| Jean-François de marquis Saint-Lambert - 1769 - 320 Seiten
...ton murmure f Les vents courbent les pins , les ormes , les cypiès ;. Ils fembient dans leur courfe entraîner les forêts ; Les arbres ébranlés , de leurs cimes penchées , Font voler fur les champs le^ feuilles defléchées. Les rayons du foleil , fans force 8c fans chaleur r Ne percent... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1771 - 480 Seiten
...fifflements : Doux Zéphir, qui le foir caroifïbis la verdure, Quel fon , quel trifte bruit fuccède à ton murmure ! Les vents courbent les pins , les ormes , les cyprès ; Ils femblent dans leur courfe entraîner les forets ; Les arbres ébranlés , de leurs cimes panchées... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1775 - 486 Seiten
...fifflements : Doux Zéphir , qui le foir careffois la verdure, K Quel fon , quel trifte bruit fuccède à ton murmure ! Les vents courbent les pins , les ormes, les cyprès} 57° Ils fcmblent dans leur courfc entraîner les forêts ; Les arbres ébranlés , de leurs cimes... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1782 - 440 Seiten
...j'entends des si 31 émeus. Doux zéphyr , qui le soir caressait la verdure , Quel son , quel triste bruit succède à ton murmure. Les vents courbent les pins...forêts; Les arbres ébranlés , de leurs cimes penchées Fout voler sur les champs Us feuilles desséchées. LM rayons du soleil, sans force et lans chaleur... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1782 - 226 Seiten
...des sifïïemens. Doux Zéphir , qui le soir caressois la verdure ,. .Quel son , quel triste bruit succède à ton murmure ! Les vents courbent les pins...entraîner les forêts ; Les arbres ébranlés, de leurs cîmes penchées Font voler sur les champs les feuilles desséchées. Les rayons du soleil , sans force... | |
| Jean-François de Saint-Lambert - 1823 - 486 Seiten
...j'entends des sifflements. Doux zéphyr, qui le soir caressois la verdure , Quel son , quel triste bruit , succède à ton murmure ! Les vents courbent les pins...chaleur, Ne perçant plus des airs la sombre profondeur, Ëole étend sur nous la nuit et les nuages. L'ombre succède à l'ombre, et l'orage aux orages. L'homme... | |
| Jean-Louis Boucharlat - 1826 - 516 Seiten
...j'entends des sifflemens. Doux zéphyr, qui le soir caressais la verdure, Quel son, quel triste bruit succède à ton murmure ! Les vents courbent les pins, les ormes, les cyprès; IIs semblent dans leur course entraîner les forêts , Les arbres ébranlés, de leurs cimes penchées... | |
| Prosper Poitevin - 1841 - 692 Seiten
...silllemens. Doux zéphyr, qui le soir caressais la verdure , Quel son , quel triste bruit succède h ton murmure ! Les vents courbent les pins, les ormes,...chaleur, Ne perçant plus des airs la sombre profondeur, Soie étend sur nous la nuit et les nuages. L'ombre succède à l'ombre , et l'orage aux orages. L'homme... | |
| 1849 - 696 Seiten
...j'entends des sifflemens. Doux zéphyr, qui le soir caressais la verdure , Quel son , quel triste bruit succède à ton murmure ! Les vents courbent les pins,...cyprès, Et semblent dans leur course entraîner les forets ; Les arbres ébranlés , de leurs cîmes penchées , Font voler sur les champs les feuilles... | |
| 1856 - 726 Seiten
...léphyr, qui le soir caressais la verdure , Quel son , quel triste bruit succède h ton murmure ! Us rents courbent les pins , les ormes, les cyprès , Et semblent dans leur course entraîner les forêts; LM arbres ébranlés , de leurs cimes penchées , Font voler sur les champs les feuilles desséchées.... | |
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