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suivi est encore celui sur la Méthode en

ou faux. Ce cours sera encore continué avec exactitude, et n'est pas très-loin de sa fin.

M. Dumont, contre son ordinaire, n'a donné qu'une seule leçon sur l'Histoire de France dans ce volume; la deuxième qui devait entrer dans ce cahier nous est arrivée un peu trop tard. Elle

sera suivie de plusieurs autres dans le même volume. Celle qui est publiée dans celui-ci intéresse, comme les autres, par les recherches profondes, les solutions nouvelles données à la plupart des questions débattues entre les historiens fatalistes ou rationalistes, et les historiens catholiques. Les détails sur les services rendus par la religion aux peuples chrétiens, par la résistance salutaire qu'opposa le clergé à la dure domination des rois mérovingiens sont aussi curieux qu'instructifs; ils ont vraiment honoré et élevé la dignité humaine, et formé le droit du peuple chrétien, droit méconnu quelquefois, mais pourtant qui a acquis le fait d'existence, qui aussi subsiste toujours, est reconnu même quand il est foulé aux pieds, et doit, tôt ou tard prévaloir, comme on le voit aujourd'hui dans la glorieuse Irlande.

philosophie. Il est impossible de n'être pas frappé de la mesure, de la sagesse et de la précision des principes développés par leur auteur; tout ce qui a rapport à la question si difficile de l'évidence, des idées, des preuves ontologiques de l'existence de Dieu, des connaissances morales et métaphysi-paraîtra dans le cahier de juillet, et ques, du consentement du genre humain, de la réalité des connaissances humaines contre quelques pyrrhoniens anciens et modernes, des notions premières de la raison et du raisonnement, nous paraît propre à éclaircir bien des notions obscures, qui malheureusement ont cours encore dans les philosophies et les maisons catholiques. Nous prions ceux de nos lecteurs qui sont chargés d'enseigner la philosophie, et qui veulent enseigner une philosophie catholique, de vouloir bien lire avec attention ces leçons. L'influence de leurs paroles est immense; c'est sur leurs principes que se forme en définitive la raison humaine; si elle devient, comme cela n'arrive que trop souvent, rationaliste; si elle abandonne de raisonne ment en raisonnement la véritable foi, qu'il est à craindre que ce ne soit à leurs principes qu'elle en sera redevable! Qu'ils fassent bien attention qu'il ne suffit pas que leurs conséquences soient catholiques, il faut encore et nécessairement que leurs principes le soient. Car personne n'est obligé de suivre des conséquences qui ne sortiraient pas nécessairement des principes qu'ils auraient donnés ; et si ces principes sont rationalistes, les conséquences tôt ou tard le seront aussi, Or, pour nous expliquer clairement ici, nous ajouterons que les principes cartésiens purs y mènent directement et forcément. C'est aussi pourquoi tous nos adversaires modernes sont, avec passion, cartésiens; c'est aussi pourquoi l'Église a par trois fois mis à l'index les œuvres métaphysiques de Descartes. L'auteur du cours de philosophic, publić dans nos colonnes, nous paraît avoir, avec un rare discernement, séparé ce qui dans le philosophe français est vrai (et il y a beaucoup de choses vraies dans ses écrits), et ce qui est dangereux

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M. l'abbé Bourgeat poursuit aussi avec zèle et constance son Cours sur l'Histoire de la Philosophie dans l'Inde. Ce n'était pas chose facile que d'établir quelque ordre et quelque suite dans ce chaos désordonné de vrai et de faux, de grand et de puéril, d'admirable et de ridicule qui fait le fond des spéculations de l'esprit humain dans l'Orient. Perdus dans le dédale sans issue des conceptions humaines, les philosophes indiens ne savent eux-mêmes quel fil suivre, quelle origine indiquer, quelle fin assigner à leurs travaux; comme nos philosophes pantheistes, ils tournent et retournent sur le moi humain et divin, sur le fini et l'infini, sur l'être et le non-être, sans progrès, sans fin. Ce n'est qu'à l'aide des traditions bibliques, c'est-à-dire qu'à l'aide de la véritable histoire de la création et de la révélation de Dieu, qu'il est possible de débrouiller quelques fils de ce tissu incohérent les savants chrétiens peu

vent seuls ramener à la vérité tous ces systèmes, tous ces penseurs égarés. Le travail sera long et pénible; il n'est pas encore entier, complet; mais n'importe, il avance toujours; et un jour les peuples verront assez clair dans leurs livres, dans leur histoire, pour y reconnaître que la vérité ne se trouve entière et parfaite que dans nos livres, nos traditions, nos croyances. M. l'abbé Bourgeat aura certainement contribué à ce résultat; il poursuit son travail avec assiduité, et plusieurs autres leçons seront insérées dans le prochain volume...

M. l'abbé Mau pied a aussi publié dans ce volume deux leçons de son Cours de Physique sacrée. Il a remis devant les yeux des lecteurs de l'Université toute la doctrine des Pères de l'Église sur l'œuvre des six jours, et a prouvé qu'ils avaient sur la création des idées un peu plus claires, un peu plus intelligibles, un peu plus certaines que celles de tous les philosophes, de tous les rationalistes, de tous les panthéistes anciens et modernes. Ces idées sont celles de notre tradition catholique, c'est-à-dire de notre Bible. Elle seule nous apprend avec certitude ce qu'il faut penser sur la création de l'univers et de l'homme, parce que seule elle nous donne et nous conserve la révélation de Dieu, qui seul a pu dire ce qui s'est passé dans le commencement des choses. M. l'abbé Maupied est un esprit d'une activité peu commune, et malgré d'autres travaux très-nombreux et très importants qu'il publie, il fera paraître régulièrement son cours dans notre Université.

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Tous ces cours seront suivis avec exactitude, et plusieurs même seront terminés avec le prochain volume.

Nous n'avons pas à nous étendre ici sur nos revues. Comme par le passé, nous avons essayé d'y faire entrer l'a- | nalyse des principaux ouvrages qui ont paru durant le semestre, et l'examen des questions les plus importantes qui ont surgi dans le même intervalle. Dans ce nombre, nous devons compter l'article sur les Ordonnances et décrets qui prescrivent l'enseignement de la déclaration de 1682. Le magistrat auquel nous

devons ce travail ne pouvait prouver avec plus de sagesse et de vérité la parfaite convenance de la conduite de l'Église, le danger de ces ordonnances où le souverain temporel s'immisce dans les choses spirituelles; et distinguer · mieux ce qu'il y a d'erreur et de vérité dans une question autour de laquelle on a élevé tant de nuages. Aussi savonsnous que plusieurs des membres les plus éminents des deux chambres, un grand nombre de publicistes et de magistrats les plus éclairés, ont été très-satisfaits de ce travail.

On nous demande pourquoi M. Albert du Boys n'a pas continué son Cours sur le Droit criminel; notre honorable collaborateur a été absorbé tout cet hiver par les soins à donner à l'édition de la première partie de ce cours qui vient de paraître. Il en prépare en ce moment la suite, laquelle paraîtra en partie dans le prochain volume. En attendant, il a fait preuve de sa bonne volonté et de son activité ordinaires en insérant dans l'Université la monographie de la Chaise-Dieu, et en rendant compte du beau travail de Mgr l'Archevêque de Paris, sur les appels comme d'abus.

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La partie philosophique, qui a acquis tant d'importance en ces derniers temps, et surtout cette partie qui touche aux opinions panthéistiques qui nous débordent, a été traitée avec la solidité ordinaire, par M. le comte d'Horrer, en prouvant que les systèmes de Hegel et de Schelling aboutissent directement et purement à une anthropolâtrie manifeste. Il a assez prémuni contre eux tous ceux qui ne veulent rendre hommage qu'au Dieu créateur. On aura surtout remarqué combien l'auteur a insisté sur ce point capital, que tout cet échafaudage païen et pantheistique ne repose que sur des distinctions, des définitions de mots, et non sur des choses réelles; ce qui prouve qu'il n'y a rien de réel dans ces systèmes, tout y est fictif. La religion, le Dieu, la Trinité dont il y est parlé, ne sont que de vains mots qui ne correspondent pas aux choses, aux êtres réels qu'ils représentent dans notre religion. Cette observation est essentielle; car il faut

surtout insister, et redire continuelle- | nous seront restés fidèles. Cette table

ment que nous seuls, qui avons une re- ne sera pas mise dans le commerce, et ligion historique, traditionnelle, prou- ne sera livrée qu'à ceux que nous vevée par des monuments qui nous font nons d'indiquer. Nous devons bien remonter jusqu'à une révélation réelle cette faveur à tant de personnes honode Dieu, possédons la réalité des cho- rables qui nous ont soutenu dans une ses dont nous parlons, ou que nous carrière que nous pouvons dire longue croyons. et pénible, nous ont permis de faire de Comme on l'a vu aussi, la partie cri-l'Université Catholique, non un journal tique n'a pas été oubliée; et parmi les travaux qui y ont rapport, il nous semble que nous pouvons citer le compte qui a été rendu du Cours d'Histoire professé par M. Lenormant à la Faculté des Lettres, comme un modèle de cette critique juste et polie, libre et respectueuse qui doit exister entre des écrivains qui défendent la même cause, ont les mêmes croyances et les mêmes sympathies.

Nous ne nous étendrons pas plus sur les travaux qui sont entrés dans ce volume. Nous espérons les continuer et les perfectionner encore dans les volumes suivants.

Mais avant de finir, nous devons dire encore quelques mots des améliorations que nous devons apporter à la partie matérielle de l'Université Catholique pour l'année prochaine. Et d'abord nous répétons ici que, fidèles à la promesse que nous avons faite, en 1837, pag.'161 | de notre ive volume, nous terminerons la 1re série de ce recueil au xx volume, et par une Table générale des 20 volu- | mes. Cette table, faite avec beaucoup de soin, et nécessaire pour relier les nombreux et divers matériaux qui entrent dans ce recueil, et pour en faciliter la recherche, sera envoyée gratis à tous ceux de nos souscripteurs qui

ou une revue, qu'on lit un jour et qu'on ne relit jamais plus, mais un recueil de faits, d'enseignements et de documents, auquel on a souvent recours. Peu de recueils, annoncés et faits avec plus de fracas, peuvent se vanter d'un pareil succès.

Aussi un tel recueil ne pouvait et ne devait pas périr : les directeurs et propriétaires de l'Université Catholique auraient cru manquer à leurs lecteurs et se manquer à eux-mêmes, s'ils avaient pu consentir à abandonner leurs travaux. Comme nous l'avons dit à la fin du dernier volume, l'Université Catholique sera continuée, mais avec améliorations notables qui, nous l'espérons, seront reçues avec faveur et reconnaissance par nos abonnés. Un prospectus détaillé leur sera adressé vers la fin de l'année, où toutes ces améliorations seront exposées et justifiées. Que nos abonnés veuillent bien se fier à nous ; la nouvelle série de l'Université Catholique sera aussi bien soignée, et mieux encore que les premières ; nous dirons les personnes qui travailleront exclusivement avec nous; et nous espérons que Dieu bénira des travaux et des efforts qui sont tous dirigés vers un seul but, celui de défendre les croyances de notre Église.

LES DIRECTEURS DE L'UNIVERSITÉ CATHOLIQUE.

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Cadalous, antipape; 119.

C

Cardinaux (les). Sont institués par Nicolas II; 117. Carnéade. Admet des perceptions qui entraînent un assentiment inévitable; 22.

Affre (Mgr). Analyse de son livre: Introduction à l'Étude du Christianisme; 150; et de ses Recherches sur l'Appel comme d'abus; 311. Condamnation du journal le Bien Social; 440. Ariald (saint). Sa haine pour la simonie; 356. Ses prédications, son opposition contre l'archevêque Gui; 337, 338. Ses disciples Landolphe, Herlambaud; 338. Sa fuite et sa mort; 339. Archiconfrérie de Notre-Dame-des-Victoires. Ses Chapone (mistriss). Examen de ses Lettres sur l'étravaux; 81.

Célibat (du) ecclésiastique; 121, 180, 270.
Chaise-Dieu (monastère de La). Voyez Du Boys.

ducation d'une jeune personne; 78,

Argyre, gouverneur de l'Italie; persécutions qu'il Chateaubriand (M. de). Sur les jésuites du Canada; éprouve; 35.

Athanase (saint). Sur la chasteté ; 123.
Athénagore. De la création; 13.

Augustin (saint). De l'Apocalypse; 162. Voir Pou-
joulat.

Avicène. Base de sa logique ; 340.

B

Basile (saint). Sur le célibat; 121.

Beaufort (M. A. de). Critique des tragédies de Lu

créce et de Virginie; 380.

Bélisaire, Soutient l'antipape Vigile; 350.
Benoit VIII, pape. Sur la chasteté ; 276.
Benoit X, antipape; 116.

Berty (M. Ad.). Annonce de son Dictionnaire de
l'Achitecture au moyen âge; 404.

Bergier. De l'honnête homme; 152. De la certi-
tude; 205.

Bien Social (le). Journal censuré; 440.
Blainville (M. de). Examen de son Histoire des
Sciences de l'Organisation; 164.

Blanche (M. de). Analyse de sa Vie de Stanislas
Kotska, et des Lettres d'un Frère à sa Sœur;
163.

Bonald (M. de). Distingue les notions des idées; 345. De la réalité des connaissances humaines; 268.

145.

Chavin (M.). Annonce de son Histoire de saint François d'Assise; 471.

Cicéron. De la réalité des connaissances humaines;
268.

Clavel (M. l'abbé). Condamnation de son journal le
Bien Social; 440. Sa soumission; 468.
Clément d'Alexandrie. De la création; 17.
Clerc (M. C.-J.-B.). Examen de son livre sur l'im-
portance de l'éducation au 19e siècle; 342.
Conceptualistes (les). D'où vient ce nom; 344.
Concile in trullo. Autorité du décret sur le mariage
des prêtres; 272.

Condillac. Confond les notions et les idées; 545.
Les principes des sciences naturelles avec les
principes de l'ordre moral; 347.

Constantin Monomaque. Sa conduite dans l'affaire
de l'excommunication de Michel Cérulaire; 34.
Cours d'histoire ecclésiastique. Voyez Histoire ecclé-
siastique.

Cours d'histoire de France. Voyez Histoire de
France.

Cours de philosophie. Voyez Philosophie.
Cours de physique sacrée. Voyez Physique sacrée.
Cours sur l'histoire de la philosophie. Voyez His-
toire de la Philosophie.

Cousin (M. V.). Ne trouve pas que Hume ait été

suffisamment réfuté par Reid dans sa négation du rapport de nos perceptions avec les objets extérieurs. M. Cousin ne définit pas davantage; 27. Création (de la). Voyez OEuvre des six jours, Création d'après le Sankhia; 231. Crétineau-Joly. Examen de son Histoire de la compagnie de Jésus ; 140.

D

Darboy (M. l'abbé). Examen de sa traduction des œuvres de saint Denys l'Aréopagite; 65, 206. Démétrius, roi des Russes. Offre son royaume à Grégoire VII; 418.

Démocrite. De l'apparence des perceptions et de la réalité; 21,

Démosthènes. Sur la chasteté ; 122.

Denys (saint) l'Areopagite. Des saints; 166. Voir Darboy.

Déodat. Sur la simonie; 33.

Desgenettes (M. l'abbé), directeur de l'Archiconfrérie à Notre-Dame-des-Victoires; 189. Descartes. Suit le sentiment de saint Anselme, mais il ne conclut de l'idée à la réalité d'un objet qu'en ce qui concerne l'Etre nécessaire; 29. Se trompe sur nos inclinations; 91. Fait un cercle vicieux; 94. Vrai fondateur de l'école rationaliste allemande; 93. Critique de sa méthode; 296; et de sa philosophie; 381.

Désidérius, évêque de Verdun; 177.

Devoille (M. l'abbé A.). Examen de l'importance de l'éducation de M. Clerc; 242. Dumont (M. Edouard). Voyez Histoire de France (Cours de). Examen des Trappistes, etc.; 156. Du Guide du prêtre, de M. l'abbé Réaume; 160. De la nouvelle explication de l'Apocalypse; 162. Duns Scot. Combat saint Anselme, qui croit à la réalité de Dieu par cela seul qu'il en a l'idée ;

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l'existence de Dieu; 100. Duns Scot combat saint Anselme; Gerson se prononce contre saint Anselme avec une grande énergie; 100. Descartes reproduisit l'opinion de saint Anselme; 102.

F

Féval (M. Paul). Annonce de ses contes de Bretagne; 164.

Fichte. Professe l'unité absolue de toute chose. Il est panthéiste; 30.

Frayssinous (Mgr de). Examen de sa vie par Henrion; 50. De la certitude et de la conviction; 259. Du libre arbitre; 394. Sur l'immortalité de l'âme; ibid. G

Gaillardin (M.). Examen de son histoire des trappistes; 186.

Gaunilon. Réfute saint Anselme. It ne croit pas à la

réalité de Dieu uniquement parce qu'il en a l'idée; 29. Autre réfutation de saint Anselme; 97. Gassendi. Attaque les preuves que Descartes donne de l'existence de Dien; 101.

Gerbet (M. l'abbé). Examen de l'état du rationalisme en France; 403. Annonce de ses autres travaux; 473.

Gerson. Ne croit pas à la réalité de Dieu par cela seul qu'il en a l'idée; 29. Il se prononce d'ane manière énergique; 100. De la doctrine d'Amalric de Chartres; 514.

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Gondon (M.). Annonce de son livre sur l'agitation irlandaise; 404.

Gôtama, auteur du Nyaya; 426. Ses catégories;

429.

Grégoire XVI. Bref à M. Bonnetty; 328. Rescrit sur l'état canonique des desservants en France; 468. Bref pour l'Encyclopédie du 19° siècle; 470. Grégoire-le-Grand. Son horreur pour la simonie ; 281,33 1.

Guillaume de Soissons. Le premier qui a remarqué

que le principe de contradiction ne peut engendrer des vérités positives; 87.

Guillaume de Champeaux. Sa théorie sur les universaux; 544.

Guillaume-le-Conquerant. Ses démêlés avec Grêgoire VII; 428.

Guizot (M.). Son jugement sur l'Église du 4o et S siècle; 45. De la réforme par l'Église de Rome;

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323.

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Hégel, Professe l'unité absolue de toute chose; 50. Voyez Horrer.

Existence de Dieu. Règles de Descartes; 90, 93. Preuve ontologique de l'existence de Dieu; 98, Hardy (M. l'abbé). Examen de son Trésor des Noirs; 107, Preuves de l'existence de Dieu selon saint Augustin; 95, 96; et selon saint Anselme; 97. Si on avait l'intuition de l'essence de Dieu, au rapport de saint Thomas d'Aquin, on aurait la preuve de son existence; 97, 99. Quelques chrẻtiens, par un recueillement d'esprit, par des illuminations, peuvent avoir une vérité évidente de

Henke. Son jugement sur Grégoire VII; 412.
Henrion (le baron). Voir Frayssinous.
Hermite (Melchior de l'). Aperçu de la civilisation
par le catholicisme; 226.

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