Histoire socialiste de la révolution française, Bände 5-6Éditions de la Librairie de l'humanité, 1923 |
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Häufige Begriffe und Wortgruppen
Adam Smith Allemagne allemande anglais Angleterre assignats aurait avaient besoin Bibliothèque Nationale blé bourgeoisie Brissot Burke C'était Cambon capital Chambre des Communes choses citoyens classe commerce commune Constitution Convention Convention nationale corporations D'après une estampe démocratie despotisme économique esprits Etats féodal fermiers Fichte force Forster Frédéric générale George Forster Gironde Godwin gouvernement guerre hausse hommes humaine indus industrie industrielle intérêts joie Kant Klopstock l'Allemagne l'Angleterre l'aristocratie l'Eglise l'esprit l'Etat l'homme l'humanité l'industrie Lessing liberté libre livres lois lution lutte Mackintosh maître manufactures Mayence ment mesure millions misère monde mouvement Musée Carnavalet n'était nation nécessaire nobles ouvriers pain paix passions pauvres pays paysans pensée Pestalozzi peuple Pitt pouvait presque prêtres principes privilège produit progrès propriétaire propriété puissance puisse qu'un raison réforme régime République Révo Révolution française révolutionnaire richesse Robespierre s'il salaires seigneur semble Septeuil sera seulement société sorte subsistances système terre Thomas Paine tion travail universel violence vrai Wieland
Beliebte Passagen
Seite 379 - When that nameless thing which has been lately set up in France was described as " the most stupendous and glorious edifice of liberty which had been erected on the foundation of human integrity in any time or country...
Seite 82 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Seite 234 - ... il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il le détruisit ; le peuple demandait l'abolition de la servitude : il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des...
Seite 82 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Seite 291 - C'est par la convention qui se fait habituellement entre ces deux personnes (le maître et l'ouvrier, le capitaliste et le travailleur), dont l'intérêt n'est nullement le même, que se détermine le taux commun des salaires. Les ouvriers désirent gagner le plus possible ; les maîtres donner le moins qu'ils peuvent; les premiers sont disposés à se concerter pour élever les salaires, les seconds pour les abaisser.
Seite 177 - ... légèreté du style, au ton de la philosophie, au sel de la critique. La politique lui doit des ouvrages plus graves, dont les principes et la manière déposent également en faveur de son âme et de ses talents. Il a prouvé que sa main habile pouvait alternativement secouer les grelots de la folie, tenir le burin de l'histoire et lancer les foudres de l'éloquence.
Seite 180 - Je t'accuse de t'être continuellement produit comme un objet d'idolâtrie ; d'avoir souffert que devant toi l'on dît que tu étais le seul homme vertueux de la France , le seul qui pût sauver la patrie , et de l'avoir vingt fois donné à entendre toi-même ! » Je t'accuse d'avoir tyrannisé l'assemblée électorale de Paris par tous les moyens d'intrigue et d'effroi...
Seite 133 - Je suis prêt à vous retracer le tableau de ma vie publique. Depuis trois ans j'ai fait tout ce que j'ai cru devoir faire pour la liberté. Pendant la durée de mon ministère, j'ai employé toute la vigueur de mon caractère, j'ai apporté dans le conseil toute l'activité et tout le zèle du citoyen embrasé de l'amour de son pays.
Seite 180 - Robespierre , je t'accuse d'avoir depuis long-temps calomnié les plus purs, les meilleurs patriotes; je t'en accuse, car je pense que l'honneur des bons citoyens et des représentants du peuple ne t'appartient pas ! » Je t'accuse d'avoir calomnié les mêmes hommes avec plus de fureur à l'époque des premiers jours de septembre, c'est-à-dire dans un temps où tes calomnies étaient des proscriptions ! » Je t'accuse d'avoir autant qu'il était en toi méconnu...
Seite 318 - Au reste, j'ai entendu dire qu'il fallait que nous jugeassions cette affaire comme la jugerait le peuple lui-même. Or, le peuple n'a pas le droit d'égorger un prisonnier vaincu ; c'est donc d'après le vœu et les droits du peuple...