1345 naissance vous conduisit au pied des autels, pour y remercier Dieu de ce double bienfait. Mais ne vous y trompez pas, ma chère sœur, ce n'est pas le seul devoir qu'elle vous impose. Elle vous oblige surtout à faire un saint usage de la prolongation des jours qu'il a plu au Seigneur de vous accorder (et à élever votre enfant en mère tendre et chrétienne. Il appartient à Dieu encore plus qu'à vous; offrez-le lui donc, nonseulement parce qu'il vous l'a donné, mais spécialement parce qu'il a daigné en faire un cohéritier de Jésus-Christ, et un membre vivant de son Eglise. Regardez-vous comme principale dépositaire de l'innocence qu'il vient de recouvrer; et lorsqu'il pourra comprendre l'étendue des engagements pris dans sa consécration, faites-lui connaître, par vos exemples et par vos leçons, l'excellence du don qu'il a reçu, et la fidélité qu'il doit à ses promesses.) Si l'enfant était mort après le baptême, au lieu de ce qui est renfermé entre les parenthèses, le prêtre dira ce qui suit: (Et à le bénir d'avoir fait éclater sur cet enfant privilégié ses plus grandes miséricordes. Hélas! ma chère sœur, vous n'aviez pu lui communiquer qu'une vie passagère, misérable, et où tant d'autres se perdent pour l'éternité; mais, par une bonté toute gratuite, Jésus-Christ s'est hâté de l'enlever aux périls de cette mer orageuse, pour le faire passer dans le séjour de la paix et de l'immortalité. Soupirez sans cesse après le même bonheur, et estimez-vous heureuse d'avoir acquis auprès de Dieu un protecteur assez puissant pour vous en obtenir la grâce.) Ensuite le cure bénira le pain de la manière sui vante, si la femme en présente. Bénédiction du pain. y. Adjutorium nostrum † in nomine Domini. R. Qui fecit cœlum et terrain. Benedic, Domine, † hunc panem creaturam tuam, qui benedixisti quinque panes in deserto, ut famula tua sumens ex eo, salutem mentis et corporis consequi mereatur; Qui vivis et regnas in sæcula sæculorum. R. Amen. Il jettera de l'eau béníte sur le pain, qui sera ensuite rendu à la femme. Puis mettant les deux extrémités de son étole sur la tête de la femme, il dira l'Evangile suivant: . Dominus vobiscum, . Et cum spiritu tuo. Sequentia sancti Evangelii secundum Lucam. C. 11. 22 ad 32. R. Gloria tibi, Domine. Postquam impleti sunt dies purgationis Mariæ secundum legem Moysi, tulerunt Jesum in Jerusalem, ut sisterent eum Domino, sicut scriptum est in lege Domini: Quia omne masculinum adaperiens vulvam, sanetum Domino vocabitur. Et ut darent hostiam secundum quod dictum est in lege Domini, par turturum, aut duos pullos co RITUEL. 1. 13:6 lumbarum. Et ecce homo erat in Jerusalem, cui nomen Simeon, et homo iste justus et timoratus, exspectans consolationem Israel; et Spiritus sanctus erat in eo. Et responsum acceperat a Spiritu sancto, non visurum se mortem, nisi prius videret Christum Domini. Et venit spiritu in templum. Et cum inducerent puerum Jesum parentes ejus, ut facerent secundum consuetudinem legis pro eo, et ipse accepit eum in ulnas suas, et benedixit Deum, et dixit: Nunc dimittis servum tuum, Domine, secundum verbum tuum in pace; quia viderunt oculi mei, salutare tuum, quod parasti ante faciem omnium populorum, lumen ad revelationem gentium, et gloriam plebis tuæ Israel. . Deo gratias. Après cet Evangile il donnera l'étolé à baiser å la femme, et il la bénirá en disant : Benedictio Dei omnipotentis, Patris, et Filii, et Spiritus sancti, descendat super te (et super prolem tuam), et maneat semper. A. Amen. Ensuite il jettera sur elle de l'eau bénite. VI. METZ.-(Rituale Métense, 1713, in-4°.) De benedictione mulierum post partum. Nulla lege tenetur mulier abstinere ullo die ab ingressu ecclesiæ, post partum, et cum nulla sit in partu culpa, aut immunditia, nulla indiget purificatione. Nulla quoque lege Ecclesiæ tenetur se sacerdoti sistere ejus benedictionem receptura. Ex laudabili tamen consuetudine puerpera Deo pro suscepta prole, et incolumitate sua gratias acturæ ad Ecclesiam accedunt, et sacerdotis postulant benedictionem. Hæc benedictio a pastore, aut alio sacerdote ex ejus licentia fieri debet, et in parochiali tantum Ecclesia, nullatenus domi, aut in capellis, nec in ecclesiis regularium a regularibus. Non debet concedi iis quarum infantes in earum lecto sunt suffocati, multo minus iis quæ notorie ex fornicatione, aut adulterio pepererunt, quibus potius publica imponenda esset pœnitentia. Convenientius videtur ante Missam hanc fieri benedictionem. Poterit autem sacerdos sequentibus aut sumilibus verbis puerperam exhortari. Vous ne vous présentez point à l'Eglise, ma sœur, pour être purifiée, comme si vous aviez été souillée d'avoir mis un enfant au monde. Saint Paul nous enseigne que le mariage est honorable, et le lit nuptial sans tache et la loi de Moïse, qui défendait aux femmes d'entrer au tempie plusieurs jours après leurs couches, et qui leur ordonnait de se purifier par des sacrifices, n'est plus présentement en usage. Vous venez donc à l'Eglise pour remercier Dieu de vous avoir conservée dans les douleurs de l'enfantement, et d'avoir donné la bénédiction à votre mariage, en vous donnant un enfant. (Si l'enfant est vivant, il ajoutera : Et pour ini demander la grâce de pouvoir élever l'enfant qu'il vous a donné, dans la crainte de Dieu. C'est là votre obligation; et ainsi, pour éviter tout danger, vous ne le devez 43 point donner à nourrir à une nourrice juive, infidèle, ou hérétique. Le parrain et la marraine de l'enfant ont dû vous en avertir, et je vous le répète encore; vous êtes obligée d'en avoir tout le soin possible, et de veiller tellement à sa conservation, qu'il ne lui arrive aucun accident, surtout du feu et de l'eau. Il ne vous est pas permis de le mettre coucher dans votre lit pendant les deux premières années, à cause du danger qu'il y a qu'il ne soit étouffé. La négligence dans cette occasion est un très-grand péché, et lorsque le malheur arrive, c'est un cas réservé, dans ce diocèse, auquel l'évêque est en droit d'imposer une pénitence publique, selon qu'on le pratique dans d'autres diocè ses; et le droit canon remarque, qu'on a quelquefois ordonné pour ce crime trois années de pénitence et de jeûne, desquelles on en devait jeûner une au pain et à l'eau.) (Si l'enfant est mort après le baptême, il dira, au lieu des paroles précédentes : Quoique Dieu l'ait retiré du monde, vous ne devez pas moins l'en remercier; et ne lui devezvous pas dire avec sainte Clotilde, première reine de France, chrétienne : Je vous rends grâces, o mon Dieu, d'avoir bien voulu recevoir un de mes enfants dans votre royaume?)-(Si l'enfant était mort sans baptême, il dira: Si votre enfant était mort sans baptême par votre faute, vous devriez en faire une pénitence proportionnée; et je vous dirais, avec Tertullien, que vous êtes cause de la perte d'une âme. Mais s'il n'y a pas eu de votre faute, vous devez, en adorant les secrets de la prédestination de Dieu, lui demander qu'il vous préserve dans la suite d'un si fâcheux accident.) Mais vous devez, sur toutes choses, demander à Dieu sa bénédiction, afin qu'il vous fasse la grâce de vivre saintement dans le mariage, comme une fidèle servante de Jésus-Christ. Exhortation pour la bénédiction d'une femme après ses couches. Puisque Dieu vous a délivrée des douleurs juste que vous veniez en ce lieu saint pour et des dangers de l'enfantement, il est bien lui en rendre grâces, et pour lui offrir en lui demandant pour vous et pour lui ses même temps l'enfant qu'il vous a donné, en plus saintes bénédictions. Mais prenez garde l'ordre de la nature et de la grâce, ne tombe que cet enfant qui appartient à Dieu, selon par votre faute dans quelque défaut, en ne tholique, ou en ne l'élevant pas dans la l'instruisant pas suffisamment de la foi cacrainte de Dieu; prenez garde qu'il ne lui arrive quelque accident en ne prenant pas assez soin de lui dans la faiblesse de son âge. Ayez soin de le coucher à part, et de ne le pas mettre avec vous au lit, de peur de quelque accident funeste qui vous causerait un déplaisir mortel, et qui vous rendrait coupable devant Dieu et devant les hommes. Que la grâce et la paix du Seigneur soient avec vous et avec votre enfant! Si l'enfant est mort après avoir été baptisé, le curé fait l'exhortation suivante: Vous venez dans ce lien saint, ma chère sœur, pour remercier Dieu de la grâce qu'il vous a faite en vous délivrant des douleurs de l'enfantement. C'est un devoir dont je suis persuadé que vous vous acquittez dans les sentiments d'une parfaite reconnaissance. Mais vous n'êtes pas moins obligée de le remercier de la miséricorde avec laquelle il a bien voulu appeler à lui l'enfant qu'il vous avait donné: ne regardez pas la mort de cet enfant comme une perte que vous ayez faite. Le voilà heureusement, préservé des dangers dont le monde est si rempli. Il est assuré de la gloire et de la vie éternelle. C'est un ami et un intercesseur que vous avez auprès de Dieu. Ainsi vous devez nonseulement vous consoler de sa mort, mais vous réjouir de son bonheur. Ce qu'il possède maintenant, c'est, ma chère sœur, ce que nous devons demander avec ferveur, ce que nous devons mériter par nos bonnes œuvres. Dieu vous en fasse la grâce, et vous comble de ses plus abondantes bénédictions! de grâces. Vous n'avez pas seulement à le remercier de ce bienfait, mais encore de la faveur qu'il a faite à l'enfant qui vous est né, en le purifiant et le sanctifiant par le saint baptême; faveur qui est au-dessus de toute expression, de toute pensée. Louezle donc, ce souverain Seigneur, et bénissezle, de tout votre cœur pour ce double trait de miséricorde, et attachez-vous de plus en plus à son saint service. (A l'imitation de la Mère du Sauveur, offrez-lui votre enfant, le suppliant de le regarder comme une chose qui lui appartient, et de vous en priver plutôt que de jamais souffrir qu'il offense sa divine Majesté; de votre côté, donnez tous vos soins, lorsqu'il sera en âge d'en profiter, pour qu'il vive en véritable Chrétien et conformément à ce que l'on a promis pour lui; atin qu'après avoir fait votre consolation sur la terre, il soit votre couronne dans le ciel. Si vous ne pouvez le nourrir vous-même, ne le donnez qu'à des femmes de bonnes mœurs et d'une foi pure et en vue de prévenir un triste accident, qui n'est arrivé que trop de fois, recommandez qu'on ne le couche avec personne, qu'il n'ait au moins dix mois accomp'is. Je prie le Seigneur, avec tout le zèle et la ferveur que je puis, de verser sur lui et sur Vous ses plus abondantes bénédictions.) Si l'enfant était mort après le baptême, au lieu de ce qui est renfermé entre les parenthèses, le prêtre dira ce qui suit : L'affliction qu'il vous a depuis envoyée, en retirant votre enfant de ce monde, ne doit point diminuer votre zèle: au contraire, elle doit plutôt l'augmenter, puisque co n'est que par une grâce spéciale qu'il en a usé ainsi à son égard, et de peur, comme dit le Sage, que son esprit ne fût un jour corrompu par la malice des hommes. Dailleurs cet enfant est un puissant protecteur que vous avez dans le ciel; et l'ardeur, pour Vous y attirer, ne peut lui manquer. Consolez-vous donc dans cette pensée; et soupirant sans cesse après le bonheur dont il jouit, et que rien ne lui pourra jamais ravir, vivez de manière à mériter que vous le partagiez un jour avec lui. Ainsi soit-il. IX. SAINT-DIE. (Rituel de 1855, grand in-8°.) un Bénédiction d'une femme après ses couches. Vous accomplissez, ma chère sœur, devoir bien important, sans doute, en venant aujourd'hui au pied des autels remercier Dieu et lui demander son secours. Assurément, vous devez lui témoigner bien de la reconnaissance de ce qu'il vous a conservé la vie au milieu des douleurs de l'enfantement. Mais sa bonté vous a accordé une grâce bien plus grande encore. L'enfant dont vous êtes la mère, est devenu, par le ba, tême, l'enfant bien-aimé de Dieu, le frère de notre adorable Sauveur, le temple du Saint-Esprit, et c'est à vos soins qu'est confié un si précieux dépôt. Quelle récompense vous attend si vous en rendez un compte fidèle! C'est bien à une mère chrétienne qu'il faut appliquer aussi l'expression de saint Paul. quand il appelle les pasteurs les coadjuteurs de Jésus-Christ, puisque c'est par ses soins que l'esprit, le cœur et la conduite de l'enfant sont formés, dès le plus bas âge, au service de Dieu. Tâchez donc, ma chère sœur, de ne rien perdre du mérite que vous pouvez acquérir, ni de la récompense qui vous est offerte. Pour soutenir votre courage dans l'éducation de vos enfants, tout en pensant souvent à la gloire que le Seigneur prépare à la bonne mère de famille, réfléchissez aussi aux châtiments destinés à celle qui ne mettrait pas tous ses soins à préserver ses enfants de la contagion des mauvaises compagnies et des dangers du monde. Pensez surtout aux trésors de vengeance qu'il versera sur la tête de la mère dans les discours ou dans la conduite de laquelle son enfant aura trouvé des occasions et des exemples de péché. Afin d'obtenir plus abondamment les gråces dont vous avez besoin pour vous acquitter de vos devoirs de mère, ayez vous-même et inspirez à votre enfant une grande dévotion envers la sainte Vierge. Implorez souvent son assistance, invoquez-la comine votre mère tendre et dévouée, offrez-lui votre enfant et efforcez-vous de l'imiter dans les soins qu'elle a donnés à l'enfan: Jésus. Les précautions que vous prendrez pour lui conserver la vie et la santé, la ferveur avec laque le vous garderez son innocence, en attirant sur vous la protection de Marie et la bénédiction de Dieu, deviendront une source de consolations et de jouissances dès cette vie, et assureront, à votre enfant et à vous, une éternité de bonheur que je supplie le Seigneur de vous accorder. Si l'enfant était mort après son baptême, on pourrait adresser à la mère les réflexions suivantes, après la bénédiction. Vous venez, ma chère sœur, remercier Dieu dans son saint temple de vous avoir délivrée des douleurs de l'enfantement. Mais je dois vous rappeler que le Seigneur vous a accordé un honneur et une grâce qui doivent provoquer une reconnaissance bien plus grande encore. En appelant à lui votre enfant purifié par le baptême, il l'a placé. environné de gloire, au milieu des saints Innocents et des saints Anges qui, pendant toute l'éternité, chantent ses louanges, plongés dans un océan de délices. Si votrecœur de mère souffre de cette séparation momentanée, combien de consolations ne doit pas vous donner la certitude que l'enfant que vous avez porté dans votre sein est, non-seulement à l'abri de tous les dangers, mais qu'un bonheur ineffable lui est assuré pour toujours. Quel boubeur, pour vous-même, d'avoir été choisie pour être la mière d'un habitant du ciel.! Ah! ma chère sœur, vous devez maintenant travailler à servir Dieu avec courage et fidélité; non-seulement de peur de vous rendre indigne de la haute qualité de mère d'un bienheureux, mais encore parce que X. TROYES. (Rituel de 1847, grand Exhortation pour la bénédiction d'une femme Dieu vous a fait une grande grâce, ma N'oubliez pas que cet enfant appartient à entre vos mains et dont il vous demandera Si l'enfant était mort après le baptême, le prêtre Vous ne lui aviez donné qu'une vie pas- TABLE DES MATIÈRES CONTENUES. DANS LE PREMIER VOLUME DU RITUEL Des rituels. BORDEAUX 906 600 Le Mans 801 Agen 908 Meaux 603 Nantes 807 Angoulême 909 Orléans 605 BOURGES, 807 La Martinique, La Guade- Versailles 604 DIOCÈSES DE LA Clermont, 859 loupe, La Réunion 910 AIX, ARLES et EMBRUN BELGIQUE. Limoges 839 La Rochelle et Saintes 605 Le Puy 839 910 Saint-Flour 839 Lucon 912 Gand 678 Alger 603 Tulle 912 Liége 678 Digne 605 CAMBRAI 839 Poitiers 913 Malines 679 Fréjus et Toulon 605 Arras 859 BOURGES 915 Gap 608 CHAMBERY 839 Clermont 91 Tournay 680 Marseille 608 Nice Annecy, Saint Jean de Limoges 91. Le Puy 917 ALBY 612 839 Tulle 917 HORTATIONS POUR Cahors 612 LYON 839 CAMBRAI 917 Mende 612 917 Perpignan 612 Rodez Dijon, Grenoble, Langres, CHAMBERY 923 844 Autun 923 AUCH 622 REIMS 844 Annecy, Saint-Jean de Aire 629 Bayonne €29 Tarbes 629 AVIGNON 629 Montpellier 629 Nimes 629 Valence 629 Viviers 629 845 Maurienne, Tarentaise Beauvais et Noyon 845 923 Chalous, Soissons et Laon 923 RENNES 923 Quimper, Saint-Brieuc, Grenoble 923 Vannes 846 Langres 923 ROUEN 816 Saint-Claude 923 923 Belley 630 Auch 688 Coutances 846 Amiens 924 Metz 633 Bayeux 846 Beauvais et Noyon 929 Nancy et Toul 638 Cambrai 847 Chalons 932 Saint-Dié 641 Chartres 847 Soissons et Laon 932 Strasbourg 642 Clermont 847 RENNES 933 Verdun BORDEAUX 645 Lyon 643 Langres 847 Quimper, Saint-Brieuc, 847 Vannes 935 Agen 646 Orléans 847 BOUEN 935 Angoulême 649 La Guadeloupe 649 Montauban Toulon 723 La Martinique 649 Pamiers Carcassonne 847 Bayeux 936 936 936 La Réunion 649 847 Séez 936 La Rochelle et Saintes 649 847 SENS 936 Luçon 649 Laval 847 Moulins 937 ALLOCUTIONS ET EX- Périgueux 649 Le Mans 847 Nevers 937 BOURGES 653 847 Troyes 937 L'ADMINISTRATION ÉVÉCHÉS DE LA TOULOUSE 938 940 BELGIQUE. Bruges, Gand, Liége, Ma- Montauban 940 Pamiers 940. TOURS 940 859 Angers 940 Blois 753 Laval 941 Chartres 755 741 Annecy 741 Saint-Jean de Maurienne L'ADMINISTRATION DIOCÈSES DE LA 754 BELGIQUE. Tarentaise 665 Ajaccio, Alger, Digue 754 L'EUCHARISTIE. Bruges 950 LYON 665 Fréjus et Toulon 754 Gand 951 Autun 665 Gap 757 Liége 952 758 Blois 862 Malines 954 Grenoble 565 Nice 758 Chartres 864 Namur 953 865 Tournai 955 Saint-Claude 665 Cahors 867 759 Versailles 869 EXHORTATIONS, ALLO- 871 Beauvais et Noyon 666 Rodez 760 Ajaccio, Alger, Digne 871 Chalons Fréjus et Toulon 871 Gap, Marseille, Nice 876 RENNES 668 Bayonne 768 ALBY 876 876 CUTIONS ETIN TRUC- Saint-Brieuc 668 AVIGNON 876 Vannes 668 Montpellier, Nimes, Va- Perpignan 935 ROUEN 668 lence, Viviers 768 Rodez 975 98 Coutances 668 Belley 991 1005 Nancy et Toul 889 Versailles 1009 SENS 669 Saint-Dié 776 AVIGNON 1011 Moulins 776 Montpeller, Nimes, Va- Ajaccio, Alger, Digne 1011 792 lence, Viviers 890 Fréjus et Toulon 1011 BORDEAUX 793 BESANÇON 890 Gap 1072 TOULOUSE 671 Belley 891 Marseille 1073 Carcassonne 672 Augoulême 796 Metz 1075 796 Nancy et Toul 673 La Réunion 898 ALBY 1073 1075 1073. Angers 673 La Rochelle et Saintes 796 Verdun 902 Perpignan 1073, |