Journal de l'anatomie et de la physiologie normales et pathologiques de l'homme et des animaux, Band 20

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Ch Robin, Georges Pouchet, Mathias Duval, Édouard Retterrer, Frédéric Tourneux
F. Alcan, 1884
 

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Seite 569 - Des recherches entreprises par ce jeune et célèbre professeur, il résulte : 1° que des deux extrémités des os longs, c'est toujours celle vers laquelle se dirige le conduit nourricier qui se soude la première avec le corps de l'os...
Seite 377 - On voit, en effet, apparaître en ce point (fig. 17), dès le commencement du ">" mois, « un bourgeon lamelleux figurant une cupule aplatie d'avant en arrière qui s'enfonce dans l'épaisseur des parois du canal génital et y dessine un mamelon de même forme représentant la portion vaginale du col de l'utérus ». Les futurs culs-de-sac vaginaux sont donc pleins aussi, à cette période, comme le reste du vagin. A leur niveau tout particulièrement, l'activité du développement est capable d'expliquer...
Seite 329 - Les nombreux dosages exécutés permettent de constater que, pour le même animal, le sang des veines sus-hépatiques, des veines spléniques, et celui de la veine porte contiennent toujours plus d'urée que le sang artériel pris dans la carotide; d'où l'on peut conclure que les viscères abdominaux sont le siège d'une formation continue d'urée.
Seite 71 - Ce muscle peut être double ou unique ; dans ce dernier cas, il est situé d'un seul côté de la ligne médiane, ou bien croise cette dernière en diagonale, appartenant ainsi à la fois aux deux moitiés du corps.
Seite 569 - ... principaux d'ossification, un pour le corps, un pour chaque extrémité, c'est l'extrémité vers laquelle se dirige le conduit nourricier qui se soude la première avec le corps de l'os. 2° Dans un os long qui se développe par deux points d'ossification, un pour le corps conjointement avec une des extrémités, un pour l'autre extrémité, c'est l'extrémité vers laquelle se dirige le conduit nourricier qui s'ossifie conjointement avec le corps. 3...
Seite 237 - Les oiseaux possèdent donc un organe annexe analogue au placenta des mammifères. Au lieu que les villosités de ce placenta pénètrent dans le terrain maternel et y puisent les sucs nutritifs, ainsi que cela a lieu chez les mammifères , ces villosités, chez l'embryon d'oiseau, plongent dans l'albumine que les organes de la mère ont déposée, comme provision nutritive, dans l'espace que circonscrit la coquille de l'œuf. C'est la présence de cette coquille qui force...

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