La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par de grands efforts, qui s'élève... Histoire de la révolution française - Seite 444von Jules Michelet - 1848Vollansicht - Über dieses Buch
| 1792 - 648 Seiten
...l'accent de la passion. La 'patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir; c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève au... | |
| 1792 - 952 Seiten
...fait des lacritices, à qui l'on s'attaofee chaque jour davantage par les follicitudss qu'il caafe , qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève au milieu des inquiétudes , ck qu'on aime par ce qu'il coûte , autant que par ce qu'on en efpère, Tontes les atteintes qu'on... | |
| 1792 - 644 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se Soit complue d'embellir; c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attafhe chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause; qu'on a créé par d« grands efforts... | |
| Jean-Charles Poncelin de La Roche-Tilhac - 1795 - 378 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complu d'embellir ; c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'jl cause, qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève au... | |
| Antoine-François Bertrand-de-Molleville - 1802 - 476 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie » n'est point un mot que l'imagination se sort » complue d'embellir ; c'est un être auquel on a » fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque » jour davantage par les sollicitudes qu'il cause ; » qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève... | |
| Antoine François Bertrand de Molleville - 1802 - 478 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie » n'est point un mot que l'imagination se soit » complue d'embellir ; c'est un être auquel on a » fait des sacrifices, à qui l'on s'attache chaque » jour davantage parles sollicitudes qu'il cause; » qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève... | |
| Guillaume N. Lallement - 1820 - 442 Seiten
...on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes >In jl cause , qu'on a créé par de grands efforts , qui...s'élève au milieu des inquiétudes , et qu'on aime par ce qu'il coûte autant que par ce qu'on en espère ; toutes les atteintes qu'on lui porte sont... | |
| 1820 - 512 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage , par les sollicitudes qu'il cause ; qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève... | |
| Lallement (M., Guillaume) - 1820 - 446 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir ; c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage par les sollicitudes qu'il cause , qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève au... | |
| French revolution, 1789 - 1820 - 520 Seiten
...l'accent de la passion. La patrie n'est point un mot que l'imagination se soit complue d'embellir : c'est un être auquel on a fait des sacrifices , à qui l'on s'attache chaque jour davantage, par les sollicitudes qu'il cause ; qu'on a créé par de grands efforts , qui s'élève... | |
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