Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, compte renduFelix Alcan, 1854 |
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Seite 14 - Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ; car chacun pense en être si bien pourvu , que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont.
Seite 246 - Ah ! malheur à la jeunesse que la vieillesse doit dé« truire; ah ! malheur à la santé que détruisent tant de « maladies; ah ! malheur à la vie où l'homme reste si peu « de jours! S'il n'y avait ni vieillesse, ni maladie, ni « mort! Si la vieillesse, la maladie, la mort étaient pour
Seite 244 - Un jour qu'avec une suite nombreuse il sortait par la porte orientale de la ville pour se rendre au jardin de Loumbinî , auquel s'attachaient tous les souvenirs de son enfance , il rencontra sur sa route un homme vieux, cassé, décrépit ; ses veines et ses muscles étaient saillants...
Seite 333 - Pays-Bas , il avait à préserver les possessions de la maison de Bourgogne des atteintes de la maison de France. Empereur d'Allemagne, il avait, comme chef politique, à la protéger contre les invasions des Turcs , parvenus alors au plus haut degré de leur force et de leur ambition; comme chef catholique, à y empêcher les progrès et le triomphe des doctrines protestantes. Il l'entreprit successivement. Aidé de grands capitaines et d'hommes d'Etat habiles , qu'il sut choisir avec art, employer...
Seite 332 - Quint a été le souverain le plus puissant et le plus grand du xvi" siècle. Issu des quatre maisons d'Aragon , de Castille, d'Autriche, de Bourgogne, il en a représenté les qualités variées , et , à plusieurs égards , contraires , comme il en a possédé les divers et vastes États. L'esprit toujours politique et souvent astucieux de son grand-père Ferdinand...
Seite 294 - Le confesseur approuva le dessein de l'empereur qui ordonna surle-champ de tout préparer pour ces religieuses cérémonies. La célébration en commença le lundi (29 août) en l'honneur de son père, et fut continuée les jours suivants. Chaque jour, (ajoute fray Joseph de Siguenza,) l'empereur y assistait avec son cierge allumé, qu'un page portait devant lui.
Seite 285 - Le corps du Bouddha ne fut brûlé que le huitième jour. Après des contestations qui faillirent devenir sanglantes , et qu'on ne put apaiser qu'au nom de la concorde et de la douceur...
Seite 272 - C'est à Bénarès que le Bouddha prêcha pour la première fois, ou, comme s'exprime le mysticisme bouddhique, qu'il fit tourner pour la première fois la roue de la loi, langage symbolique et sacramentel qu'ont adopté toutes les sectes du bouddhisme, au nord, au sud, à l'est, depuis le Tibet et le Népal jusqu'àCeylan et jusqu'à la Chine1.
Seite 335 - Dans deux campagnes il triompha des troupes protestantes ; mais , après avoir désarmé les bras , il ne put pas soumettre les consciences. Son triomphe religieux et militaire sur l'Allemagne protestante et libre , qui n'entendait être ni convertie ni opprimée , fut le signal d'un irrésistible soulèvement de l'Elbe au Danube, et ranima toutes les vieilles inimitiés contre Charles-Quint dans le reste de l'Europe , où tout ce qui paraissait décidé en sa faveur se trouva remis en question.
Seite 242 - La maladie ravit aux êtres leur lustre et fait décliner les sens, le corps et les forces; elle amène la fin des richesses et des biens. Elle amène le temps de la mort et de la transmigration. La créature la plus agréable et la plus aimée disparaît pour toujours ; elle ne revient plus à nos yeux , pareille à la feuille et au fruit tombés de l'arbre dans le courant du fleuve.