Génie du Christianisme: ou Beautés de la religion chrétienneLe Normant, 1816 - 400 Seiten |
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... arbres et les eaux ; il faut qu'il ait entendu le bruit du vent dans les cloîtres , et ces murmures qui règnent dans les temples gothiques , dans l'herbe des cimetières , et dans les souterrains des morts . Le chrisfianisme a inventé l ...
... arbres et les eaux ; il faut qu'il ait entendu le bruit du vent dans les cloîtres , et ces murmures qui règnent dans les temples gothiques , dans l'herbe des cimetières , et dans les souterrains des morts . Le chrisfianisme a inventé l ...
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... arbres gigantesques de l'Afrique et de l'Asie . Les forêts des Gaules ont passé à leur tour dans les temples de nos pères , et nos bois de chêne ont ainsi maintenu leur ori- gine sacrée . Ces voûtes ciselées en feuil- lages , ces ...
... arbres gigantesques de l'Afrique et de l'Asie . Les forêts des Gaules ont passé à leur tour dans les temples de nos pères , et nos bois de chêne ont ainsi maintenu leur ori- gine sacrée . Ces voûtes ciselées en feuil- lages , ces ...
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... arbres de leurs forêts : des corneilles vol- tigent autour de leurs faîtes , et se perchent sur leurs galeries . Mais tout à coup des ru- meurs confuses s'échappent de la cime de ces tours , et en chassent les oiseaux effrayés . L ...
... arbres de leurs forêts : des corneilles vol- tigent autour de leurs faîtes , et se perchent sur leurs galeries . Mais tout à coup des ru- meurs confuses s'échappent de la cime de ces tours , et en chassent les oiseaux effrayés . L ...
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... arbres qui lui donnoient du couvert , faisoient toutes ses délices . Il jeûnoit , il prioit avec abondance de larmes .... Ces saintes poésies furent les occupations de saint Grégoire dans sa dernière retraite . y fait l'histoire de sa ...
... arbres qui lui donnoient du couvert , faisoient toutes ses délices . Il jeûnoit , il prioit avec abondance de larmes .... Ces saintes poésies furent les occupations de saint Grégoire dans sa dernière retraite . y fait l'histoire de sa ...
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... arbres se montre de toutes parts sans ombre ; ce n'est que dans les bâ- timens du monastère qu'on retrouve quel- ques voiles de la nuit . Sur l'isthme de Panama en Amérique , le cénobite peut contempler du faîte de son couvent , les ...
... arbres se montre de toutes parts sans ombre ; ce n'est que dans les bâ- timens du monastère qu'on retrouve quel- ques voiles de la nuit . Sur l'isthme de Panama en Amérique , le cénobite peut contempler du faîte de son couvent , les ...
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âme amour Apollodore d'Athènes arbres Atala Athénion avoient avoit beau bois Bossuet C'étoit cabane cendres Chactas chant chênes cher chose chrétien christianisme Cicéron ciel Claude Lorrain cœur couche d'Atala débris désert Dieu disoit divine douleur eaux enfans enfant esprit étoient étoit Eutrope faisoit femme fille fils fleurs fleuve Florides foible foiblesse forêts génie grotte guerrier hommes Indiens j'ai j'avois j'étois jeune jours l'hermite l'homme larmes long-temps Lopez Louis XIV main malheurs Massillon maux mère Meschacebé milieu Miscou missionnaire monde montagne monumens mort mousse Natchez nature nuit oiseaux moqueurs ombres parler paroles Pascal passé passions patrie paysage père Aubry peuple philosophie pieds pleurs poëte premier raison religieux religion reste Romains Rome ruines Sachems saint Chrysostome sais sauvage savane scène sent seroit seul siècle de Louis Simaghan soleil Solitaire solitude songe sort tantôt temple terre Tertullien Tibre Tite-Live Tivoli tombe tombeau vertu Vésuve vieillard vierge Villa Adriana voix Voltaire yeux
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Seite 138 - Notre chair change bientôt de nature : notre corps prend un autre nom ; même celui de cadavre, dit Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue...
Seite 154 - Gustave parut à la Pologne surprise et trahie, comme un lion qui tient sa proie dans ses ongles, tout prêt à la mettre en pièces. Qu'est devenue cette redoutable cavalerie qu'on voit fondre sur l'ennemi avec la vitesse d'un aigle? Où sont ces âmes guerrières, ces marteaux d'armes tant vantés, et ces arcs qu'on...
Seite 209 - Suspendus sur le cours des eaux , groupés sur les rochers et sur les montagnes, dispersés dans les vallées, des arbres de toutes les formes , de toutes les couleurs , de tous les parfums , se mêlent , croissent ensemble , montent dans les airs à des hauteurs qui fatiguent les regards.
Seite 82 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants ; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Seite 31 - Les forêts des Gaules ont passé à leur tour dans les temples de nos pères, et nos bois de chênes ont ainsi maintenu leur origine sacrée. Ces voûtes ciselées en feuillages, ces jambages, qui appuient les murs et finissent brusquement comme des troncs brisés, la...
Seite 209 - A son front orné de deux croissants, à sa barbe antique et limoneuse, vous le prendriez pour le dieu du fleuve, qui jette un œil satisfait sur la grandeur de ses ondes et la sauvage abondance de ses rives.
Seite 146 - ... des peuples a élevés; la justice une usurpation sur la liberté des hommes; la loi des mariages un vain scrupule; la pudeur un préjugé; l'honneur et la probité, des chimères; les incestes, les parricides, les perfidies noires, des jeux de la nature, et des noms que la politique des législateurs a inventés. « Voilà où se réduit la philosophie sublime des impies: voilà cette force, cette raison , cette sagesse qu'ils nous vantent éternellement.
Seite 145 - ... vos premières années, et tel que vous le voyez aujourd'hui; une nouvelle cour a succédé à celle que vos premiers ans ont vue; de nouveaux personnages sont montés sur la scène, les grands rôles sont remplis par de nouveaux acteurs : ce sont de nouveaux événements, de nouvelles intrigues, de nouvelles...
Seite 87 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent, la première est la pure ignorance naturelle où se trouvent tous les hommes en naissant, l'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis, mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Seite 86 - Que l'on a bien fait de distinguer les hommes par l'extérieur, plutôt que par les qualités intérieures ! Qui passera de nous deux? qui cédera la place à l'autre? Le moins habile? mais je suis aussi habile que lui; il faudra se battre sur cela. Il a quatre laquais, et je n'en ai qu'un : cela est visible; il n'ya qu'à compter; c'est à moi à céder, et je suis un sot si je conteste. Nous voilà en paix par ce moyen-, ce qui est le plus grand des biens.