...rime. Au surplus, le rhylhme est une partie essentielle de la musique, et «ur-lnul de l'imilative. Sans lui la mélodie n'est rien , et par lui-même il est quelque chose . comme on le eent par l 'effet des tambours. Comme la mélodie lire son caractère des acceris de la langue , le...

...seul pied ; de sorte que nous n'avons dans notre poésie aucun rhythme véritable, et qu'en fabricant nos vers nous ne pensons qu'à y faire entrer un certain...mélodie n'est rien, et par lui-même il est quelque cbose , comme on le sent par l'effet des tambours. Mais d'où vient l'impression que font sur nous...

...pied ; de sorte que nous n'avons dans notre poésie aucun rhythme véritable , et qu'en fabriquant nos vers nous ne pensons qu'à y faire entrer un certain...l'imitative; sans lui la mélodie n'est rien , et par lui - même il est quelque chose , comme on le sent par l'effet des tambours. Mais d'où vient l'impression...

...pied ; de sorte que nous n'avons dafcs notre poésie aucun rhythme véritable , et qu'en fabriquant nos vers nous ne pensons qu'à y faire entrer un certain...une partie essentielle de la musique, et surtout de 1 imitati ve ; sans lui la mélodie n'est rien, et par lui-même il est quelque chose, comme on le...

...seul pied; de sorte que nous n'avons dans notre poésie aucun rhythme véritable, et qu'eu fabriquant nos vers nous ne pensons qu'à y faire entrer un certain...n'est sûrement pas là de l'étoffe pour la musique. n'est rien, et par lui-même il est quelque chose, comme on le sent par l'effet des tambours. Mae d'où...

...seul pied ; de sorte que nous n'avons dans notre poésie aucun rhythme véritable, et qu'en fabriquant nos vers nous ne pensons qu'à y faire entrer un certain...est une partie essentielle de la musique, et surtout dé l'imitative ; sans lui la mélodie n'est rien . et par lui-même il est quelque chose , comme on...

...combat le rhythme et la tonalité populaire, a favorisé l'art. nSans le rhythme, dit Rousseau12', la mélodie n'est rien, et par luimême il est quelque...chose, comme on le sent par l'effet des tambours, я «Une mélodie non rhythmée, dit Berton (3), n'est qu'une chose inerte, un corps inanimé, auquel...

...les corps. » Et ailleurs parlant du rvlhme, il dit : « que sans lui, la mélodie n'est rien et que par lui-même, il est quelque chose, comme on le sent par l'effet des tambours. » Voilà, il faut en convenir, une étrange conception, qui d'ailleurs n'est pas isolée, d'un art...