| Société pour l'instruction élémentaire - 1882 - 648 Seiten
...messieurs, qui doit rassurer toul le monde : le respect de toutes les opinions, la tolérance çoiir les idées, le respect de toutes les consciences,...fragile et la plus vénérable de toutes les consciences ! » — Le Ministre de l'Instruction publique a effectué le dépôt, sur le bureau de la Chambre,... | |
| 1882 - 766 Seiten
...quelque côté qu'il vienne, n'apprend pas, une grande chose, Messieurs, qui doit rassurer tout le monde: le respect de toutes les opinions, la tolérance pour...toutes les consciences, et surtout de la conscience de I enfant, la plus fragile et la plus vénérable de toutes les consciences ! (Salves d'applaudissements... | |
| Jules Ferry - 1896 - 604 Seiten
...côté qu'il vienne, n'apprend pas, une grande chose, messieurs, qui doit rassurer tout le monde : le respect de toutes les opinions, la tolérance pour...(Salves d'applaudissements et bravos prolongés.) l'ait dit cent fois, son hostilité contre les idées catholiques, qu'il respectait comme toutes les... | |
| Jules Ferry - 1896 - 636 Seiten
...n'apprend pas. une grande chose, messieurs, qui doit rassurer tout le monde : le respect de tontes les opinions, la tolérance pour les idées, le respect...conscience de l'enfant, la plus fragile et la plus Ténérable de toutes les consciences '.(Saloet cTapplauduiemfnl* et bravoi prolongé.} précisément... | |
| Édouard Lecanuet - 1910 - 674 Seiten
...instituteurs : ils ont appris dans l'Université « une grande chose qui doit rassurer tout le monde : le respect de toutes les opinions, la tolérance pour...surtout de la conscience de l'enfant, la plus fragile, la plus vénérable de toutes les consciences 1. » Un peu plus tard, il déclare publiquement ce qu'il... | |
| 1883 - 1192 Seiten
...qu'ils avaient appris dans l'Université « une grande chose qui doit rassurer tout le monde : — le respect de toutes les opinions, la tolérance pour...toutes les consciences et surtout de la conscience de t enfant, la plus fragile et la plus vénérable de toutes les consciences ». Ailleurs enfin, il faisait... | |
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