Monumens de la vie privée des XII. Césars,: d'après une suite de pierres et médailles, gravées sous leur règne..Chèz Sabellius., 1780 |
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affez ainfi amans amor amours Antoine Apollon Arnobe atque auffi Augufte avoit baife beauté befoin belle Bithynie bonne Déeffe c'eft c'étoit Cæfar Camée d'Apollonius Camée d'Arellius careffes Catulle caufe Céfar charmes chofe Ciceron Cléopatre Clodius complaifante Corinthe Cytheris d'Augufte débauche deftins délicateffe dépravation Dieux difoit diftinguer donet effe enfans épigrammes étoient étoit facrifices faifoit fans fatyre femme fentiment fervit feul fexe foibleffe foit fon amant fon efprit font fous fouvent fuit fuivi fujet Fulvie fur-tout furpris goût grace gufte Horat infâme jeune fille Juven l'hiftoire là-deffus laiffa Livie Lycoris Lyfias maiſon maitreffe malè Marc-Antoine Mécène Médaille mihi n'avoit n'eft n'étoient Nicomede Omphale Ovide paffer paffion Pétrone plaifir plaifirs plufieurs Plutarque poëte pouvoit préfent premiere Prince princeffe proftitué quæ quam quid quod reine Romains Rome Sicyone ſon Suéton talens tems Térence théatre Tibère tibi TRADUCTION DU LATIN tranfports tunc volupté
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Seite 136 - Je sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps, sitôt que je te vois ; Et dans les doux transports où s'égare mon âme, Je ne saurais trouver de langue ni de voix. Un nuage confus se répand sur ma vue, Je n'entends plus; je tombe en de douces langueurs; Et pâle, sans haleine, interdite, éperdue, Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs.
Seite 77 - Enfin on sert dans des vases d'or tout ce que l'air, la terre , le Nil et la mer ont produit de plus exquis , tout ce que l'ambition d'un luxe effréné a pu rechercher de plus rare. Ce n'est pas aux besoins de la nature, mais aux délices de la table, qu'on immole, dans ce festin, une foule d'animaux qui sont des dieux sur le Nil ; rien ne peut égaler la délicatesse, le nombre et la somptuosité des mets.
Seite 72 - Au milieu de fa rage 6c de fes fureurs 3 dans un palais habité par les mânes de Pompée, tout fumant encore lui-même du...
Seite 5 - Grec, l'amour pour la débauche ; on du oit de lui, qu'il étoit le mari de toutes les femmes , & la femme de tous les maris.
Seite 103 - Que plus d'une infâme posture , Plus d'un outrage à la nature Excitent d'impudiques ris , . Et que chaque digne convive Y trouve une peinture vive De Capoue et de Sybaris.
Seite 136 - Heurçux qui près de toi, pour toi feule foupire : Qui jouit du plaifir de t'entendre parler : Qui te voit quelquefois doucement lui fourire : Les Dieux, dans fon bonheur...
Seite 70 - Cydnus , dans un navire dont la poupe étoit d'or, les voiles de pourpre & les rames d'argent.
Seite 103 - One t la nature fans nuages , Montre en eux tous fes avantages , Comme dans nos premiers ayeux ; Qu'ils tournent leurs mains irritées Contre des modes inventées Pour le fupplice de leurs yeux...
Seite 2 - D'ailleurs, nous nous fommes tenus quelquefois aux equivalens les plus adoucifTans, & nous avons même paffé quatre ou cinq vers dans le cours de l'ouvrage , qui nous ont paru trop fcabreux. Nous y avons feme...
Seite 72 - Pompée, tout fumant encore lui-même du fang qu'il a verfé dans la Theflalie , cet amant adultère a pu mêler aux foins dont il...