'unique consolation qui dans un tel malheur pût le rattacher à la vie (2). Le Sénat décerna à l'impératrice défunte des honneurs inusités. Un autel lui fut élevé, sur lequel tous les nouveaux mariés de Rome venaient offrir un sacrifice. Au théâtre, dès que l'empereur paraissait, on roulait dans la loge impériale, à la place où l'impératrice avait coutume de se mettre, une statue d'or de Faustine assise dans un fauteuil, pour que les yeux de l'empereur fussent consolés par la seule image qui avait adouci l'austérité de sa vie; les plus nobles dames de Rome venaient se placer à côté de l'effigie de leur souveraine et en quelque sorte lui renouveler leur cour. L'empereur félicita et remercia le Sénat de ces décrets. Or le Sénat, sous Marc-Aurèle, avait retrouvé toute sa dignité et toute son indépendance. Rappelonsnous, d'ailleurs, que ces témoignages d'affection venaient de l'homme qu'Adrien regardait comme si incapable de mentir qu'il changea son nom de Verus en celui de Verissimus. Un des traits du caractère de Marc-Aurèle, dira-t-on, était une indulgence extrême, une façon de vivre dans le convenu, un parti pris de considérer les choses par le bon côté, de louer en chacun ce qu'il avait de louable et de faire abstraction de ses défauts (3); mais ceux-mêmes de ses historiens qui ont le plus insisté sur ce trait de son caractère ajoutent sur-le-champ que jamais il n'alla jusqu'à la dissimulation (4). Il fut très-franc en ce qui concerne Lucius Vérus. Car, s'il eut pour cet indigne collègue, durant sa vie, des égards on peut le dire exagérés (5), il ne dissimula pas après sa mort les embarras qu'il lui avait causés (6). Dans sa belle prière aux dieux sur les bords du Gran, lui si reconnaissant, si fidèle à la religion des souvenirs, il ne parle pas d'Adrien, auquel pourtant il devait tout, sans doute parce que le caractère privé de cet empereur lui avait laissé de mauvaises im-pressions. Quoiqu'il remercie les dieux de lui avoir donné « des enfants qui

(4) Jules Capitolin, Vie d'Ant. le Pieux, 3. Comparez Spartien, Vie de Sept. Sév., 18.

(2) Dion Cassius, LXXX, 30, 31; Capitolin, Ant. Phil., 26.
(3) Dion Cassius, LXXI, 34, et les Pensées, à chaque instant.
(4) Οὐ προσποιητῶς. . . . οὐδὲν προσποιητὸν εἶχε. (Dion Cassius, l. c.)

(5) Capitolin, Ant. Phil., 15.

(6) Capitolin, Ant. Phil., 20. C'est à tort que l'on a cru voir Vérus dans le frère » dont il est parlé, Pensées, I, 17. C'est probablement là « son frère Sévérus », dont il parle, Pensées, I, 14, et celui-ci n'est autre que Claudius Sévérus.

ANNÉE 1867.

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n'ont ni l'esprit trop lourd ni le corps contrefait, » on sent à plusieurs endroits de ses Pensées les inquiétudes qu'il avait à propos de Commode (1). Dion prétend que Marc-Aurèle, à son lit de mort, fut persuadé qu'il mourait par la scélératesse de son fils, et que néanmoins il le recommanda aux soldats (2). Quand ce crime de Commode serait prouvé (et il ne l'est nullement) (3), on ne saurait rien conclure de là contre la sincérité du père. Septime Sévère, qui certes n'avait pas la bonté de MarcAurèle, et qui blâmait hautement cet empereur de n'avoir pas délivré le monde de Commode, désigna pour sa succession Caracalla, presque le lendemain du jour où celui-ci venait d'attenter à sa vie (4). Une marque d'estime de Marc-Aurèle garde donc tout son prix; que dire d'une confidence faite dans le plus secret abandon de son cœur?

II

Prenons maintenant les unes après les autres les accusations portées par les historiens contre Faustine, et discutons-en la vraisemblance. La plus grave de ces accusations est évidemment sa complicité supposée avec Avidius Cassius. Nous n'hésitons pas à le dire: c'est là une calomnie. Supposons que les larmes de Marc-Aurèle, le deuil du Sénat et du peuple, ces honneurs divins, ces temples, ces marques exceptionnelles de piété pour la mémoire d'une épouse, soient des fictions comme l'histoire de l'empire romain en offre trop d'exemples; supposons que la flatterie se fût crue bien inspirée en ravivant chez l'empereur à tout propos un souvenir qui devait lui être odieux (la flatterie est d'ordinaire plus pénétrante); au moins fautil que la complicité de Faustine avec le rival de son mari ne soit pas formellement contredite par les documents. Rappelons que, selon l'hypothèse que nous combattons, c'est Faustine, qui, voyant l'état de santé de son mari, inspire à Avidius son fatal projet, et essaye de le séduire par l'espérance de sa main. On oublie d'abord qu'Avidius était marié, qu'il avait des fils, que sa femme, ses fils, son gendre se compromirent avec lui (5); mais n'importe. Que devient l'hypothèse de la complicité, s'il est prouvé qu'Avidius eut toujours des projets de révolte et ne fit, en se laissant proclamer empereur à Antioche, qu'exécuter un plan depuis longtemps mûri? Or c'est ce qu'établissent jusqu'à l'évidence des pièces fournies par Vulcatius Gallicanus, dont l'authenticité n'a jamais été contestée (6). Lucius Vérus, longtemps avant la révolte, signalait à son collègue le danger qui résultait pour l'empire de l'ambition et de la popularité de cet homme énergique, ambition qui s'était manifestée dès le temps d'Antonin le Pieux, « Il se rit de nos lettres, dit Vérus; il t'appelle une bonne femme (philosopham aniculam), et moi, il m'appelle un farceur (luxuriosum morionem). » Marc-Aurèle lui répondit en lui citant le mot de son bisaïeul: Jamais on ne tue son successeur. >> - « Périssent les enfants de Marc-Aurèle, ajoutait-il, si Cassius mérite

(4) Voir, par exemple, livre XI, § 47.

(2) LXXI, 33, 34.

(3) Cf. Capitolin, Ant. Phil., 28.

(4) Dion Cassius, LXXVI, 14.

(5) Dion Cassius, LXXI, 27; Capitolin, Ant., Phil., 26; Vulcatius, Avidius, 9, 10, 13. 14.

(6) Vie d'Avidius, 1, 2.

plus qu'eux d'être aimé, si plus qu'eux il doit servir la république ! » Avidius lui-même, dans une lettre qui nous a été conservée, tout en témoignant de son estime pour Marc-Aurèle, manifeste l'intention évidente de le rendre à une condition où il puisse s'occuper tout entier de philosophie (1). «Certainement, dit-il, Marc est un excellent homme; mais, pour le plaisir de s'entendre appeler clément, il souffre des gens dont il n'approuve nullement la conduite. Il passe son temps à philosopher, à disserter sur les éléments, sur l'âme, sur l'honnête et le juste, et il est indifférent aux choses de l'Etat..... » Un homme de ce caractère n'avait pas besoin de l'instigation de Faustine pour devenir un prétendant. Avidius était comme entraîné à la funeste entreprise qui le perdit par son tour d'esprit, par les murmures qu'excitait le gouvernement de Marc-Aurèle chez plusieurs classes de personnes, par l'esprit de la ville d'Antioche et de la Syrie, voulant avoir un empereur, par une sorte de besoin qui poussait déjà l'Orient à disposer de l'Empire.

Aux lettres précitées, Vulcatius en ajoute quatre autres, deux de MarcAurèle, deux de Faustine, qui, si elles sont authentiques, lavent l'impératrice de tout soupçon de complicité (2). Tillemont le premier éleva des soupçons contre l'authenticité de ces lettres; il trouva que les circonstances de lieu y sont inexplicables, et qu'elles s'accordent mal avec ce que les historiens nous disent des conjonctures où Marc-Aurèle apprit la révolte d'Avidius (3). Ces lettres, en effet, supposent Marc-Aurèle près de Rome. Or, selon les historiens, Marc-Aurèle apprend la révolte en Illyrie et ne revient à Rome qu'après son voyage d'Orient, par conséquent bien après la mort d'Avidius. L'illustre BORGHESI parut porter le dernier coup à l'authenticité de ces quatre lettres, en montrant par les inscriptions que les circonstances de temps y sont aussi défectueuses que les circonstances de lieu (4). L'opinion universelle plaçait la révolte d'Avidius en l'an 175. Fadilla est appelée dans une des lettres en question puella virgo; or, selon BORGHESI, Fadilla était mariée avant 173. Et nierait-on cela, dit BORGHESI,il reste toujours que, dans les lettres dont il s'agit, Marc-Aurèle et Faustine n'ont qu'un gendre, Pompéien. Or l'épigraphie établit avec certitude qu'en l'an 173 Marc-Aurèle avait au moins deux gendres, Pompéien et Claudius Sévérus. Autre raisonnement: Marc-Aurèle, dans une des lettres suspectes, annonce qu'il fera Pompéien consul de l'année suivante. L'année de la révolte étant 175, Pompéien aurait donc été consul l'an 176. Or il n'en est rien. Pompéien fut consul l'an 173. En d'autres termes, pour satisfaire aux exigences des textes épigraphiques, il faudrait que la révolte eût eu lieu au plus tard en 172. Voilà qui paraissait décisif. Eh bien ! il résulte de découvertes postérieures que ces deux raisonnements reposent sur une base erronée. Tous deux supposent que la révolte d'Avidius eut lieu en l'an 175; or notre savant confrère, M. W. H. WADDINGTON, a découvert dans le Hauran cinq inscriptions monumentales gravées sous l'administration d'Avidius Cassius et datées des années 168, 169, 470, 171 (5). La durée des fonctions de légat dans les provinces consulaires était de cinq ans. Avidius, en 172, était donc à la fin de son gouvernement

(1) Vulc. Gall., Vie d'Avid., 14.

(2) Ibid., 9, 10, 11.

(3) Hist. des Emp., t. II, note 19 sur le règne de Marc-Aurèle.

(4) OEuvres complètes, publiées par ordre de S. M. l'Empereur, t. V, p. 434 et suiv. (sous presse).

(5) Dans les OEuvres de BORGHESI, endroit cité, p. 437-438, note.

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