Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées; Elles tracent dans... Revue des deux mondes - Seite 7281835Vollansicht - Über dieses Buch
| Société Académique de Nantes et du Département de la Loire-Inférieure - 1895 - 1124 Seiten
...malheur. » Ce n'es; pas un concert à dilater le cœur. » Leurs déclamations sont comme des épées. » Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant » Mais il y pend toujours quelque goutte de saiifr. » Verlaine, plus qu'aucun autre peut-être, nous sert un festin humain. De tous les autres,... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 Seiten
...malheur , Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant ;...y pend toujours quelque goutte de sang. LE POÈTE. O muse , spectre insatiable , Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure... | |
| Alfred de Musset - 1849 - 428 Seiten
...de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant; Mais il y pend toujours quelque goutte de sang. LE POETE, jf O muse, spectre insaliable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 Seiten
...malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant ; -Mais il y pend toujours une goulle de sang. LE POETE. 0 muse, ô spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 Seiten
...Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant; I Mais il y pend toujours quelque goutte de sang. O muse, spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long....n'écrit rien sur le sable A l'heure où passe l'aquilon. J ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prèle à chanter comme un oiseau,... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 594 Seiten
...malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant ; Mais il y pend toujours quelque goutte de sang. XIII Et ceux-ci de la IVuit d'août. Il répond à lamuse qui lui reproche de ne plus chanter. Puisque... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 Seiten
...malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant; Mais il y pend toujours quelque goutte de sang. IE POETE. 0 Muse ! spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1857 - 624 Seiten
...malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant , Mais il y pend toujours une goutte de sang. LE POÈTE. , 0 muse ! ô spectre insatiable ! Ne m'en demande pas si long. L'homme... | |
| Charles Dollfus - 1858 - 262 Seiten
...malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant; Mais il y pend toujours quelque goutte de sang '. » La douleur s'entend mieux que la joie à creuser l'âme et à la disposer pour accueillir la... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 Seiten
...malheur, < Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées : Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant, Mais...y pend toujours quelque goutte de sang. LE POÈTE. O Muse ! spectre insatiable, Ne m'en demande pas si long. L'homme n'écrit rien sur le sable A l'heure... | |
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