| Voltaire - 1771 - 398 Seiten
...pour des redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un feigneur ou un prélat avait allîgné pardevant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1784 - 582 Seiten
...pour des redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un feigneur ou un prélat avait affigné pardevant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1785 - 586 Seiten
...pour des redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un feigneur ou un prélat avait affigné pardevant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1785 - 544 Seiten
...pour des redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un feigneur ou un prélat avait aflîgné par- devant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1792 - 350 Seiten
...pour dt.s redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de dro/e qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loî publique. Si un feigneur ou un prélat avait affigné par-devant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1792 - 484 Seiten
...pour des redevance^ en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un feigneur ou un prélat avait affigné pardevant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1827 - 728 Seiten
...pour des redevances en argent, auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un seigneur ou un prélat avait assigné par-devant un tribunal réglé une... | |
| Voltaire - 1838 - 580 Seiten
...pour des redevances en argent , auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un seigneur ou un prélat avait assigné par devant un tiibunal réglé une... | |
| Louis Veuillot - 1854 - 508 Seiten
...féodale ou du moins un droit coutumier d'une si révoltante pratique; « mais, ajoute-t-il « aussitôt, remarquons bien que cet excès de tyrannie « ne fut jamais approuvé par une loi publique. Si un sei« gneur ou un prélat avait assigné devant un tribunal « réglé une fille fiancée à un de... | |
| Voltaire - 1860 - 644 Seiten
...pour des redevances en argent, auxquelles ils avaient autant de droit qu'aux pucelages des filles. Mais remarquons bien que cet excès de tyrannie ne fut jamais approuvé par aucune loi publique. Si un seigneur ou un prélat avait assigné par devant un tribunal réglé une... | |
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