Je n'irais pas me bâtir une ville en campagne, et mettre au fond d'une province les Tuileries devant mon appartement. Sur le penchant de quelque agréable colline bien... Oeuvres complètes - Seite 55von Jean-Jacques Rousseau - 1831Vollansicht - Über dieses Buch
| Jean-Jacques Rousseau - 1764 - 488 Seiten
...d'agriculture , le payfan ne fe moquerait pas de moi. Je n'irais pas me bâtir une ville en campagne , & mettre au fond d'une Province les Tuileries devant...agréable colline bien ombragée , j'aurois une petite fnaifon ruftique , tmemaifon blanche avec des contrevents verds ; pour .cour une baiTe-cour ; un potager... | |
| Jean-Jacques Rousseau, Joseph de Laporte - 1764 - 484 Seiten
...moi. Je n'ircis pas me bâtir une ville en campagne , & mettre au fond d'une Province les Tuilerie; devant mon appartement. Sur le penchant de quelque...agréable colline bien ombragée , j'aurois une petite maifon mftique ,une maifon blanche avec des contrevents verds; pour cour une bafTe-cour ; un potager... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 488 Seiten
...moi. Je n'irois pas me bâtir une ville 1 en campagne, & mettre au fond d'une Province les Tuillerîes devant mon appartement. Sur le penchant de quelque...agréable colline bien ombragée , j'aurois une petite ces deux perfonnes fi amufées laiflbient couler les hcurss, fans les compter : on les trouve exactement... | |
| Rousseau - 1782 - 462 Seiten
...moi. Je n'iroîs pas me bâtir une ville en campagne, & mettre au fond d'une Province les Tuiîleries devant mon appartement-., Sur le penchant de quelque agréable colline bien ombragée , j'a»rois «ne petite tes denx perfbnnes fi. amufées laiflbient couler les heure* fans les compter... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 456 Seiten
...moi. Je n'irois pas me bâtir une ville en campagne, & mettre au fond d'une Province les Tuilieries devant mon appartement. Sur le penchant de quelque...agréable colline bien ombragée , j'aurois une petite ces deux petTonnes fi amufées laifïbient couler les heures fans les compter : on les trouve exactement... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1802 - 266 Seiten
...une vÛle eu campagne et mettre au fond d une Province les Tailleries devant mon apparie— tement. Sur le penchant de quelque agréable colline bien ombragée , j'aurois une petite maisun rustique, une maison blanche :ivec des contrevens verts , et quoiqu'une couverture de chaume... | |
| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 Seiten
...Amis , les Plaisirs de Jean-Jacques à la campagne , s'il était riche. Je n'irais pas me bâtir une ville en campagne, et mettre au fond d'une province...penchant de quelque agréable colline bien ombragée j'aurais une petite maison rustique , une maison blanche avec des contrevents verts ; et quoiqu'une... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1817 - 440 Seiten
...moi. Je n'irois pas me bâtir une ville en cam^pagne et mettre au fond d'une province lesiTuiléries devant mon appartement. Sur le penchant de quelque...petite maison rustique, une maison blanche avec des co ntre- vents ver ds ; et, quoiqu'une couverture de chaume soit en toute saison la meilleure, je préfèrerois... | |
| George-Marie Raymond - 1817 - 78 Seiten
...Noël et De la Place dans leurs Leçons de Littérature et de Morale : « Je n'irois pas me bâtir une ville en campagne et » mettre au fond d'une province...devant « mon appartement. Sur le penchant de quelque agréa» blé colline bien ombragée , j'aurois une petite maison * rustique, une maisou blanche ,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1820 - 632 Seiten
...quand je parlerais d'agriculture , le paysan ne se moqueroit pas de moi. Je n'irois pas me bâtir une ville en campagne , et mettre au fond d'une province...penchant de quelque agréable colline bien ombragée j'aurais une petite maison rustique , une maison blanche avec des contre-vents verts ; et , quoique... | |
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