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douceur qui faisait le fond de son ca- | temporains, parce qu'ils avaient d'au

ractère, il veut se borner à quelques avertissements paternels; mais on lui fait observer que les excès étaient portés trop loin, et que l'indulgence serait désormais inutile. Le pape prend donc un autre parti. Annon de Cologne et Herman de Bamberg étaient venus en Italie pour recueillir certaines redevances dues au roi. Ils allaient partir pour l'Allemagne. Le pape leur remit des lettres apostoliques qui appelaient Henri à Rome, pour donner satisfaction sur la simonie et sur quelques autres excès dont Rome avait entendu parler 9.

tres idées et d'autres institutions que nous. Nous les examinerons sérieusement, quand il s'agira de la déposition de Henri IV. Celui qui peut plus, peut moins. Si le pape a eu le droit de juger et de déposer le roi, il a pu le citer à son tribunal. Tout dépendra donc de la question de savoir si le pape a eu le droit de déposer un souverain: question grave, qui fera le sujet d'un sérieux examen.

La sommation du pape ne produisit qu'un effet momentané; car Alexandre mourut peu de temps après, laissant à C'est la première fois qu'une pareille son successeur la pénible tâche de vensommation vient de la chaire de Saint-ger la pudeur, l'honneur, la justice et Pierre. Elle a été une pierre d'achoppe-l'outrage fait à l'Église et aux mœurs ment pour plus d'un écrivain. Cela de- chrétiennes. Nous restons à la partie la vait être ; car un empereur mandé à plus imposante de l'histoire de Grégoire, Rome, pour rendre compte de sa con- à celle qui présente le plus de difficul duite, est si contraire à nos idées et à tés; nous l'examinerons, Messieurs, avec nos institutions actuelles, que nous en un soin particulier, et nous verrons si sommes choqués au dernier point. Eh les reproches qu'on a faits à ce pontife bien! Messieurs, ce qui nous paraît sont fondés. Notre tâche sera d'autant si étrange, ne le paraissait pas aux con- plus facile que le sujet, d'après la méthode que j'ai suivie, se trouve maintenant dégagé de tout incident étranger. L'abbé JAGER.

Voigt, p. 188.
Baron., an. 1073, n. i.

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tains points particuliers du Bouddhisme et du Brahmanisme; on peut bien établir, en général, que le premier est une branche du second, et qu'il en est un produit ou plutôt une expansion d'une importance extrême. On sait aussi, en général, et à n'en pas douter, que l'un et l'autre sont un assemblage de rationalisme, de théologie, de panthéisme, de polythéisme, de scepticisme, de toutes les traditions antiques et de toutes sortes de sectes. Mais les données nous manquent encore sur l'origine historique et la généalogie logique de ces différentes écoles et de ces divers systèmes; et l'on ne connaît pas non plus assez à fond les traditions, les mœurs et les croyances des peuples dont la religion est le bouddhisme, pour savoir par quelle heureuse combinaison d'idées la philosophie et la théologie bouddhiques peuvent vivre en paix dans une parfaite harmonie. Sous ce rapport, on connaît beaucoup mieux l'enseignement des Brahmanes, chez lesquels nous avons rencontré des doctrines théologico-philosophiques. Mais nous avons vu aussi que dans cette prétendue conciliation éclectique de doctrines opposées sous la suzeraineté d'une philosophie hautaine, la politique et l'indifférence dogmatique avaient plus de part qu'une compatibilité et une unité réelles. Un secret absolu de la part des classes supérieures de la société, l'obscurantisme et l'ignorance dans lesquels on retenait les classes inférieures, protégeaient aussi le mystère de ces honteuses alliances entre la vérité et l'erreur, entre les conceptions les plus extravagantes du rationalisme et les traditions salutaires de la religion.

Il en fut de même chez les Bouddhistes, où l'on voit aussi des doctrines secrètes et philosophiques en opposition avec les doctrines religieuses et populaires; et dans celles-ci comme dans celles-là, un ensemble d'écoles et de sectes professant des opinions trèsdisparates. Le Bouddhisme comme le Brahmanisme n'eurent donc jamais l'unité dogmatique, mais seulement une unité purement apparente et de convention, telle qu'elle peut résulter de certains caractères généraux que ces - y° 420, 1845.

T. XX.

systèmes ont reçu du rationalisme, du polythéisme, du naturalisme et du panthéisme, qui en sont le fondement commun, et dont nous avons déjà fait remarquer la tendance à une tolérance universelle de toute espèce de doctrines. Voici quelques traits des croyances et des traditions conservées chez les Bouddhistes népaliens, thibétains et mongols dans la religion populaire.

D'abord on y trouve la création, la croyance à l'unité de Dieu, qui domine tout leur système mythologique, l'histoire de la chute des Esprits ou Ames, celle de la chute de l'homme, ainsi que la tradition d'un âge primitif de bonheur et d'innocence, et l'attente d'un Rédempteur. La chute de l'homme est racontée ainsi : Elle fut précédée par les combats des bons et des mauvais génies; combats gigantesques et effroyables qui rappellent assez bien les fictions poétiques de notre Milton. Puis un mauvais génie, sous forme de Dragon, vient produire sur la terre divers bouleversements dont l'homme luimême eut beaucoup à souffrir. Car jusque-là les hommes possédaient des qualités spirituelles, des vertus et des forces surnaturelles. Leur volonté était satisfaite sur-le-champ; ils avaient un visage rayonnant, des ailes, vivaient sans nourriture, se reproduisaient d'eux-mêmes, et leur vie était de 80,000 ans. Les hommes perdirent cet état de perfection quand ils mangèrent le Chimé, fruit terrestre et mortel. Alors ils s'aperçurent de leur nudité et ils en rougirent, et ils se couvrirent de vêtements: les Désirs (concupiscence, appétits, besoins) prirent naissance; la faim, la prévoyance, l'avarice, l'ambition, la pauvreté, l'abondance excessive, le pouvoir, le despotisme, la servitude, l'abus de la force, la violence, établirent leur domination tyrannique parmi les hommes. Car les hommes, par une prévoyance exagérée, commencèrent à amasser des provisions; le superflu des uns et la pénurie des autres engendrèrent des contestations et des disputes; celles-ci obligèrent les habitants de la terre à se choisir des chefs pour mettre un frein aux abus de la force, et établir des lois pour proté

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ger les droits de chacun. Mais ces chefs | abus du pouvoir, c'est que tel ou tel abusèrent eux-mêmes de leur pouvoir, et de juges qu'ils devaient être, ils devinrent despotes. Ce fut ce qui occasionna parmi les hommes les différences de conditions, les castes, les distinctions sociales, et la division de la société en riches et en pauvres, en maîtres et en esclaves. Tant de maux réunis hâtèrent, selon les Bouddhistes, la dégénérescence graduelle de l'âge des hommes, qui n'y trouvèrent quelque compensation que dans leur régénération spirituelle par la religion. Enfin, cet ordre de choses finira lui-même par la mort de tous les hommes, et par le fer, le feu et l'eau : puis viendra la résurrection, la terre avec un aspect nouveau, riche et heureux. Les hommes devenus vertueux après cette palingénésie universelle, parviendront par un progrès continu à la souveraine perfection et au suprême bonheur 1.

Il est facile de reconnaître dans ces lignes quelques traits des traditions primitives et universelles du genre humain. Mais les Bouddhistes philosophes ont transformé ce monothéisme en panthéisme, en naturalisme, en matérialisme. Dans le panthéisme spiritualiste, les autres dogmes sont corrompus, altérés, pervertis par la métempsychose, par le mysticisme et le quiétisme philosophiques, et par cette cosmogonie qui considère la création et tous les êtres comme une dégradation, une dégénérescence, ou une diminution de l'être infiniment parfait descendu dans les formes variables et contingentes de l'existence. On voit aussi par ce qui a été dit que les catholiques ne sont pas les seuls à attribuer au péché originel l'origine et la nécessité du pouvoir social, tel que l'ont fait les vices et la perversité des hommes. Tout pouvoir vient de Dieu, source première de tous les devoirs et de tous les droits; voilà qui est certain: sans cela, il n'y a ni pouvoir de commander, ni devoir d'obéir. Mais ce qui n'est pas aussi certain, c'est que les

Voyez un extrait d'un ouvrage de Bergmann (trad. par Moris) relatif aux bouddhistes thibétainsmongols, dans le Journal Asiatique de Paris, 1r série, t. III, p. 193.

prince en viennent également. Le régime des castes, la distinction des maî tres et des esclaves, et toute autre forme sociale ayant pour effet de dépouiller la plus grande partie du genre humain de ses droits essentiels, ne viennent certainement pas de Dieu, et aucun dogme religieux ne saurait être la base d'un ordre de choses si monstrueux. Les excès auquel il donna lieu dans l'antique Hindoustan nous expliquent assez et justifient à un certain point la réaction bouddhique contre cette organisation sociale, malgré la sanction religieuse dont les Brahmanes l'avaient revêtue. Les Bouddhistes se jetèrent dans un excès contraire, s'il est vrai, comme on l'a dit, qu'ils proclamèrent la démocratie religieuse et politique, ainsi que la souveraineté de la raison, d'une manière absolue et illimitée. Mais, par une heureuse inconséquence, le Bouddhisme, comme religion, maintient certaines distinctions sociales dans l'ordre civil et dans l'ordre ecclésiastique. Ils proclament une loi divine prêchée par BOUDDHA comme le fondement de tout l'ordre moral; ils ont dans les contrées dont nous parlons une hiérarchie sacrée; ils enseignent l'obéissance aux lois, le respect de l'ordre établi, tous les devoirs de la vie civile et politique; ils ont enfin un système de morale trèscomplet fondé sur la loi divine révélée, sur les droits et les prérogatives de la hiérarchie sociale, et sur le devoir de l'obéissance et du sacrifice de la volonté personnelle. Mais dans les systèmes philosophiques ce bel ensemble de devoirs de la vie pratique est radicalement détruit par le rationalisme, qui fait chaque individu juge de ce qu'il doit croire et pratiquer, et par le panthéisme, qui, en détruisant toute distinction entre Dieu et l'homme, et n'admettant qu'un seul être substantiel et personnel, qu'une seule force agissante dans l'univers, anéantit par là la notion même de devoir.

La doctrine fondée par BOUDDHA, persécutée dans l'Inde dont elle fut totale

• Les contrées situées au nord de l'Inde, le Népal, le Thibet, la Mongolie, etc.

Homme, mort ou monté au ciel, ou bien encore, d'après le mysticisme philosophique et le pathéisme, éteint, unifié ou réabsorbé dans la substance universelle du suprême ADI-BOUDDHA, renaît aussitôt de sa dépouille mortelle dans un autre homme d'un âge mûr, animé de son esprit et vivant de sa vie divine: véritable phénix renaissant éternellement de ses propres cendres.

ment bannie, se propagea rapidement, | pontife de la religion lamaïque. Le Dieupar la majesté de son culte et la simplicité de son enseignement populaire, chez les peuples nomades et chez les barbares du nord de l'Asie. Il y donna naissance au culte du grand Lama, qui règne au Thibet, et dont la hiérarchie, les couvents, les prières, les cérémonies, la morale et le culte populaire, ont tant de rapport avec les institutions analogues de l'Église catholique. Nous dirons ailleurs ce qu'il faut penser de l'influence réciproque que le bouddhisme et le christianisme ont pu exercer l'un sur l'autre dans ces contrées. Remarquons seulement ici que le Bouddhisme n'a eu tant d'action sur les peuples de l'Asie que par les croyances universelles de la religion et de la morale, qu'il a prêchées, développées, et enseignées à ces peuples, et non par ses systèmes de philosophie si divers et si destructifs de toute religion et de toute morale.

Le Bouddhisme chinois, ou la religion shamanéenne professée par les Bonzes en Chine et au Japon', nous offre, comme dans l'Inde et chez les peuples du nord de l'Asie, un singulier mélange de toutes sortes de doctrines. On y trouve aussi des signes très-évidents de son origine indienne et les caractères certains d'une imitation des théories brahmaniques. Comme celles-ci, ne nous lassons point de le répéter, le Bouddhisme de la Chine est un amalgame confus de philosophie et de théologie, de rationalisme, de polythéisme et de panthéisme, d'une doctrine ésotérique ou secrète fondée sur l'idéalisme absolu et sur le nihilisme, et d'une doctrine exotérique ou extérieure qui sert de fondement à la religion du

Les Chinois sont partagés en trois sectes principales 1o celle des Tao-sse, disciples de Lao-tseu, dont la doctrine est un mélange de panthéisme spiritualiste, d'idéalisme et de religion analogue à l'é

De plus, quoique les Bouddhistes eussent commencé dans l'Inde en niant la divinité de la religion brahmanique et de l'institution des castes, et même, si l'on en croit les Indiens, toute religion surnaturelle et révélée, par une heureuse inconséquence, ils fondèrent la réforme attribuée à BOUDDHA Sur la divinité de ce grand personnage, sur les dogmes de la création, de la prière, de la chute originelle, de la grâce, de la révélation de la loi divine, de la frater-cole védantiste chez les Indiens; 2o celle de Confunité originaire et universelle de tous les hommes et de leur égalité devant Dieu, etc., etc. Et pour contre-balancer les anarchiques résultats de leur démocratie religieuse et politique, dans les pays où ils sont établis, les Bouddhistes prêchent l'obéissance aux lois et le res- l'Esprit et la Matière), et à plusieurs égards en un pect de l'ordre, des devoirs et des droits généralement reconnus. Le culte du grand Lama et la hiérarchie lamaïque (qui n'est point une caste), sont l'expression religieuse de ces maximes. fondamentales de l'ordre social.

Conformément à la doctrine de la transmigration, c'est BOUDDHA lui-même qui continue de s'incarner dans le grand Lama, qui dès lors est adoré comme le Dieu suprême, en même temps qu'il est honoré comme le souverain

cius, que suivent la plupart des mandarins. Elle avait primitivement une religion simple et pure, et la morale en faisait la partie la plus essentielle et la plus considérable; mais à partir du 11° siècle de notre ère, le Confucianisme, par son contact avec les autres sectes, a dégénéré en spinosisme (doctrine d'une substance unique qui est à la fois Dieu,

grossier matérialisme. 3o Celle des Bouddhistes dont il est parlé dans la suite de notre texte. Ces trois sectes ont extérieurement une forme religieuse, des prières, un culte.

Les Japonais sont aussi partagés en trois sectes principales 1° le Bouddhisme, qui est l'objet de cette leçon; 2o le Sintoïsme, qui reconnaît un être suprême, mais dont la majesté est tellement élevée qu'il ne s'aperçoit pas des hommages des faibles

mortels. Pour ce Dieu point de culte; mais à sa place les Sintoites honorent une infinité de dieux subalternes; 5o le Confucianisme, qui y compte un certain nombre de partisans.

peuple et à la morale. De sorte que, pour l'exposition du bouddhisme comme pour celle du brahmanisme, il faudrait pouvoir parler à la fois un double, un triple langage, ou plutôt exposer à la fois une grande variété d'idées se développant parallèlement, se permutant sans cesse et se combinant entre elles d'une infinité de manières différentes. On ne peut encore y reconnaître la base d'une concordance parfaite et d'une complète harmonie entre le rationalisme, le panthéisme et le polythéisme, dont nous connaissons déjà la déplorable indifférence pour toute espèce de doctrines. La légende chinoise de BOUDDHA, la plupart des dogmes religieux et des préceptes moraux, enseignés sous le nom de ce réformateur, n'appartiennent point à ces systèmes philosophiques, qui sont, au contraire, destructifs de toute religion et de toute morale. Il faut donc en faire un exposé à part.

l'empire chinois, auraient été annoncés en Chine par des signes miraculeux, mille ans avant l'introduction du Bouddhisme dans cet empire. Selon les traditions sacrées et les histoires des Chinois eux-mêmes, le SAINT par excellence, à la fois Dieu et homme, était attendu par ce peuple depuis un grand nombre de siècles avant Jésus-Christ comme le régénérateur du genre humain. Vers la 61° année de notre ère, l'empereur régnant eut un songe extraordinaire relatif au SAINT régénérateur de l'humanité, qui devait, selon la tradition chinoise, venir de l'Occident ( (par rapport à la Chine et de l'Orient par rapport à nous). Sur l'avis de ses courtisans, il dépêcha vers l'Occident une ambassade composée des plus grands docteurs, qui en rapportèrent le culte de Fô-CHÉKIA-MOUNT au lieu du culte du Saint des saints, qui était l'attente de toutes les nations de la terre. Alors seulement les Chinois se crurent en possession des trois choses précieuses, savoir : Fô, ou plutôt son image, la religion de Fô, et l'institut des Bonzes ou prêtres de Fô. Les autres hommes connaîtront cette religion divine à mesure qu'ils mériteront que le divin personnage se révèle à eux et leur fasse acquérir la vraie sagesse 1.

BOUDDHA est connu en Chine sous le nom de S'Hékia ou Chakia, et plus particulièrement sous celui de Fô (ou FOE). Nous laissons aux orientalistes le soin d'expliquer comment les Chinois ont pu faire sortir le nom sacré de Fô du mot sanskrit BOUDDHA 1. Remarquons seulement que le bouddhisme est la religion de presque tout le peuple en Chine, au Japon, dans la Corée et dans l'Inde transgangétique (ou l'Indo-Chine). Quoique la légende et la doctrine de BOUDDHA, dans ces contrées, rappellent sans cesse le Brahmanisme et le Bouddhisme étudiés jusqu'à présent, nous voulons cependant en rapporter quelques traits particuliers pour donner une idée de l'état intellectuel des peuples qui les habitent sous le rapport de la religion, de la morale et de la philo-tion des idées analogues reçues chez les chrétiens sur sophie.

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Conformément aux dogmes de la métempsychose, du panthéisme et des incarnations divines, reçus chez les Indiens, les Bouddistes chinois croient aussi que BOUDDHA (Fô- Chékia-Mouni) naquit des milliers de fois sous différentes formes dans les diverses périodes ou âges du monde : mais l'exis

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Quelques auteurs ont cru voir dans cette légende, comme dans la vie de Bouddha, une imita

Jésus-Christ et sur l'établissement du christianisme. Mais nous avons déjà remarqué que ces manières de se représenter les grands instituteurs du genre humain se retrouve de toute antiquité chez tous les peuples de l'Orient, et qu'elles se rattachent originairement à l'attente générale d'un divin sauveur des hommes promis dès le commencement du monde. Cette attente a pu, sans aucun doute, être rendue plus explicite par l'influence que le judaïsme, le christianisme et le mahométisme ont exercée sur ces contrées éloignées; mais rien n'autorise à croire que ces sortes d'idées soient dues exclusivement à l'influence de l'esprit chrétien.

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