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(5) Nuage, brouillard? (cf. ivlenn, bruine, chez Cillart; cf. gallois niwl).

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(14) Nom de village assez fréquent (Le Pou): pays (cornique, pow; v. J. Loth, Chrest., à Pou).

(15) Châlons: grande porte, et aussi, cour devant la maison; ici, peut-être, le port (de mer).

(16) Le pot de l'arbre.

(17) Trou de bouc.

(18) Les prés.

(19) Pâti, issue d'une maison (Châlons).

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neguy= Er goc Keneggy.
Queux (4) (Prad en toul).
Raden (5) (Parc) = Rarēn.
Ragué (®) (er) = Er Rage.
Raquer (er) = Er raker.
Raz (8) (Tal er) = Tal er rạ

vihã; Lann er raz.
Renieux (er).
RESTE() (LE): Er Rigšt.
Resteven (10) (Parc).
Roh vras (11).

Rohic (12) (Le) = Er Rohek.
Rudel (13) Er Ruriel.

vras.

Salzen (Er) Er salzyenn.

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Sauet: Mein saüet (15).
Sauzen (Tor)=Tur sọzyên.
Sole er garh (16) = Sul er

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(1) Cf. Prélen, lande en Guer (Morbihan). (2) Houx.

(3) Les noyers ou l'endroit planté de noyers. (4) Creux, profond.

(5) Fougère.

(6) Probablement pour rac + que (rac — cae).

(7) Pâti, plateau, issue d'une maison ou d'un village (Châlons).

(8) La forme réelle ra montre qu'il ne saurait être question de ras, breton raz, courant, rencontre de divers courants. Le genre est, en outre, différent. Il y a un étang du raz en Erdeven. On m'a dit dans le pays que ra signifiait un abri Four le bétail. Il est possible que ce soit gra précédé de l'article.

(9) Nom de village commun en Bretagne (v. J. Loth, Chrest.); existe en Cornouaille anglaise.

(10) Rest+teven (falaise).

(11) Grand rocher.

(12) Petit rocher.

(13) Cf. bas-vannet. rudelat, rouler; peut-être en rapport avec rudæw, filets.

(14) Terrain en pointe, généralement couvert de bruyère ou lande; de même en gallois; en gaëlique d'Écosse, promontoire (Basse-Irlande, bois).

(15) Pierre levée.

(16) Fond, fondement du talus planté.

(17) Lieu plein d'épines.

(18) Front dans ces expressions, il signifie près de.

(19) Flanc de colline, et, dans l'île, tertre.

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(3) De toul, trou, et lindag, lacs, lacets (Cf. gall. lindag, étranglement). A cet endroit de l'île, il y a plusieurs courants qui se croisent.

(4) Trous d'argile.

(5) Passage ici le passage principal de l'île au continent.

(6) A trois angles.

(7) Le verger.

Archiviste de la Loire-Inférieure.

LES ORIGINES

DES PAROISSES POITEVINES ET ANGEVINES

RÉUNIES AU DIOCÈSE DE NANTES

d'après les plus anciens textes et les fouilles archéologiques

(Suite et fin)

Saint-Cyr-en-Retz.

<< In maritimis sancti Cirici, » v. 1152 (Arch. dép., H 20). « Johannes de sancto Cirico, » 1163 (Cart. de l'abb. du Ronceray, p. 277). « Sanctus Ciricus, » 1287 (Ch. de l'èv. Durand). Le culte de saint Cyr est très ancien à Nantes, son église «< antiquitus constituta» fut dévastée par les Normands (Cart. du R., p. 257). Le vieux bourg est établi sur l'emplacement d'une station antique, près d'un cimetière mérovingien, et la paroisse embrassait tout le territoire de la commune actuelle de Bourgneuf, peut-être même celui de Fresnay. En 1672, l'église de Bourgneuf la supplanta et occupa le premier rang.

Saint-Étienne-de-Mermorte.

<< Castrum seu fortalicium sancti Stephani de Malamorte, » 1239 (Quittance, Cart. des sires de Retz, no 171). «< Sanctus Stephanus de Malamorte, » 1253 (Arch. dép., H 86). Son église

LES ORIGINES DES PAROISSES POITEVINES ET ANGEVINES.

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est sans doute celle qui est désignée, en 1123, dans les termes suivants dimidium Mellomartis cum ecclesia (Ch. de Louis le Gros). Ce nom a subi des altérations singulières. La mer est très éloignée et ne peut expliquer Mermorte... Mellomartis serait une mauvaise lecture. Quant à Malemort, il est peut-être une allusion à la mort violente de saint Étienne, qui mourut lapidé. Il y a dans le Midi une commune de Malemort, sur la Durance (Vaucluse). La paroisse est sur les Marches de Poitou et de Bretagne, son château était un poste avancé.

Saint-Hilaire-de-Chaléons.

<< Ecclesia sancti Hylarii de Chaléon, » XII° siècle (Cart. du Ronceray, p. 275). Sanctus Hilarius, » 1287 (Ch. de l'év. Durand). Le vocable de cette paroisse nous reporte vers le IVe siècle, époque où l'évêque de Poitiers, Hilaire, visita la plupart des centres du pays de Retz. Le siège n'a pas changé. Le surnom de Chaléons est emprunté au principal village de la commune et ajouté à Saint-Hilaire pour le distinguer des deux autres communes qui honorent ce saint évêque de Poitiers. Cadalun et Cadalo sont des noms d'hommes du IXe siècle (Cart. de Redon, p. 47).

Saint-Hilaire-du-Bois.

« S. Hilarius de Nemore, » 1287 (Ch. de l'év. Durand). Paroisse fondée avant l'an 1000 dans une région boisée et englobée dans les Marches du Poitou au Xe siècle. Elle est bordée par la rivière de la Sèvre.

Saint-Hilaire-du-Coin ou Saint-Fiacre.

« Ecclesia St Hilarii de Cuneo, » 1179 (Bulle, Cart. de l'abb. de Saint-Jouin, p. 40). Petite paroisse au confluent de la Sèvre et de la Moine. Elle ne figure pas dans la liste des paroisses du XIII siècle. Il faut en conclure qu'elle était alors une simple

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