Bulletin de la Société Académique de Laon, Band 17

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Éd. Fleury et Ad. Chevergny, 1868
 

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Beliebte Passagen

Seite xiii - Recherches bibliographiques sur le département de l'Aisne. Catalogue et table des livres, chartes, lettres patentes, édits, arrêts, lois, biographies, notices et documents imprimés, concernant le département de l'Aisne ; par C.
Seite vi - M. le président donne lecture d'une lettre par laquelle M. le ministre de l'Instruction publique annonce, pour le 12 avril, l'ouverture du Congrès des Sociétés savantes à la Sorbonne.
Seite ii - Miroir des notabilités nobiliaires de la Belgique, des PaysBas et du Nord de la France, 2 tomes et 10 livraisons.
Seite xi - COMPTE RENDU des travaux de la Commission des monuments et documents historiques et des bâtiments civils du département de la Gironde, pendant les exercices 1802 à 1864.
Seite ix - L'art chrétien; janvier 1866. — Revue des Sociétés savantes des départements, Tome II; novembre et décembre 1865. ;* M. le Président dépose sur le bureau un volume des mémoires lus à la Sorbonne, dans les séances extraordinaires du Comité impérial des travaux historiques et des Sociétés savantes, tenues les 19, 20 et 21 avril 1865 (Histoire, philologie et sciences morales.) M. Taiée soumet à la Société, de la part de M. Marville, membre correspondant, la copie de Vidimus, de chartes...
Seite xiii - Mémoires de la Société académique d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres du département de l'Aube; tome XVI, 1879. 4° Mémoires de l'Académie de Nîmes; tome 1, 1878, 7e série. 5° Mémoires de la Société de Gratz en Styrie; 2 fascicules, 1880. 6° Revue historique et archéologique du Maine; tome VII, 1™, 2e et 8e livraisons, 1880.
Seite iii - M. l'abbé Cochet, inspecteur des monuments historiques du département de la Seine-Inférieure, auteur de divers ouvrages renommés sur l'archéologie franque, et M.
Seite vii - M. le Président communique à la Société une lettre de M. le Ministre de l'Instruction publique et une autre de M.
Seite 90 - ... rétablir la tranquillité intérieure, n'empêcha pas longtemps la discorde d'agiter la France, et cette paix ne dura pas plus que les autres. Cette fois, le complot avait pour but la perte de Concini, insolent favori, amené en France par Marie de Médicis et devenu l'objet de la haine universelle (1). Mais les conjurés allaient avoir affaire à ce terrible Richelieu, qui devait disperser dans le sang, les dernières pierres de l'édifice féodal. La Reine-mère, autant par peur que pour soutenir...

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