 | Villemain (M.) - 1827 - 510 Seiten
...au delà ; et il n'en était » pas besoin. Aussitôt en effet que j'eus achevé » cette pensée, comme si une lumière de sécurité » se fût répandue sur mon cœur, les ténèbres du » doute disparurent. » Alors ayant marqué le passage du doigt, ou w par quelque autre signe , je fermai le... | |
 | Abel François Villemain - 1827 - 582 Seiten
...au delà ; et il n'en était » pas besoin. Aussitôt en effet que j'eus achevé » cette pensée, comme si une lumière de sécurité » se fût répandue sur mon cœur, les ténèbres du » doute disparurent. » Alors ayant marqué le passage du doigt, ou -» par quelque autre signe , je fermai... | |
 | Villemain (M.) - 1828 - 512 Seiten
...au delà ; et il n'en était » pas besoin. Aussitôt en effet que j'eus achevé » cette pensée, comme si une lumière de sécurité » se fût répandue sur mon cœur, les ténèbres du » doute disparurent. » Alors ayant marqué le passage du doigt, ou » par quelque autre signe , je fermai... | |
 | Villemain (M., Abel-François) - 1829 - 394 Seiten
...au delà ; et il n'en » était pas besoin. Aussitôt en effet que j'eus » achevé cette pensée , comme si une lumière de » sécurité se fût répandue sur mon cœur, les té» nèbres du doute disparurent. » Alors ayant marqué le passage du doigt, ou » par quelque autre... | |
 | Saucié - 1850 - 272 Seiten
...pas lire au-delà, et il n'en était pas besoin. Aussitôt en effet que j'eus achevé cette pensée, comme si une lumière de sécurité se fût répandue sur mon cœur, les ténèbres du doute disparurent. «Alors, ayant marqué le passage du doigt, ou par quelque autre signe, je fermai le livre,... | |
 | Frédéric Ozanam, Antoine Frederic Ozanam - 1855 - 498 Seiten
...au delà, et il n'en était pas be« soin. Aussitôt, en effet, que j'eus achevé cette pensée, « comme si une lumière de sécurité se fût répandue « sur mon cœur, les ténèbres du doute disparurent. « Alors, ayant marqué le passage du doigt ou par « quelque autre signe, je fermai le... | |
 | Frédéric Ozanam - 1855 - 454 Seiten
...au delà, et il n'en était pas be« soin. Aussitôt, en effet, que j'eus achevé cette pensée, « comme si une lumière de sécurité se fût répandue « sur mon cœur, les ténèbres du doute disparurent. « Alors, ayant marqué le passage du doigt ou par « quelque autre signe, je fermai le... | |
 | Villemain (M., Abel-François) - 1857 - 604 Seiten
...au delà ; et il n'en était pas « besoin. Aussitôt en effet que j'eus achevé cette pensée, « comme si une lumière de sécurité se fût répandue sur « mon cœur, les ténèbres du doute disparurent. « Alors, ayant marqué le passage du doigt, ou par « quelque autre signe, je fermai... | |
 | Charles Forbes comte de Montalembert - 1860 - 600 Seiten
...revêtez-vous de Jésus-Christ, et ne « faites pas de votre sensualité une providence charc( nelle. » Je ne voulus pas, je n'eus pas besoin d'en lire davantage....ce qu'on ne sait pas assez, c'est qu'à partir vie monastique de son retour en Afrique, s'il ne fut pas, à propre- saint Augustin. ment dire, moine 2,... | |
 | Charles Forbes comte de Montalembert - 1860 - 594 Seiten
...revêtez-vous de Jésus-Christ, et ne « faites pas de votre sensualité une providence char« nelle. » Je ne voulus pas, je n'eus pas besoin d'en lire davantage....répandue sur mon cœur , les ténèbres du doute disparurent 1. » On sait le reste, et comment l'immortel fils de Monique devint chrétien, puis prêtre,... | |
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Aussitôt en effet que j'eus achevé » cette pensée, comme si une lumière de sécurité » se fût répandue sur mon cœur, les ténèbres du » doute disparurent. » Alors ayant marqué le passage du doigt, ou -» par quelque autre signe , je fermai... 
