J'ai obtenu qu'une religieuse de mérite te la porteroit, pour t'aider à supporter ce coup. Pour moi, je ne puis soulager l'extrême douleur où je suis, qu'en t'ouvrant mon cœur, avec toute la tendresse qui l'étouffé, pour te dire, outrée de la... Revue des questions historiques - Seite 65herausgegeben von - 1886Vollansicht - Über dieses Buch
| Henri-François de marquis La Rivière - 1751 - 424 Seiten
...je fuis ; qu'en t'ouvrant mon coeur y avec toute la tendreûe qui xviij AVERTISSEMENT. l'étouffe ; pour te dire , outrée de la plus cruelle douleur qu'on ait jamais fentie, qu'après le pas que je viens de faire , je fuis réfolue à la n^ort ou à le foûtenir. Ta... | |
| Roger de Rabutin comte de Bussy - 1859 - 712 Seiten
...à supporter ce coup. Pour moi, je ne puis soulager l'extrême douleur où je suis, qu'en l'ouvrant mon cœur, avec toute la tendresse qui l'étouffé,...Ton état est effroyable. Le mien est affreux. Car (0 Voy. p. 290 et 29l. c'est moi qui te mets ce poignard dans le cœur dans l'indispensable nécessité... | |
| Roger comte de Bussy-Rabutin - 1859 - 702 Seiten
...par laquelle je te mande ma résolution. J'ai obtenu qu'une religieuse de mérite te la porteroit, pour t'aider à supporter ce coup. Pour moi, je ne...Ton état est effroyable. Le mien est affreux. Car (1) Voy. p. 290 et 291. c'est moi qui te mets ce poignard dans le cœur dans l'indispensable nécessité... | |
| Roger de Rabutin comte de Bussy - 1859 - 712 Seiten
...l'extrême douleur où je suis, qu'en t'ouvrant mon cœur, avec toute la tendresse qui l'étouffe, pour te dire, outrée de la plus cruelle douleur qu'on...quitter la vie : c'est la plus douce chose, qui puisse ai'arriver, après t'avoir perdu. Ton état est effroyable. Le mien est affreux. Car (1) Voy.j. 290... | |
| Yonne (France) - 1860 - 432 Seiten
...Celles-ci, par exemple : « Je me mets dans un couvent pour ma vie... Je ne m'en dédirai jamais. Après le pas que je viens de faire, je suis résolue à...chose, qui puisse m'arriver après t'avoir perdu... adieu mon tout : je me meurs. Dieu merci. » Le respect pour l'autorité paternelle était grand alors,... | |
| Gaston Boissier - 1888 - 182 Seiten
...pour lui apprendre qu'elle allait être séparée de lui à jamais. « Tu crois bien, lui dit-elle, qu'on n'aura pas de peine à me résoudre à quitter...chose qui puisse m'arriver, après t'avoir perdu. Ne cherche pas à me voir : rien ne serait pius dangereux pour toi et pour moi; ni même à m'écrire... | |
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