L'Empire chinois: faisant suite à l'ouvrage intitulé Souvenirs d'un voyage dans la Tartarie et le Thibet, Band 2Librairie de Gaume Frères, 1854 |
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Seite 183 - ... sur le principe de l'amour de l'ordre et d'une conformité mal définie avec les vues du ciel et la marche de la nature , ont permis aux philosophes qui l'ont suivi de s'égarer, au point que plusieurs d'entre eux , depuis le...
Seite 190 - Ce dernier trait confirme tout ce qu'indiquait déjà la tradition d'un voyage de Lao-tseu dans l'Occident, et ne laisse aucun doute sur l'origine de sa doctrine. Vraisemblablement il la tenait ou des juifs des dix tribus que la conquête de Salmanazar venait de disperser dans toute l'Asie, ou des apôtres de quelque secte phénicienne, à laquelle appartenaient aussi les philosophes qui furent les maîtres et les précurseurs de Pythagore et de Platon. En un mot, nous retrouvons dans les écrits...
Seite 190 - ... l'Occident il a visitées. Nous savons par un témoignage digne de foi qu'il est venu dans la Bactriane ; mais il n'est pas impossible qu'il ait poussé ses pas jusque dans la Judée ou même dans la Grèce. Un Chinois à Athènes offre une idée qui répugne à nos opinions, ou, pour mieux dire, à nos préjugés sur les rapports des nations anciennes. Je crois , toutefois , qu'on doit...
Seite 187 - Avant le chaos qui a précédé la naissance du » ciel et de la terre, un seul être existait, immense » et silencieux, immuable et toujours agissant. C'est
Seite 188 - moins glorieuse est préférable aux plus brillans » succès de la guerre. La victoire la plus éclatante » n'est que la lueur d'un incendie. Qui se pare de ses » lauriers, aime le sang, et mérite d'être effacé du » nombre des hommes. Les anciens disaient : Ne » rendez aux vainqueurs que des honneurs funèbres; » accueillez-les avec des pleurs et des cris en mé» moire des homicides qu'ils ont faits, et que les mo» numens de leurs victoires soient environnés de
Seite 177 - Les villes sont presque toutes construites sur le même plan; elles ont ordinairement la forme d'un quadrilatère et sont entourées de hautes murailles, flanquées de tours d'espace en espace; elles ont quelquefois de larges fossés secs ou remplis d'eau. Dans les livres qui parlent de la Chine...
Seite 191 - Il ya dans les excursions lointaines quelque chose de romanesque qui nous les rend à peine croyables. Nous ne saurions nous imaginer qu'à ces époques reculées , où la géographie était si peu perfectionnée et le monde encore enveloppé d'obscurité , des philosophes pussent, par l'effet d'une louable curiosité, quitter leur patrie et parcourir, malgré mille obstacles et en traversant des régions inco/mues , des parties considérables de l'ancien continent.
Seite 192 - En un mot, on a cru les nations civilisées de l'ancien monde, plus complètement isolées et plus étrangères les unes aux autres, qu'elles ne l'étaient réellement, parce que les moyens qu'elles avaient pour communiquer entre elles, et les motifs qui les y engageaient, nous sont également inconnus.