| Jean-François de Saint-Lambert - 1775 - 486 Seiten
...préfente à la vue Des fables éclatants la ftérile étendue. Hélas , ce ciel d'airain , ce foleil irrité , Annonce à nos climats la même aridité. Tout languit , tout périt. Sirius en furie 310 A dévoré la sève ; il menace la vie. O que ne puis-je errer dans ces fentiers profonds , Où... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1782 - 226 Seiten
...quelques rochers noircis par la chaleur , Seule variété que présente à la vue Des sables éclatans la stérile étendue. HÉLAS ! ce ciel d'airain ,...tout périt. Sirius en furie A dévoré la sève ; il menate la vie. O que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds, Où j'ai vu des torrens rouler du... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1782 - 440 Seiten
...à U vue Des sables éclatans la stérile étendue. HÉLAS ! ce ciel d'airain , ce soleil irrité t Annonce à nos climats la même aridité. Tout languit...Sirius en furie A dévoré la sève ; il menace la vie. O que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrens rouler du haut des monts... | |
| Denis Diderot - 1798 - 518 Seiten
...détache de l'épi , la chaleur accable l'homme et les animaux, et le poète, haletant , s'écrie : Ah ! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrens tomber du haut des monts ! Certes , cet écart est .sublime ; mais le poète n'a pas senti qu'il ne... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1813 - 580 Seiten
...détache de l'épi, la chaleur accable l'homme et les animaux, et le poète haletant s'écrie : Ali ! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrens tomber du haut des monts! Certes, cet écart est sublime; mais le poète n'a pas senti qu'il ne fallait... | |
| Denis Diderot - 1821 - 520 Seiten
...détache de l'épi , la chaleur accable l'homme et les animaux; et le poète haletant s'écrie : Ah ! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrents tomber du haut des monts! Certes cet écart est sublime; mais le poète n'a i JUVENAL. Satir.... | |
| Denis Diderot - 1821 - 520 Seiten
...détache de l'épi , la chaleur accable l'homme et les animaux; et le poète haletant s'écrie : Ah ! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrents tomber du haut des monts! Certes cet écart est sublime; mais le poète n'a * .TITVKNAL. Salir.... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1823 - 486 Seiten
...même aridité. Tout languit, tout périt. Sinus en furie A dévoré la sève; il menace la vie. O que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrents rouler du haut des monts A travers les rochers et la sombre verdure ! Que ne suis-je égaré... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1829 - 530 Seiten
...détache de l'épi , la chaleur accable l'homme et les animaux , et le poète haletant s'écrie : Ah ! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrcns tomber du haut d' & monts ! sauve de l'oubli dont il est menacé; il manque de génie et de... | |
| Prosper Poitevin - 1841 - 692 Seiten
...chaleur. Seule variété que présente à la vue Des sables éclatans la stérile étendue. | Hélas I ce ciel d'airain , ce soleil irrité , Annonce à...climats la même aridité. Tout languit, tout périt. Sirins en furie A dévoré la sève; il menace la vie. Oh I que ne puis-je errer dans ces sentiers... | |
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