 Je fus m'asseoir près d'un lit, accablée, anéantie, m'assoupissant parfois, et lorsque je voulais parler, je déraisonnais. Danton vint se coucher. Il n'avait pas l'air fort empressé, il ne sortit presque point. Minuit approchait. On vint le chercher...  Histoire de la Révolution française - Seite 300von Jules Michelet - 1879Vollansicht - Über dieses Buch
 | Camille Desmoulins - 1838 - 444 Seiten
...approchoit. On vint le chercher plusieurs fois; enfin il partit pour la commune. Le tocsin des Cordcliers sonna : il sonna long-temps. Seule, baignée de larmes,...genoux sur la fenêtre , cachée dans mon mouchoir , j'écoutois le son de cette fatale cloche. En vain venait-on me consoler. Le jour qui avoit précédé... | |
 | E. Lairtullier - 1840 - 432 Seiten
...fort empressé , il ne sortit presque point. Minuit approchait; on vint le chercher plusieurs fois ; enfin il partit pour la commune ; le tocsin des Cordeliers...mauvaises nouvelles ; je crus m'apercevoir que leur proj et était d'aller aux Tuileries ; je le leur dis en sanglotant. Je crus quei j'allais m'évanouir.... | |
 | E. Lairtullier - 1840 - 434 Seiten
...fort empressé, il ne sortit presque point. Minuit approchait; on vioit le chercher plusieurs fois ; enfin il partit pour la commune ; le tocsin des Cordeliers sonna, il sonna long- temps. Seule, baignée de larmes, à genoux sur la fenêtre, cachée dans mon mouchoir, j'écoutais... | |
 | Édouard Fleury - 1851 - 356 Seiten
...Minuit ap» prochait. On vint le chercher plusieurs fois; enfm il » partit pour la Commune. Le toesin des Cordeliers • sonna : il sonna longtemps. Seule,...mouchoir, » j'écoutais le son de cette fatale cloche. En vain venait» on me consoler. Le jour qui avait précédé cette fatale » nuit me semblait être... | |
 | Louis Blanc - 1855 - 500 Seiten
...fort empressé, il ne sortit presque point. Minuit approchait. On vint le chercher plusieurs fois ; enfin il partit pour la commune. Le tocsin des Cordeliers...mouchoir, j'écoutais le son de cette fatale cloche. En vain venait-on me consoler. Le jour qui avait précédé cette fatale nuit me semblait être le... | |
 | Alfred-Auguste Cuvillier-Fleury - 1859 - 414 Seiten
...fort empressé. Il ne sortit presque point. Minuit approchait. On vint le chercher plusieurs fois; enfin il partit pour la Commune. Le tocsin des Cordeliers sonna, il sonna longtemps. . Danton revint... Il fut se jeter sur son lit... Camille revint à une heure; il s'endormit sur mon... | |
 | Cuvillier-Fleury (M., Alfred-Auguste) - 1859 - 416 Seiten
...fort empressé. Il ne sortit presque point. Minuit approchait. On vint le chercher plusieurs fois; enfin il partit pour la Commune. Le tocsin des Cordeliers sonna, il sonna longtemps.. Danton revint... Il fut se jeter sur son lit... Camille revint à une heure; il s'endormit sur mon... | |
 | Cuvillier-Fleury (M., Alfred-Auguste) - 1859 - 414 Seiten
...empressé. Il ne sortit presque point. Minuit approchait. On vint le chercher plusieurs fois ; enfm il partit pour la Commune. Le tocsin des Cordeliers sonna, il sonna longtemps.. Danton revint... Il fut se jeter sur son lit... Camille revint à une heure; il s'endormit sur mon... | |
 | Alfred Bougeart - 1861 - 454 Seiten
...approchait. On vint le chercher plusieurs fois ; enfin il partit pour la commune. Le tocsin des Cordelicrs sonna : il sonna longtemps. Seule, baignée de larmes,...mouchoir, j'écoutais le son de cette fatale cloche. En vain venait-on me consoler. Le jour qui avait précédé cette fatale nuit me semblait être le... | |
 | Louis Blanc - 1865 - 1012 Seiten
...empressé, il nesorlil presque point. Minuit approchait. On vint le chercher plusieurs fois; enfin il parlit pour la Commune. Le tocsin des Cordeliers sonna, il...fenêtre, cachée dans mon mouchoir, j'écoutais le son de celle fatale cloche. En vain, venait-on me consoler. Le jour qui avait précédé cette fatale nuit... | |
| |
