Histoire de J.-B. Bossuet,: évêque de Meaux, composée sur les manuscrits originaux;De imprimerie de J.-A. Lebel, 1814 - 455 Seiten |
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ALEXANDRE VIII alloit assemblée assez auroit avoient Bossuet avoit cardinal cardinal d'Estrées censure chrétienne cœur communion concile connoître Cour de Rome crut D'INNOCENT XI déclaration du clergé devoient devoir Dieu diocèse disoit doctrine ecclésiastique écrivoit Eglise églises episcopus espèce esprit étoient étoit évêque de Meaux faisoit Germigny glise hommes Ibid jamais Jean Hus JÉSUS-CHRIST Jouarre l'abbaye l'abbé Bossuet l'abbé de Rancé l'abbé Fleury l'abbé Ledieu l'abbesse l'archevêque l'assemblée de 1682 l'autorité l'Eglise gallicane l'Eglise romaine l'évêché l'évêque l'ouvrage Lettre de Bossuet livre Louis XIV lui-même M.me de Montespan madame de Montespan Mademoiselle de Duras main de Bossuet Majesté manuscrit manuscrits maximes ment ministre Claude n'avoit ouvrage Pamiers pape parler paroissoit paroît paroles pontife pouvoient pouvoit prince protestans pseaumes public puissance quatre articles régale religieuses religion respect Rome s'étoit saint Siége Santeuil sentimens sermon seroit seul sion suet sujet tion Vallière venoit vérité Versailles zèle
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Seite 179 - n'ont reçu de puissance de Dieu que sur les » choses spirituelles, et qui concernent le salut, >) et non point sur les choses temporelles et ci» viles ; JÉSUS-CHRIST nous apprenant lui-même » que son royaume n'est point de ce monde > et » en un autre endroit, qu'il faut rendre a César
Seite 181 - pour la tranquillité publique, et non » moins avantageuse à l'Eglise qu'à l'Etat, doit » être inviolablement suivie comme conforme à » la parole de Dieu , à la tradition des saints » Pères et aux exemples des saints. II. » Que la plénitude de puissance que le saint » Siège apostolique et les successeurs de saint
Seite 179 - et qu'ainsi ce précepte de l'apôtre saint Paul » ne peut en rien être altéré ou ébranlé : Que » toute personne soit soumise aux puissances su~ » périeures; car il n'ya point de puissance qui » ne vienne de Dieu, et c'est lui
Seite 68 - jusqu'à la passion ; et dans le temps de sa mort, » on vit par tout le royaume et dans toutes les » familles, je ne dis pas l'élonnement, l'horreur', » et l'indignation que devait inspirer un coup si » soudain et si exécrable, mais une désolation » pareille à celle que cause la perle d'un bon
Seite 133 - seule de leurs réponses se trouve notée par la » souveraine rigueur d'un concile œcuménique, » ces fautes particulières n'ont pu faire aucune » impression dans la chaire de SAINT PIERRE. Un » vaisseau qui fend les eaux, n'y laisse pas moins » de vestiges de son passage Qu'a servi à
Seite 137 - des peuples qui ayant rompu l'unité, se » rompent en tant de morceaux, et ne voient » plus dans leur religion que la confusion de l'en» fer et l'horreur de la mort. Ah ! prenons garde » que ce mal ne gagne; déjà nous ne voyons que » trop parmi nous de ces esprits libertins, qui,
Seite 177 - l'unité de l'Eglise. Les hérétiques, d'autre » part, n'omettent rien pour présenter cette » puissance qui renferme la paix de l'Eglise , » comme insupportable aux rois et aux peuples, » et pour séparer par cet artifice les âmes simples » de la communion de l'Eglise et de JÉSUS-CHRIST. » C'est dans le dessein de remédier à de tels
Seite 61 - songé durant tout le cours de cette affaire, » que je fusse au monde. Mais ce n'est pas tout, » il faudroit être comme un saint Ambroise, un » vrai homme de Dieu, un homme de l'autre » vie , où tout parlât, dont tous les mots fussent » des oracles du Saint-Esprit, dont toute la con
Seite 274 - s'efforce de les lui ravir, ne cesse de traverser » son pèlerinage. Mère affligée, elle a souvent à » se plaindre de ses enfans qui l'oppriment. On ne » cesse d'entreprendre sur ses droits sacrés. Sa » puissance céleste est aflbiblie, pour ne pas dire, » tout-à-fait éteinte. On se venge sur elle de » quelques-uns de ses ministres, trop hardis
Seite 183 - de France et aux évêques qui y président » par l'autorité du Saint-Esprit, ces maximes que » nous avons reçues de nos pères, afin que nous » disions tous la même chose, que nous soyons » tous dans les mêmes sentimens, et que nous » suivions tous la même doctrine.